Djibril War s’électrifie de nervosité, et pour cause. Le parlementaire ne comprend pas que certains s’acharnent sur le Professeur Songué Diouf, alors qu’ils s’étaient tus et terrés, lors un ministre-conseiller, indique-t-il, a été cité dans une sombre affaire de viol. Même si, fait-il noter, « la victime traîne toujours ce boulet invisible au plus profond de sa chair meurtrie, cette souillure, les séquelles physiques et morales, les souvenirs de cette sauvage et bestiale agression sexuelle, un film permanent qui se joue toujours devant elle sans son bon vouloir.»
Toutefois avertit Me War, « Ne soyez pas surpris, le jour où dans un aéroport à l’étranger , lors d’un débarquement, transit dans des pays où ce dossier a été transmis et qui est bien suivi, que le maniaque soit accueilli, menottes aux mains, comme ce fut le cas de cet ancien grand fonctionnaire du FMI, qui serait une pâle copie comparé de ce psychopathe qui aura bien le choix entre un emprisonnement de longue ou courte durée.
Le député vide le restant de ses munitions sur ceux et celles qui ont pendu le Professeur Songué Diouf, dont le seul tort aura été de philosopher, laisse-t-il entendre. Pour ce faire, Me Djibril War explique : « aujourd’hui, ce sont bien des compatriotes, des Sénégalais ou une nouvelle race ayant muté, censeurs auto proclamés de la morale qui ont dressé le gibet pour y prendre haut et court un professeur de philo, en fait déjà mort noyé par les fortes vagues des clameur d’indignation, d’insulte, pour emprunter un élément constitutif du délit ou crime pénal flagrant une réquisitoire sans appel.
SourceA
Toutefois avertit Me War, « Ne soyez pas surpris, le jour où dans un aéroport à l’étranger , lors d’un débarquement, transit dans des pays où ce dossier a été transmis et qui est bien suivi, que le maniaque soit accueilli, menottes aux mains, comme ce fut le cas de cet ancien grand fonctionnaire du FMI, qui serait une pâle copie comparé de ce psychopathe qui aura bien le choix entre un emprisonnement de longue ou courte durée.
Le député vide le restant de ses munitions sur ceux et celles qui ont pendu le Professeur Songué Diouf, dont le seul tort aura été de philosopher, laisse-t-il entendre. Pour ce faire, Me Djibril War explique : « aujourd’hui, ce sont bien des compatriotes, des Sénégalais ou une nouvelle race ayant muté, censeurs auto proclamés de la morale qui ont dressé le gibet pour y prendre haut et court un professeur de philo, en fait déjà mort noyé par les fortes vagues des clameur d’indignation, d’insulte, pour emprunter un élément constitutif du délit ou crime pénal flagrant une réquisitoire sans appel.
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