En effet, plusieurs hommes d'affaires étrangers, notamment des Libanais et d’autres ressortissants, accusés dans des affaires similaires, ont obtenu une libération sur parole, souvent sans aucune garantie. Ce traitement de faveur suscite des interrogations et certains n’hésitent pas à dénoncer une discrimination manifeste, dans la manière dont la justice traite les citoyens sénégalais par rapport aux étrangers.
Un système de justice à double vitesse ?
L’opinion publique n’a pas manqué de réagir face à cette différence de traitement, se demandant si l’on est face à une justice à deux vitesses. Comment expliquer que des hommes d’affaires étrangers, souvent impliqués dans des affaires complexes touchant à l’économie nationale, soient libérés sur parole, alors que Khadim Bâ, citoyen sénégalais, est maintenu derrière les barreaux ?
Des sources proches de l’affaire, révèlent que plusieurs de ces étrangers n’ont fourni aucune garantie sérieuse avant leur libération. Pourtant, ils ont pu retrouver leur liberté pendant que Khadim Bâ, qui continue de clamer son innocence, subit encore une détention prolongée, sans la moindre possibilité de libération conditionnelle.
Une détention qui interroge
La famille de Khadim Bâ ainsi que ses soutiens dans la société civile, ne cessent de dénoncer cette injustice. Selon eux, cette situation met en lumière un système où le statut social et l'origine étrangère semblent jouer un rôle important dans les décisions de justice. Khadim Bâ, homme d’affaires respecté au Sénégal, est aujourd’hui dans une situation difficile, alors qu’il a toujours été perçu comme un contributeur au développement économique du pays.
Les avocats de Khadim Bâ ont plusieurs fois plaidé pour sa libération conditionnelle, mettant en avant le fait qu’il n’y avait pas de risques qu’il prenne la fuite ou qu’il compromette l’enquête en cours. Cependant, leurs requêtes sont restées sans réponse.
La pression monte pour une justice équitable
Cette affaire pose également la question de l’équité du système judiciaire sénégalais. De nombreux citoyens et défenseurs des droits humains, appellent à une réévaluation de la situation de Khadim Bâ et à une application juste et impartiale de la loi, quelle que soit l’origine des individus concernés.
Le cas de Khadim Bâ est aujourd'hui devenu un symbole d’une lutte pour une justice plus équitable et plus transparente au Sénégal. La question qui reste, est de savoir combien de temps encore Khadim Bâ devra rester enfermé, alors que d'autres, dans des situations similaires, jouissent déjà de leur liberté.
Contribution de Mass Fall (Financier)
Un système de justice à double vitesse ?
L’opinion publique n’a pas manqué de réagir face à cette différence de traitement, se demandant si l’on est face à une justice à deux vitesses. Comment expliquer que des hommes d’affaires étrangers, souvent impliqués dans des affaires complexes touchant à l’économie nationale, soient libérés sur parole, alors que Khadim Bâ, citoyen sénégalais, est maintenu derrière les barreaux ?
Des sources proches de l’affaire, révèlent que plusieurs de ces étrangers n’ont fourni aucune garantie sérieuse avant leur libération. Pourtant, ils ont pu retrouver leur liberté pendant que Khadim Bâ, qui continue de clamer son innocence, subit encore une détention prolongée, sans la moindre possibilité de libération conditionnelle.
Une détention qui interroge
La famille de Khadim Bâ ainsi que ses soutiens dans la société civile, ne cessent de dénoncer cette injustice. Selon eux, cette situation met en lumière un système où le statut social et l'origine étrangère semblent jouer un rôle important dans les décisions de justice. Khadim Bâ, homme d’affaires respecté au Sénégal, est aujourd’hui dans une situation difficile, alors qu’il a toujours été perçu comme un contributeur au développement économique du pays.
Les avocats de Khadim Bâ ont plusieurs fois plaidé pour sa libération conditionnelle, mettant en avant le fait qu’il n’y avait pas de risques qu’il prenne la fuite ou qu’il compromette l’enquête en cours. Cependant, leurs requêtes sont restées sans réponse.
La pression monte pour une justice équitable
Cette affaire pose également la question de l’équité du système judiciaire sénégalais. De nombreux citoyens et défenseurs des droits humains, appellent à une réévaluation de la situation de Khadim Bâ et à une application juste et impartiale de la loi, quelle que soit l’origine des individus concernés.
Le cas de Khadim Bâ est aujourd'hui devenu un symbole d’une lutte pour une justice plus équitable et plus transparente au Sénégal. La question qui reste, est de savoir combien de temps encore Khadim Bâ devra rester enfermé, alors que d'autres, dans des situations similaires, jouissent déjà de leur liberté.
Contribution de Mass Fall (Financier)