La justice sud-africaine a lancé mardi un mandat d’arrêt contre l’ancien président Jacob Zuma. Mais le mandat ne sera effectif qu’à compter du 6 mai.
Les avocats de l’ancien chef de l’Etat ont invoqué mardi des raisons médicales pour justifier l’absence de leur client devant la Haute Cour de Pietermaritzburg.
…Le juge exige des preuves
La cour accepte que M. Zuma puisse ne pas être en bonne santé», mais elle a besoin de «preuves fiables», a réagi la juge Dhaya Pillay, doutant notamment que l’auteur du certificat médical de l’ex-président soit un médecin enregistré en bonne et due forme.
Par conséquent, « un mandat d’arrêt pour l’accusé M. Zuma est lancé mais suspendu jusqu’au 6 mai 2020 », a-t-elle conclu.
Armement et pots-de-vin
L’ancien président, au pouvoir de 2009 à 2018, était convoqué mardi devant la justice, dans le cadre d’une audience en vue de son procès dans une vieille affaire de contrat d’armements, aux multiples rebondissements judiciaires.
Les avocats de l’ancien chef de l’Etat ont invoqué mardi des raisons médicales pour justifier l’absence de leur client devant la Haute Cour de Pietermaritzburg.
…Le juge exige des preuves
La cour accepte que M. Zuma puisse ne pas être en bonne santé», mais elle a besoin de «preuves fiables», a réagi la juge Dhaya Pillay, doutant notamment que l’auteur du certificat médical de l’ex-président soit un médecin enregistré en bonne et due forme.
Par conséquent, « un mandat d’arrêt pour l’accusé M. Zuma est lancé mais suspendu jusqu’au 6 mai 2020 », a-t-elle conclu.
Armement et pots-de-vin
L’ancien président, au pouvoir de 2009 à 2018, était convoqué mardi devant la justice, dans le cadre d’une audience en vue de son procès dans une vieille affaire de contrat d’armements, aux multiples rebondissements judiciaires.