Je remercie tout d’abord toutes les personnes, groupements, associations… qui se sont joint dans cette affaire. J’apprécie les coups de main, les actions, les appels téléphoniques et les encouragements de tout un chacun.
Il est évidemment plus facile de pardonner à celui qui reconnaît son tort et qui veut le réparer en demandant pardon. Je pense, tout comme vous, que refuser le pardon a celui qui se repent serait mauvais. De même, si nous (peuple du Sénégal) pardonnons réellement quelqu’un, nous devons le libérer de notre cœur, et surmonte le désir de justice. La confrontation a pour but de nous amener au pardon. Le pardon est conditionné par la repentance du fauteur. Mais aussi que tout le monde sache que, une faute commise ne peut pas se répéter, sinon pardonner encore une nouvelle fois, semble être de la faiblesse. Donc il est clair, qu’aucun autre acte similaire ne pourrait être pardonné. Ce qui est sure est que les sénégalais sont assez mature pour ne plus laisser une personne les humilier de cette façon. Ils savent comment faire, par ou passer pour sanctionner de telles actes dans le futur.
Mbathio, comme Miss Djiongama ont commis des fautes, qu’elles même acceptent. Leur tenu extravagante, indécente et leur exhibition ne passe pas inaperçu. C’est une violation aux bonnes mœurs de notre pays. Personne n’en doute. Elles déclarent elles-mêmes avoir commis des dérapages, mais nul ne peut démentir aussi que l’erreur est humaines. Mais cette erreur est une insulte délibérée et gratuite en plein visage et qui a touché à toutes les sensibilités de cette nation.
De plus, il me semble que la médiatisation des faits, le principe qu’ils soient immédiatement relayés par la presse, contribue à nommer des problèmes qui menacent foncièrement la viabilité de notre société. L’aspect qui échappe à tout contrôle demeure cependant notre regard de l’étranger. Certains en sont venus, plusieurs je dirai, à voir, à regarder, observer, jauger, juger, étiqueter et labéliser le Sénégal comme étant un pays dépravé, où les filles sont faciles, dévergondées, audacieuses, et libertines qui ont un œil qui joue au billard et l’autre à compter les points. Voilà, l’image des Sénégalaises, que ça plaise ou pas.
Allons-nous laisser notre nation rimer avec: «wakh wakhéte», «djiongama», «takh si rip» (qui en d’autre termes veut dire «dégueulasse»), et laisser des personnes comme poté, Mbathio, la danseuse Gueye, Miss Djiongama, entre autres, prendre le dessus sur ces faits accablants et urgents de notre pays: le conflit casamançais, les émeutes de banlieue, le conflit d’un voisin malien très proche, les coupures d’eau et d’électricité,, les agressions, la grève des syndicats de l’éducation, la hausse vertigineuse du prix des denrées de première nécessité, et de l’immobilier, le chômage, etc. …. Citoyens Sénégalais, ne trinquez pas avec ce verre du sensationnalisme ! L’essentiel, c’est ailleurs.
Je ne m’acharne contre personne, je ne souhaiterais pas voir cette fille dans un cachot, ou être humilier devant la justice, ce n’est pas mon souhait. Je ne juge pas cette fille (Miss Djiongama) dans sa vie, je la juge selon l’acte qu’elle a commis ce soir la, qui m’a choqué, moi et beaucoup d’autres personnes. Je ne vais pas l’insulter ou dire du mal d’elle, je ne la connais pas, je ne l’ai jamais rencontré personnellement, je ne l’ai jamais parlé, mais je sui libre de penser que son acte est punissable par le droit et la loi. Après ma plainte, J’avais fait une pétition et je suis à 15.242 signatures, ce qui prouve que 15.242 autres personnes pensent comme moi. Des associations et groupement de personnes été prêt à poursuivre la plainte jusqu’au bout, plusieurs avocats se sont joint à ma cause, des commissaires de brigade, société civil, citoyens simples, travailleurs, ouvriers, … n’ont cessé de m’appeler et m’encourager pour cette acte que j’ai posé.
Et laissé moi dire aux autres qui pensent qu’un citoyen n’est pas capable de mener de tel combat qu’ils se trompent. La constitution de mon pays dit : «Tous les citoyens ont le droit de participer librement à la direction des affaires publiques de leurs pays, soit directement, soit par l'intermédiaire de représentants librement choisis, ce, conformément aux règles édictées par la loi».
Et d’ailleurs je ne suis pas seul. Les ressources humaines et financières mis à ma disposition sont très suffisantes. Mais je ne me bat contre personne, ni contre un système. En tout cas, pas pour ce cas ci, je crois que j’ai d’autres combats à livrer ailleurs, beaucoup plus important. Et ce qui est triste au Sénégal est qu’il y’a un tas de braves gens qui ne font rien. Edmund Burke de dire: «Pour que le mal triomphe, il suffit que les hommes de bien ne fassent rien." C'est ce que nous devenons au Sénégal aujourd'hui,
Je ne cherche pas non plus à me faire un nom, je suis bien comme je suis, j’ai tout ce dont j’ai besoin et je gagne très bien ma vie. Chef d’entreprises, je travail honnêtement et j’ai accompli plusieurs projets avec sucées.
Et les gens qui disent que je suis un islamiste extrémiste se trompent entièrement sur mon cas. Je suis un Musulman et Talibé de Serigne Touba. Je suis un Mouride, et c’est également pour cela que j’ai voulu défendre aussi le travail si bien fait de cheikh Ahmadou Bamba, qui est reconnu dans le monde entier, comme étant un homme à dimension exceptionnelle. Je ne me permets pas de rester les bras croisés, après que sa personne n’est plus des nôtres, de regarder un individu détruire le travail acharné de Bamba. Ce dernier s’est battu contre Satan et les vices de ce mondes, et à eu une victoire éclatante, des personnes proviennent de partout dans le monde dans le cadre du magal et autres. Alors, moi talibé je ne laisserais personne mettre à néant son travail contre Satan.
J’ai également voulu éveiller les consciences de mon peuple, les femmes en l’occurrence. Leur faire savoir que le chemin de leur bonheur n’est pas loin et que toutes ces choses, qui constituent de mauvais exemples pour elles ne font que les détruire, elles le savent très bien. Je voulais, en tant soi peu, éveiller cette catégorie de la population d'une conscience nationale, qui va s'exprimer à travers chaque humain, chaque femme, par l'intermédiaire de sa conscience individuelle. La conscience est la capacité de se percevoir et de se comporter de manière adaptée. Par elle, nous est donnée la capacité d'agir sur nous-mêmes pour nous transformer, éviter certaines choses, qui ne nous apporte absolument rien en retour.
Après tout, j’ai retiré ma plainte contre Miss Djiongama ce lundi 11 février 2013, et Je crois que, et j’ose espérer que, nous serons assez conscient et mature pour éviter ce genre de scandale à l’avenir.
Abdoulaye NDAO.
Il est évidemment plus facile de pardonner à celui qui reconnaît son tort et qui veut le réparer en demandant pardon. Je pense, tout comme vous, que refuser le pardon a celui qui se repent serait mauvais. De même, si nous (peuple du Sénégal) pardonnons réellement quelqu’un, nous devons le libérer de notre cœur, et surmonte le désir de justice. La confrontation a pour but de nous amener au pardon. Le pardon est conditionné par la repentance du fauteur. Mais aussi que tout le monde sache que, une faute commise ne peut pas se répéter, sinon pardonner encore une nouvelle fois, semble être de la faiblesse. Donc il est clair, qu’aucun autre acte similaire ne pourrait être pardonné. Ce qui est sure est que les sénégalais sont assez mature pour ne plus laisser une personne les humilier de cette façon. Ils savent comment faire, par ou passer pour sanctionner de telles actes dans le futur.
Mbathio, comme Miss Djiongama ont commis des fautes, qu’elles même acceptent. Leur tenu extravagante, indécente et leur exhibition ne passe pas inaperçu. C’est une violation aux bonnes mœurs de notre pays. Personne n’en doute. Elles déclarent elles-mêmes avoir commis des dérapages, mais nul ne peut démentir aussi que l’erreur est humaines. Mais cette erreur est une insulte délibérée et gratuite en plein visage et qui a touché à toutes les sensibilités de cette nation.
De plus, il me semble que la médiatisation des faits, le principe qu’ils soient immédiatement relayés par la presse, contribue à nommer des problèmes qui menacent foncièrement la viabilité de notre société. L’aspect qui échappe à tout contrôle demeure cependant notre regard de l’étranger. Certains en sont venus, plusieurs je dirai, à voir, à regarder, observer, jauger, juger, étiqueter et labéliser le Sénégal comme étant un pays dépravé, où les filles sont faciles, dévergondées, audacieuses, et libertines qui ont un œil qui joue au billard et l’autre à compter les points. Voilà, l’image des Sénégalaises, que ça plaise ou pas.
Allons-nous laisser notre nation rimer avec: «wakh wakhéte», «djiongama», «takh si rip» (qui en d’autre termes veut dire «dégueulasse»), et laisser des personnes comme poté, Mbathio, la danseuse Gueye, Miss Djiongama, entre autres, prendre le dessus sur ces faits accablants et urgents de notre pays: le conflit casamançais, les émeutes de banlieue, le conflit d’un voisin malien très proche, les coupures d’eau et d’électricité,, les agressions, la grève des syndicats de l’éducation, la hausse vertigineuse du prix des denrées de première nécessité, et de l’immobilier, le chômage, etc. …. Citoyens Sénégalais, ne trinquez pas avec ce verre du sensationnalisme ! L’essentiel, c’est ailleurs.
Je ne m’acharne contre personne, je ne souhaiterais pas voir cette fille dans un cachot, ou être humilier devant la justice, ce n’est pas mon souhait. Je ne juge pas cette fille (Miss Djiongama) dans sa vie, je la juge selon l’acte qu’elle a commis ce soir la, qui m’a choqué, moi et beaucoup d’autres personnes. Je ne vais pas l’insulter ou dire du mal d’elle, je ne la connais pas, je ne l’ai jamais rencontré personnellement, je ne l’ai jamais parlé, mais je sui libre de penser que son acte est punissable par le droit et la loi. Après ma plainte, J’avais fait une pétition et je suis à 15.242 signatures, ce qui prouve que 15.242 autres personnes pensent comme moi. Des associations et groupement de personnes été prêt à poursuivre la plainte jusqu’au bout, plusieurs avocats se sont joint à ma cause, des commissaires de brigade, société civil, citoyens simples, travailleurs, ouvriers, … n’ont cessé de m’appeler et m’encourager pour cette acte que j’ai posé.
Et laissé moi dire aux autres qui pensent qu’un citoyen n’est pas capable de mener de tel combat qu’ils se trompent. La constitution de mon pays dit : «Tous les citoyens ont le droit de participer librement à la direction des affaires publiques de leurs pays, soit directement, soit par l'intermédiaire de représentants librement choisis, ce, conformément aux règles édictées par la loi».
Et d’ailleurs je ne suis pas seul. Les ressources humaines et financières mis à ma disposition sont très suffisantes. Mais je ne me bat contre personne, ni contre un système. En tout cas, pas pour ce cas ci, je crois que j’ai d’autres combats à livrer ailleurs, beaucoup plus important. Et ce qui est triste au Sénégal est qu’il y’a un tas de braves gens qui ne font rien. Edmund Burke de dire: «Pour que le mal triomphe, il suffit que les hommes de bien ne fassent rien." C'est ce que nous devenons au Sénégal aujourd'hui,
Je ne cherche pas non plus à me faire un nom, je suis bien comme je suis, j’ai tout ce dont j’ai besoin et je gagne très bien ma vie. Chef d’entreprises, je travail honnêtement et j’ai accompli plusieurs projets avec sucées.
Et les gens qui disent que je suis un islamiste extrémiste se trompent entièrement sur mon cas. Je suis un Musulman et Talibé de Serigne Touba. Je suis un Mouride, et c’est également pour cela que j’ai voulu défendre aussi le travail si bien fait de cheikh Ahmadou Bamba, qui est reconnu dans le monde entier, comme étant un homme à dimension exceptionnelle. Je ne me permets pas de rester les bras croisés, après que sa personne n’est plus des nôtres, de regarder un individu détruire le travail acharné de Bamba. Ce dernier s’est battu contre Satan et les vices de ce mondes, et à eu une victoire éclatante, des personnes proviennent de partout dans le monde dans le cadre du magal et autres. Alors, moi talibé je ne laisserais personne mettre à néant son travail contre Satan.
J’ai également voulu éveiller les consciences de mon peuple, les femmes en l’occurrence. Leur faire savoir que le chemin de leur bonheur n’est pas loin et que toutes ces choses, qui constituent de mauvais exemples pour elles ne font que les détruire, elles le savent très bien. Je voulais, en tant soi peu, éveiller cette catégorie de la population d'une conscience nationale, qui va s'exprimer à travers chaque humain, chaque femme, par l'intermédiaire de sa conscience individuelle. La conscience est la capacité de se percevoir et de se comporter de manière adaptée. Par elle, nous est donnée la capacité d'agir sur nous-mêmes pour nous transformer, éviter certaines choses, qui ne nous apporte absolument rien en retour.
Après tout, j’ai retiré ma plainte contre Miss Djiongama ce lundi 11 février 2013, et Je crois que, et j’ose espérer que, nous serons assez conscient et mature pour éviter ce genre de scandale à l’avenir.
Abdoulaye NDAO.