Le jeune homme est mort en 2007 dans un fourgon de police à Paris. D’après l’exclusivité chopée par Leral.net chez nos confrères français de lepoint.fr, c'est la justice européenne, via une médiation, qui clôt l'affaire après 13 ans de procédure.
Durant ces treize années, la famille de Lamine Dieng, mort à 25 ans dans un fourgon de police en juin 2007, n'a jamais renoncé à rechercher la vérité.
Après un non-lieu en faveur des forces de l'ordre, confirmé par la Chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris, puis par la Cour de cassation, la famille avait fini, dix ans après le drame, par saisir la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH).
C’est en 2019 que cette dernière a proposé une médiation, que l'État français a acceptée.
Durant ces treize années, la famille de Lamine Dieng, mort à 25 ans dans un fourgon de police en juin 2007, n'a jamais renoncé à rechercher la vérité.
Après un non-lieu en faveur des forces de l'ordre, confirmé par la Chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris, puis par la Cour de cassation, la famille avait fini, dix ans après le drame, par saisir la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH).
C’est en 2019 que cette dernière a proposé une médiation, que l'État français a acceptée.