Quand le Président Abdoulaye Wade vous accorda sa bénédiction après l’exercice du pouvoir, il était à mille lieues de s'imaginer que le Sénégal se retrouverait dans ce gouffre sans précédent où vous l'avez mené. Étant le plus jeune des Présidents de ce Pays,vous auriez dû penser à des réformes ambitieuses et un bond en avant prodigieux, qui nous aurait propulsés au rang de 1er ou second Pays émergent du Continent.
Mais dès le début, vous avez fait une fausse note démentielle, en entamant une traque sous forme de vendetta contre votre adversaire le plus redouté vu son parcours élogieux et vous l'avez exilé.
Tout en bafouant toutes les règles de la démocratie. Si vous vous étiez contenté de gouverner, aujourd'hui nous n'en serions pas là où nous sommes, dans un gouffre profond et au pied du mur. Un Pays ne peut être sans opposition, la concurrence pousse à la perfection.
En voulant museler tout adversaire politique, vous vous êtes retrouvé face à un dilemme difficile à surmonter, à moins de faire face à votre opposition naturelle et à revenir à l'Etat de droit, afin que tous les adversaires puissent participer aux élections.
Le Sénégal ne doit pas être privé du talent d’un Karim qui, d’abord comme conseiller du Président Abdoulaye Wade, ensuite en sa qualité de Président du Conseil de surveillance de l’ANOCI, puis comme ministre d’Etat, a permis au pays de la Teranga de se doter d’infrastructures futuristes et des moyens de transport dignes de ces réalisations.
Dans le domaine de l’Energie, l’architecte du « Plan Takkal » a sorti la SENELEC des ténèbres, dans un contexte de crise financière internationale, alors qu’on ne parlait pas de pétrole ou de gaz.
Mais dès le début, vous avez fait une fausse note démentielle, en entamant une traque sous forme de vendetta contre votre adversaire le plus redouté vu son parcours élogieux et vous l'avez exilé.
Tout en bafouant toutes les règles de la démocratie. Si vous vous étiez contenté de gouverner, aujourd'hui nous n'en serions pas là où nous sommes, dans un gouffre profond et au pied du mur. Un Pays ne peut être sans opposition, la concurrence pousse à la perfection.
En voulant museler tout adversaire politique, vous vous êtes retrouvé face à un dilemme difficile à surmonter, à moins de faire face à votre opposition naturelle et à revenir à l'Etat de droit, afin que tous les adversaires puissent participer aux élections.
Le Sénégal ne doit pas être privé du talent d’un Karim qui, d’abord comme conseiller du Président Abdoulaye Wade, ensuite en sa qualité de Président du Conseil de surveillance de l’ANOCI, puis comme ministre d’Etat, a permis au pays de la Teranga de se doter d’infrastructures futuristes et des moyens de transport dignes de ces réalisations.
Dans le domaine de l’Energie, l’architecte du « Plan Takkal » a sorti la SENELEC des ténèbres, dans un contexte de crise financière internationale, alors qu’on ne parlait pas de pétrole ou de gaz.