Selon l'Ayatollah de Kaolack, comme le surnommait le défunt "Cafard libéré", "en me réconciliant avec Jean Collin qu’il m’avait présenté en 1982, après m’avoir nuitamment extrait de prison, Abdou Diouf m’avait dit, en bougeant ses doigts : «Jean Collin et moi,sommes comme les doigts d’une seule main». Et de poursuivre : "en réalité, Abdou Diouf était un doigt et Jean Collin la main toute entière".
"C’est d’ailleurs, conclut le propriétaire du Palais Ahmeddiyana de Fass, ce que j’ai dit de manière feutrée dans ma lettre pamphlétaire à publier prochainement et dont l’intitulé est "A moussé De Gaulle Mitterrand et Sarkozy", en parlant de "Niokhobaye Diouf et de Jean Co Lerevenant".
Ferloo
"C’est d’ailleurs, conclut le propriétaire du Palais Ahmeddiyana de Fass, ce que j’ai dit de manière feutrée dans ma lettre pamphlétaire à publier prochainement et dont l’intitulé est "A moussé De Gaulle Mitterrand et Sarkozy", en parlant de "Niokhobaye Diouf et de Jean Co Lerevenant".
Ferloo