De Dakar à Matam, des infrastructures sortent de terre, sous le magistère du Pape du Sopi, malgré la caricature des socialistes qui disaient ironiquement « éléphants bleus », pour faire croire que Me Wade n’était pas capable de réaliser ses promesses alors qu’il était dans l’opposition ».
Toutes choses qui, à l’en croire, amenèrent le Premier ministre Macky Sall à comparer Me Wade à Roosevelt et à Napoléon. « Vous êtes pour le Sénégal et l’Afrique, ce que Napoléon fut pour la France. A chaque fois que l’on eut besoin d’un homme et d’un seul, tous les esprits se sont tournés vers vous, Maître. Comme Roosevelt qui, en 1929, tira l’Amérique de la grande récession par la politique des grands travaux, vous avez mis le Sénégal sur orbite, pour en faire un pays émergent, grâce à vos vastes chantiers qui ont fini de redonner aux éléphants leurs couleurs naturelles », déclarait le Premier ministre Macky Sall, comme nous le rappelle Aïcha Gueye.
« Ce que Macky Sall n’avait pas dit, précise encore la libérale, c’est qu’au cœur de ce processus de transformation radicale du visage du Sénégal, se trouvait un ingénieur financier aux idées modernes, Karim Wade, en l’occurrence, qui a de qui tenir pour donner corps à la haute vision de son père ».
Elle mentionne, en outre : « Wade-fils, dès le milieu des années 2000, profite de l’organisation de la Conférence islamique à Dakar, pour, à la tête d’une équipe de compatriotes compétents et rigoureux, doter la capitale d’infrastructures futuristes ».
Tout cela, « dans un contexte marqué par une conjoncture économique au plan international », « Karim Wade, accompagne son père à diversifier le portefeuille du partenariat par une ouverture aux pays asiatiques, notamment », fait-elle remarquer.
« Dans le domaine du transport terrestre, la coopération avec des pays comme la Chine et l’Inde favorise le renouvèlement du parc des bus sur fond d’édification d’autoroutes de dernière génération. Au rayon du transport aérien, le Sénégal se dote d’un aéroport conçu suivant des standards dignes de ceux en vigueur dans la plupart des pays émergents du BRIC », a poursuivi cette inconditionnelle de Karim Wade.
« Le ministre d’Etat, ministre de la Coopération internationale, des Transports aériens, des Infrastructures et de l'Energie a aussi joué un rôle décisif pour, à travers le plan Takkal, mettre fin aux coupures intempestives d’électricité, alors que les fluctuations orientées à la hausse sur le dollar et le prix du baril de pétrole n’arrangeaient guère le Sénégal », renchérit-elle.
« En somme, conclut-elle, Karim Wade de par sa compétence, nous a prouvé que l'on peut bien apprendre de son père. La vision de Wade pour l'Afrique a servi d'exemple à bon nombre de chefs d'États du Continent. Ainsi, la pomme ne tombe jamais loin de l'arbre. Nous avons tout à gagner avec Karim à la tête du Pays. C'est un homme intègre qui prône le redressement économique et la cohésion sociale ».
Toutes choses qui, à l’en croire, amenèrent le Premier ministre Macky Sall à comparer Me Wade à Roosevelt et à Napoléon. « Vous êtes pour le Sénégal et l’Afrique, ce que Napoléon fut pour la France. A chaque fois que l’on eut besoin d’un homme et d’un seul, tous les esprits se sont tournés vers vous, Maître. Comme Roosevelt qui, en 1929, tira l’Amérique de la grande récession par la politique des grands travaux, vous avez mis le Sénégal sur orbite, pour en faire un pays émergent, grâce à vos vastes chantiers qui ont fini de redonner aux éléphants leurs couleurs naturelles », déclarait le Premier ministre Macky Sall, comme nous le rappelle Aïcha Gueye.
« Ce que Macky Sall n’avait pas dit, précise encore la libérale, c’est qu’au cœur de ce processus de transformation radicale du visage du Sénégal, se trouvait un ingénieur financier aux idées modernes, Karim Wade, en l’occurrence, qui a de qui tenir pour donner corps à la haute vision de son père ».
Elle mentionne, en outre : « Wade-fils, dès le milieu des années 2000, profite de l’organisation de la Conférence islamique à Dakar, pour, à la tête d’une équipe de compatriotes compétents et rigoureux, doter la capitale d’infrastructures futuristes ».
Tout cela, « dans un contexte marqué par une conjoncture économique au plan international », « Karim Wade, accompagne son père à diversifier le portefeuille du partenariat par une ouverture aux pays asiatiques, notamment », fait-elle remarquer.
« Dans le domaine du transport terrestre, la coopération avec des pays comme la Chine et l’Inde favorise le renouvèlement du parc des bus sur fond d’édification d’autoroutes de dernière génération. Au rayon du transport aérien, le Sénégal se dote d’un aéroport conçu suivant des standards dignes de ceux en vigueur dans la plupart des pays émergents du BRIC », a poursuivi cette inconditionnelle de Karim Wade.
« Le ministre d’Etat, ministre de la Coopération internationale, des Transports aériens, des Infrastructures et de l'Energie a aussi joué un rôle décisif pour, à travers le plan Takkal, mettre fin aux coupures intempestives d’électricité, alors que les fluctuations orientées à la hausse sur le dollar et le prix du baril de pétrole n’arrangeaient guère le Sénégal », renchérit-elle.
« En somme, conclut-elle, Karim Wade de par sa compétence, nous a prouvé que l'on peut bien apprendre de son père. La vision de Wade pour l'Afrique a servi d'exemple à bon nombre de chefs d'États du Continent. Ainsi, la pomme ne tombe jamais loin de l'arbre. Nous avons tout à gagner avec Karim à la tête du Pays. C'est un homme intègre qui prône le redressement économique et la cohésion sociale ».