Réagissant à l'espace public qui bruit depuis quelques temps de tensions sociales fortes, qui n’épargnent pas le secteur des médias, dont certains acteurs ont été parties prenantes, le Syndicat des Professionnels de l’Information et de la Communication du Sénégal, (Synpics) a adressé un message aux journalistes. En voici la teneur
Il en est ainsi de l’affaire qui a opposé certains cadres du ministère de l’Environnement à des journalistes accusés de diffamation, de l’affaire dite de l’interdiction d’accès au tribunal de Dakar, ainsi que de l’affaire dite de la conférence de presse du groupe Sedima sur le sujet des terres de Ndingler.
Pour toutes ces affaires, le Synpics tient à rappeler aux différents protagonistes, notamment aux journalistes, de privilégier les principes de base de ce noble métier et de ne céder à aucune collusion autre qu'avec le public, destinataire du travail journalistique.
- S’agissant de l’affaire de diffamation présumée opposant le Dage et le Sg du ministère de l’Environnement et des journalistes, le Synpics se félicite de l’issue heureuse, qui a consisté au désistement de la partie plaignante. Le Synpics salue l’implication personnelle du ministre de l’Environnement qui a contribué à cette solution.
- Il en est de même pour l’affaire dite des ‘’chroniqueurs judiciaires’’. Informé de la situation, le Synpics a pris sur lui, en rapport avec le président de l’Association des chroniqueurs judiciaires, de prendre contact avec les autorités judiciaires.
Le ministre de la Justice a de suite donné les instructions pour que cette entrave à la liberté du travail du journaliste, soit levée et nous a déclaré que ‘’rien ne peut justifier une pareille décision’’. Le président de l’Association des chroniqueurs judiciaires, par ailleurs membre du BEN du Synpics, a diligenté avec les membres du bureau de l’association, la levée de cette décision inique.
- Pour ce qui est de la sortie médiatique de Sedima, le Synpics s’en remet à la déclaration du Cored. Au delà, le Synpics demande aux organes de presse, de veiller à la crédibilité de leurs équipes rédactionnelles, en veillant à préciser au public, la nature commerciale de toute production médiatique. Il est malheureux de constater que seul le groupe E Media a précisé à l’endroit du public, qu’il s’agissait d’un publireportage.
Sans verser dans le paternalisme, il nous semble important de rappeler à tous, que le contexte actuel appelle de notre part, plus de Rigueur, de Vigilance et de Solidarité.
Enfin, s'adressant aux médias en ligne, le Synpics rappelle que les mêmes règles qui s'imposent aux médias classiques leur sont opposables et les invite à faire preuve de plus de rigueur dans l’exercice de leur mission de service public de l’information.
Informer juste et vrai, endosser la pleine responsabilité du journaliste tout en jouissant des privilèges qu'offre la pratique du métier, notamment les régimes de Libertés et de Protection, doivent plus que jamais être notre Credo.
Il en est ainsi de l’affaire qui a opposé certains cadres du ministère de l’Environnement à des journalistes accusés de diffamation, de l’affaire dite de l’interdiction d’accès au tribunal de Dakar, ainsi que de l’affaire dite de la conférence de presse du groupe Sedima sur le sujet des terres de Ndingler.
Pour toutes ces affaires, le Synpics tient à rappeler aux différents protagonistes, notamment aux journalistes, de privilégier les principes de base de ce noble métier et de ne céder à aucune collusion autre qu'avec le public, destinataire du travail journalistique.
- S’agissant de l’affaire de diffamation présumée opposant le Dage et le Sg du ministère de l’Environnement et des journalistes, le Synpics se félicite de l’issue heureuse, qui a consisté au désistement de la partie plaignante. Le Synpics salue l’implication personnelle du ministre de l’Environnement qui a contribué à cette solution.
- Il en est de même pour l’affaire dite des ‘’chroniqueurs judiciaires’’. Informé de la situation, le Synpics a pris sur lui, en rapport avec le président de l’Association des chroniqueurs judiciaires, de prendre contact avec les autorités judiciaires.
Le ministre de la Justice a de suite donné les instructions pour que cette entrave à la liberté du travail du journaliste, soit levée et nous a déclaré que ‘’rien ne peut justifier une pareille décision’’. Le président de l’Association des chroniqueurs judiciaires, par ailleurs membre du BEN du Synpics, a diligenté avec les membres du bureau de l’association, la levée de cette décision inique.
- Pour ce qui est de la sortie médiatique de Sedima, le Synpics s’en remet à la déclaration du Cored. Au delà, le Synpics demande aux organes de presse, de veiller à la crédibilité de leurs équipes rédactionnelles, en veillant à préciser au public, la nature commerciale de toute production médiatique. Il est malheureux de constater que seul le groupe E Media a précisé à l’endroit du public, qu’il s’agissait d’un publireportage.
Sans verser dans le paternalisme, il nous semble important de rappeler à tous, que le contexte actuel appelle de notre part, plus de Rigueur, de Vigilance et de Solidarité.
Enfin, s'adressant aux médias en ligne, le Synpics rappelle que les mêmes règles qui s'imposent aux médias classiques leur sont opposables et les invite à faire preuve de plus de rigueur dans l’exercice de leur mission de service public de l’information.
Informer juste et vrai, endosser la pleine responsabilité du journaliste tout en jouissant des privilèges qu'offre la pratique du métier, notamment les régimes de Libertés et de Protection, doivent plus que jamais être notre Credo.