
Les Sénégalais, surtout les couches populaires, tremblent à l’idée que l’État puisse supprimer la subvention sur l’électricité. Les nouvelles autorités assurent qu’une telle décision ne serait pas prise sans préavis et que, le cas échéant, des mesures d’accompagnement permettraient d’épargner les revenus modestes. Mais la solution la plus simple, la plus solide, est de produire moins cher pour vendre moins cher l’énergie, ce qui constitue la vocation de la centrale West African Energy.
C’est ce qui se fait en Côte d’Ivoire, où l’électricité coûte presque trois fois moins cher qu’au Sénégal. Cet avantage concurrentiel majeur, entre autres, fait que ce pays est la destination favorite des investisseurs, surtout les industriels.
Le coût excessif de l’énergie plombe notre économie. Il fait fuir les investisseurs et appauvrit les ménages. La centrale West African Energy, lancée par des Sénégalais guidés par leur sens des affaires mais aussi, surtout, par leur patriotisme économique, constitue une belle occasion d’inverser la tendance.
Avec son lancement, tout le monde sera gagnant. À commencer par l’État, qui pourra obtenir une baisse du prix de l’électricité, sans recourir aux subventions qui réduisent sa marge de manœuvre face aux besoins de financement dans les domaines vitaux, comme la santé, l’éducation ou l’agriculture. Il y a aussi les producteurs et les consommateurs. En produisant moins cher, les premiers pourraient vendre aux seconds, à des prix plus bas.
Il urge donc de trouver une solution rapide à l’affaire West African Energy. Il ne s’agit pas de dicter une cadence à la justice, encore moins de lui tordre le bras. Il est plutôt question de dire le droit, tout en préservant un projet parti pour garantir notre souveraineté en matière d’énergie et renforcer la compétitivité de notre économie.
C’est ce qui se fait en Côte d’Ivoire, où l’électricité coûte presque trois fois moins cher qu’au Sénégal. Cet avantage concurrentiel majeur, entre autres, fait que ce pays est la destination favorite des investisseurs, surtout les industriels.
Le coût excessif de l’énergie plombe notre économie. Il fait fuir les investisseurs et appauvrit les ménages. La centrale West African Energy, lancée par des Sénégalais guidés par leur sens des affaires mais aussi, surtout, par leur patriotisme économique, constitue une belle occasion d’inverser la tendance.
Avec son lancement, tout le monde sera gagnant. À commencer par l’État, qui pourra obtenir une baisse du prix de l’électricité, sans recourir aux subventions qui réduisent sa marge de manœuvre face aux besoins de financement dans les domaines vitaux, comme la santé, l’éducation ou l’agriculture. Il y a aussi les producteurs et les consommateurs. En produisant moins cher, les premiers pourraient vendre aux seconds, à des prix plus bas.
Il urge donc de trouver une solution rapide à l’affaire West African Energy. Il ne s’agit pas de dicter une cadence à la justice, encore moins de lui tordre le bras. Il est plutôt question de dire le droit, tout en préservant un projet parti pour garantir notre souveraineté en matière d’énergie et renforcer la compétitivité de notre économie.