L'ex-président sud-africain Nelson Mandela s'apprête ce mardi à passer sa cinquième nuit dans l'hôpital de Pretoria où il est toujours traité dans un état grave pour une infection pulmonaire, après avoir reçu dans la journée la visite de ses proches.
"L'ancien président est toujours dans un état grave mais stable", a déclaré la présidence, en précisant que "les médecins (faisaient) de leur mieux pour guérir Madiba", utilisant le nom de clan affectueusement utilisé en Afrique du Sud pour désigner le premier président noir du pays.
La présidence sud-africaine a utilisé les mêmes mots que dans son premier communiqué annonçant l'hospitalisation du grand homme, samedi matin. Elle avait dit lundi que son état était "inchangé".
A la question de savoir ce qu'il fallait entendre par "stable", le porte-parole de la présidence Mac Maharaj a joué avec les mots: "Ca veut dire stable. Stable ne veut pas dire mieux ou pire, ça veut dire que ça ne change pas. Ca ne fluctue pas, c'est stable."
"Je suis désolé de ne pas pouvoir en dire plus", a-t-il ajouté à l'AFP.
Il n'a notamment pas voulu confirmer si Nelson Mandela pouvait respirer sans assistance --ce qu'il avait dit samedi--, invoquant le secret médical.
Le président Jacob Zuma a rencontré personnellement lundi soir l'équipe qui s'occupe de son illustre prédécesseur dans une clinique privée de Pretoria et les médecins lui "ont fourni un rapport détaillé", selon ses services.
Malgré ce nouveau bulletin de santé peu encourageant, M. Zuma lui-même n'a pas annulé les activités prévues à son agenda. Il s’est rebdu cemardi au Cap, à deux heures de vol, pour préparer un discours de présentation budgétaire devant le Parlement prévu le lendemain.
L'établissement où est hospitalisé le héros de la lutte anti-apartheid, le Mediclinic Heart Hospital, est sous stricte surveillance policière depuis lundi soir. L'entrée est gardée par des policiers en faction, alors que les médias du monde entier continuent d'affluer.
"
Mandela n'est plus apparu en public depuis la coupe du monde de football organisée par son pays en 2010, et depuis 2011, il en est à son quatrième séjour à l'hôpital pour un problème pulmonaire ou respiratoire, sans compter un check-up en mars dernier.
Sa dernière hospitalisation, qui a duré dix jours, remonte à fin mars/début avril.
"L'ancien président est toujours dans un état grave mais stable", a déclaré la présidence, en précisant que "les médecins (faisaient) de leur mieux pour guérir Madiba", utilisant le nom de clan affectueusement utilisé en Afrique du Sud pour désigner le premier président noir du pays.
La présidence sud-africaine a utilisé les mêmes mots que dans son premier communiqué annonçant l'hospitalisation du grand homme, samedi matin. Elle avait dit lundi que son état était "inchangé".
A la question de savoir ce qu'il fallait entendre par "stable", le porte-parole de la présidence Mac Maharaj a joué avec les mots: "Ca veut dire stable. Stable ne veut pas dire mieux ou pire, ça veut dire que ça ne change pas. Ca ne fluctue pas, c'est stable."
"Je suis désolé de ne pas pouvoir en dire plus", a-t-il ajouté à l'AFP.
Il n'a notamment pas voulu confirmer si Nelson Mandela pouvait respirer sans assistance --ce qu'il avait dit samedi--, invoquant le secret médical.
Le président Jacob Zuma a rencontré personnellement lundi soir l'équipe qui s'occupe de son illustre prédécesseur dans une clinique privée de Pretoria et les médecins lui "ont fourni un rapport détaillé", selon ses services.
Malgré ce nouveau bulletin de santé peu encourageant, M. Zuma lui-même n'a pas annulé les activités prévues à son agenda. Il s’est rebdu cemardi au Cap, à deux heures de vol, pour préparer un discours de présentation budgétaire devant le Parlement prévu le lendemain.
L'établissement où est hospitalisé le héros de la lutte anti-apartheid, le Mediclinic Heart Hospital, est sous stricte surveillance policière depuis lundi soir. L'entrée est gardée par des policiers en faction, alors que les médias du monde entier continuent d'affluer.
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Mandela n'est plus apparu en public depuis la coupe du monde de football organisée par son pays en 2010, et depuis 2011, il en est à son quatrième séjour à l'hôpital pour un problème pulmonaire ou respiratoire, sans compter un check-up en mars dernier.
Sa dernière hospitalisation, qui a duré dix jours, remonte à fin mars/début avril.