Nouvelle avancée dans l'affaire du double meurtre de Pikine Technopôle : Nabou Lèye a saisi le juge d'instruction, après moins de trois mois de détention. Selon "Les Échos", ses avocats ont déposé une demande de liberté provisoire, bien qu’elle n’ait pas encore été entendue sur le fond du dossier.
N'empêche, précise le journal repris par "Seneweb", la défense de la danseuse et artiste comédienne, dans sa requête déposée ce lundi, soutient que celle-ci a été citée à tort dans cette affaire. «[i[Leur cliente] est innocente et n'a rien à voir dans [ce dossier]]i», plaident les robes noires, reprises par la source. Autres arguments, soulèvent les avocats de Nabou Lèye, «i[[celle-ci] n'a jamais reconnu avoir participé de quelque manière que ce soit, au double meurtre de Aziz Bâ dit Aziz Dabala et Boubacar Gano dit "Waly". [Mieux], il n'y a aucun élément factuel qui l'incrimine ni aucun élément de preuve]i».
Il s'y ajoute, soulignent-ils, qu'«aucun des mis en cause, inculpés dans ce dossier, ne l'a citée comme ayant participé d'une manière ou d'une autre à ces crimes». La défense de Nabou Lèye en conclut à «une erreur de la part des enquêteurs, sur les résultats fournis par rapport au bornage de son téléphone», d'autant que martèlent les conseils, l'appareil «i[bornait à 12 heures, dans les environs du lieu du crime, [et non] à minuit]i». La balle est dans le camp du magistrat instructeur, indique le quotidien d'informations.
Pour rappel, «Aziz Dabala» et son neveu, «Wally», ont été retrouvés morts dans l’appartement du danseur, à Pikine Technopôle. Dans le cadre de l’enquête confiée à la Division des investigations criminelles (DIC), sept personnes, dont Nabou Lèye, ont été arrêtées et placées sous mandat de dépôt.
N'empêche, précise le journal repris par "Seneweb", la défense de la danseuse et artiste comédienne, dans sa requête déposée ce lundi, soutient que celle-ci a été citée à tort dans cette affaire. «[i[Leur cliente] est innocente et n'a rien à voir dans [ce dossier]]i», plaident les robes noires, reprises par la source. Autres arguments, soulèvent les avocats de Nabou Lèye, «i[[celle-ci] n'a jamais reconnu avoir participé de quelque manière que ce soit, au double meurtre de Aziz Bâ dit Aziz Dabala et Boubacar Gano dit "Waly". [Mieux], il n'y a aucun élément factuel qui l'incrimine ni aucun élément de preuve]i».
Il s'y ajoute, soulignent-ils, qu'«aucun des mis en cause, inculpés dans ce dossier, ne l'a citée comme ayant participé d'une manière ou d'une autre à ces crimes». La défense de Nabou Lèye en conclut à «une erreur de la part des enquêteurs, sur les résultats fournis par rapport au bornage de son téléphone», d'autant que martèlent les conseils, l'appareil «i[bornait à 12 heures, dans les environs du lieu du crime, [et non] à minuit]i». La balle est dans le camp du magistrat instructeur, indique le quotidien d'informations.
Pour rappel, «Aziz Dabala» et son neveu, «Wally», ont été retrouvés morts dans l’appartement du danseur, à Pikine Technopôle. Dans le cadre de l’enquête confiée à la Division des investigations criminelles (DIC), sept personnes, dont Nabou Lèye, ont été arrêtées et placées sous mandat de dépôt.