Plusieurs journaux algériens ont repris des extraits de l’audition du témoin Hicham Aboud par le juge parisien Baudouin Thouvenot chargé du dossier de l’assassinat à Paris de l’avocat Ali Mecili en 1987. Le témoin, un ancien officier des services secrets exilé en France, a publié, sur son site, les propos qu’il a tenus devant le magistrat et dont le contenu est largement repris dans la presse.
Les lecteurs ont retenu deux principaux passages. Là où il incrimine, en tant que commanditaires, le président Chadli Bendjedid et le général Larbi Belkheir, son chef de cabinet au moment des faits et actuel ambassadeur d'Algérie à Rabat. Pour ce témoin : « Il est impossible qu'un officier subalterne - un capitaine - puisse commanditer, exécuter et financer un assassinat en terre étrangère à l'insu des autorités politiques du pays ».
Dans la foulée, cet ancien officier des services de renseignement met hors de cause le diplomate algérien placé sous contrôle judiciaire depuis 4 mois en France. « Mohamed Ziane Hasseni n’est pas le capitaine Rachid Hassani », impliqué dans ce dossier, souligne ce témoin. Parallèlement au FLN, on se garde d’éclabousser qui que ce soit au plan interne. Le secrétaire général de ce parti, Abdelaziz Belkhadem, s’est contenté de réclamer la libération du diplomate.
Les lecteurs ont retenu deux principaux passages. Là où il incrimine, en tant que commanditaires, le président Chadli Bendjedid et le général Larbi Belkheir, son chef de cabinet au moment des faits et actuel ambassadeur d'Algérie à Rabat. Pour ce témoin : « Il est impossible qu'un officier subalterne - un capitaine - puisse commanditer, exécuter et financer un assassinat en terre étrangère à l'insu des autorités politiques du pays ».
Dans la foulée, cet ancien officier des services de renseignement met hors de cause le diplomate algérien placé sous contrôle judiciaire depuis 4 mois en France. « Mohamed Ziane Hasseni n’est pas le capitaine Rachid Hassani », impliqué dans ce dossier, souligne ce témoin. Parallèlement au FLN, on se garde d’éclabousser qui que ce soit au plan interne. Le secrétaire général de ce parti, Abdelaziz Belkhadem, s’est contenté de réclamer la libération du diplomate.