Comme annoncé par Walfadjri dans son édition d’hier, l’Imam Alioune Badara Ndao et les six autres personnes interpellées pour des pratiques liées au terrorisme ont été déférés au Parquet de Dakar. C’est effectif depuis hier. Ce qui signifie qu’ils ont été présentés au procureur de la République par la Section de recherches. Compte tenu des éléments à charge et des indices de preuves rassemblés par les enquêteurs contre les suspects, le maître des poursuites a, selon les informations du journal, saisi le président du Tribunal de grande instance de Dakar aux fins de désignation d’un juge d’instruction. Ce, pour l’ouverture d’une information judiciaire.
Alioune Badara Ndao, Mamadou Sall, entre autres, sont retournés au commissariat central de Dakar, en attendant que le maître des poursuites décide de leur destination finale. Par voie de conséquence, ils reviennent, ce jour, à la cave du Palais de justice Lat-Dior, pour connaître leur sort. Les informations de Walfadjri laissent croire que cette histoire file droit vers l’instruction, sauf revirement de dernière minute. En effet, le délit d’« atteinte à la sûreté de l’Etat », retenu par les enquêteurs, risque de conduire les mis en cause en prison, à la faveur du mandat de dépôt. Si cette charge est retenue par le juge d’instruction, « ils ne pourront nullement pas échapper à un tel sort puisque le délit d’atteinte à la sûreté de l’Etat collé au dossier impose le mandat de dépôt », confie une source judiciaire.
Au banc des accusés, on retrouve l’imam Alioune Badara Ndao arrêté à Kaolack, il y a de cela une semaine. Il a été cueilli, nuitamment, par des éléments de la Gendarmerie nationale avant d’être transféré sur Dakar. Cela, pour des besoins de l’enquête préliminaire confiée aux hommes en bleu. L’imam Mamadou Sall interpellé à Rufisque ainsi que les personnes arrêtées à Guédiawaye dont deux dames (Coumba Niang et Marième Sow) sont aussi dans la nasse. Au total, ils sont sept présumés terroristes sous la main de la justice, sans compter ceux qui sont déjà en détention avant jugement dans les différentes prisons sénégalaises. On en saura davantage ce jeudi.
Alioune Badara Ndao, Mamadou Sall, entre autres, sont retournés au commissariat central de Dakar, en attendant que le maître des poursuites décide de leur destination finale. Par voie de conséquence, ils reviennent, ce jour, à la cave du Palais de justice Lat-Dior, pour connaître leur sort. Les informations de Walfadjri laissent croire que cette histoire file droit vers l’instruction, sauf revirement de dernière minute. En effet, le délit d’« atteinte à la sûreté de l’Etat », retenu par les enquêteurs, risque de conduire les mis en cause en prison, à la faveur du mandat de dépôt. Si cette charge est retenue par le juge d’instruction, « ils ne pourront nullement pas échapper à un tel sort puisque le délit d’atteinte à la sûreté de l’Etat collé au dossier impose le mandat de dépôt », confie une source judiciaire.
Au banc des accusés, on retrouve l’imam Alioune Badara Ndao arrêté à Kaolack, il y a de cela une semaine. Il a été cueilli, nuitamment, par des éléments de la Gendarmerie nationale avant d’être transféré sur Dakar. Cela, pour des besoins de l’enquête préliminaire confiée aux hommes en bleu. L’imam Mamadou Sall interpellé à Rufisque ainsi que les personnes arrêtées à Guédiawaye dont deux dames (Coumba Niang et Marième Sow) sont aussi dans la nasse. Au total, ils sont sept présumés terroristes sous la main de la justice, sans compter ceux qui sont déjà en détention avant jugement dans les différentes prisons sénégalaises. On en saura davantage ce jeudi.