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Affaire du diplôme de Sitor Tor Ndour : Complot et Intox ?

Le moins qu’on puisse dire, c’est que discuter sur un diplôme de ministre et porter l’affaire devant l’opinions à l’affire par le biais de la presse, ne saurait être une entreprise gratuite. Et quand ce sont des adversaires poli tiques qui se livrent à ce genre de partiques indignes, il y a de qui donner raison à ceux qui pensent que la voyoucratie est devenue une classe dans les affaires de l’Etat.


Rédigé par leral.net le Jeudi 17 Juin 2010 à 14:35 | | 0 commentaire(s)|

Affaire du diplôme de Sitor Tor Ndour : Complot et Intox ?
Ameutés par une affaire de lettre administrative qui faisait passer Sitor Ndour pour un administrateur civil de classe exceptionnelle alors qu’en réalité, le directeur du Coud est un professeur de l’Enseignement Secondaire de Première Classe, Deuxème échelon, les sénégalais l’ont été. Surtout avec tout le tapage médiatique fait autour.

Mais à l’arrivée, ils ont déchanté. Sitor ne s’est jamais prévalu d’un tel titre pour s’assurer une promotion, et ses nombreuses correspondances pour dissiper une méprise administrative, viennent témoigner de sa bonne foi, en même temps qu’elles enfoncent ses rivaux politiques.

Les faits : Déjà le 12 janvier dernier, Sitor Ndour lui-même adressait une correspondance à ses supérieurs hirarchiques, pour signaler une erreur matérielle portant sur son statut, qui avait été commise sur son bulletin de salaire. Dans cette lettre, l’ex Ministre conseiller spécifiait aussi sa qualité de professeur et demandait la prise de dispositions nécessaires pour la rectification de l’erreur. Il sera entendu quelques jours plus tard, car une letre de confirmation des autorités tombera, pour lui restituer son droit et son titre.

La même erreur va se reproduire cependant, quand il a été nommé directeur du Coud .Mais cette fois, elle va servir à autre chose, pour ses adversaires politiques, du moment que l’ambitieux Sitor cherche toujours à mettre Fatick dans sa gibecière. Il ne va plus très difficile d’exploiter la faille, en y mêlant l’opinion publique, pour peinturlurer son image de marque. D’autant qu’on nourrit les mêmes ambitions politiques pour la Capitale du Ndoucoumane, et qu’on bénéficie de complicité active (et féminine ?) à la Présidence.

Mais qui disait qu’il suffisaitde chercher le mobile du crime?

rewmi

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