Coach, la préparation a-t-elle bien démarré ?
Oui, la préparation a commencé ce matin avec l’acheminement des joueurs de Casablanca jusqu’à El Jadida. Vous avez constaté qu’une dizaine de joueurs étaient concernés par les matchs de championnats. On retrouvera tout le monde ce soir. C’est demain (ce mardi) qu’on retrouvera le terrain pour débuter les séances d’entraînement.
Comment entrevoyez-vous la rencontre ?
C’est une rencontre simple à entrevoir. On sait quel est le résultat qu’il nous faut. C’est différent d’un match où il nous faut gagner par un but d’écart. Là, on sait qu’il faut marquer deux buts. On a conscience de cela. On va répondre à ce que le match demandera comme investissement et implication.
Le groupe sera-t-il complet aujourd’hui (hier) ?
Normalement oui. En tout cas sur le week-end, il n’y a pas de problème de blessure qui fait qu’un joueur ne sera pas là. Il y a de petits bobos des joueurs qui sont obligés de s’arrêter. On prendra en compte leur état de santé.
N’est-il pas embêtant de se préparer à plus de 90 kilomètres du lieu de la rencontre ?
Vous savez, vous pouvez toujours tout trouver et moi je pourrai toujours vous dire l’inverse. J’estime qu’on est mieux ici. Un lieu très différent du bouillonnement de Casablanca et de ses embouteillages. On prépare une équipe dans des conditions de calme et de tranquillité. Sur le plan psychologique, on veut toujours être au beau fixe.
Sur ce plan aussi, la Côte d’Ivoire semble doubler le Sénégal ?
Oui, si vous parlez d’une façon plus précise, on dirait que l’adversaire a choisi un lieu qui pourrait bien nous accueillir. Ils sont dans un bon cadre, en dehors de Casablanca. C’est un centre haut de gamme avec des installations qui ne sont faites que pour le football. Après cela, il y a des possibilités plus compliquées à Casablanca. Maintenant, nous sommes là, on se préparera dans ces conditions jusqu’à jeudi. Cela nous permet d’éviter de faire 90 kilomètres le jour du match.
Est-ce qu’on peut dire que quelqu’un n’a pas fait son boulot ?
Effectivement, je peux dire qu’on aurait pu être plus réactif. Ce n’est pas aujourd’hui qu’il faut poser le débat, mais c’est un débat qui mérite d’être posé. Il s’élargit sur l’organisation de l’équipe nationale. Ce n’est pas moi qui vais le dire, mais il y a des choses à dire et à redire.
Avez-vous suivi les différentes prestations de vos joueurs ?
Oui. Ils ont eu des fortunes diverses. Ce qui est plus étonnant, c’est qu’il y avait des confrontations directes sénégalo-ivoiriennes, mais aussi sénégalo-sénégalaises. Aujourd’hui, il va falloir éliminer tout ce qu’ils ont connu d’heureux et de malheureux en clubs. Ils se trouveront dans l’équipe nationale et leur concentration se basera sur ça.
Un défenseur, Djilobodji, a fait parler de lui. Est-ce un signal fort ?
La première performance, c’est que quand les joueurs marquent des buts, c’est important. Il y a un défenseur qui a marqué, mais il y a un autre aussi qui s’est signalé. Ça fera plaisir à certains de vos collègues. Mais il faut être très prudent sur la répercussion que ça peut avoir.
La Côte d’Ivoire semble être dans une meilleure position…
On n’a pas eu le temps de débattre d’une façon profonde. Je peux vous dire qu’au match aller, c’est tout sauf un match catastrophe. Vous pouvez le reprendre dans tous les sens, on revient toujours sur les mêmes points. La Côte d’Ivoire est dans une situation qui est meilleure pour elle. Elle n’a pas à faire le jeu. C’est à nous d’aller chercher le résultat. Et une équipe comme la Côte d’Ivoire est plus agréable à jouer dans ces conditions de jeu, parce qu’elle va attendre l’adversaire.
Stades
Oui, la préparation a commencé ce matin avec l’acheminement des joueurs de Casablanca jusqu’à El Jadida. Vous avez constaté qu’une dizaine de joueurs étaient concernés par les matchs de championnats. On retrouvera tout le monde ce soir. C’est demain (ce mardi) qu’on retrouvera le terrain pour débuter les séances d’entraînement.
Comment entrevoyez-vous la rencontre ?
C’est une rencontre simple à entrevoir. On sait quel est le résultat qu’il nous faut. C’est différent d’un match où il nous faut gagner par un but d’écart. Là, on sait qu’il faut marquer deux buts. On a conscience de cela. On va répondre à ce que le match demandera comme investissement et implication.
Le groupe sera-t-il complet aujourd’hui (hier) ?
Normalement oui. En tout cas sur le week-end, il n’y a pas de problème de blessure qui fait qu’un joueur ne sera pas là. Il y a de petits bobos des joueurs qui sont obligés de s’arrêter. On prendra en compte leur état de santé.
N’est-il pas embêtant de se préparer à plus de 90 kilomètres du lieu de la rencontre ?
Vous savez, vous pouvez toujours tout trouver et moi je pourrai toujours vous dire l’inverse. J’estime qu’on est mieux ici. Un lieu très différent du bouillonnement de Casablanca et de ses embouteillages. On prépare une équipe dans des conditions de calme et de tranquillité. Sur le plan psychologique, on veut toujours être au beau fixe.
Sur ce plan aussi, la Côte d’Ivoire semble doubler le Sénégal ?
Oui, si vous parlez d’une façon plus précise, on dirait que l’adversaire a choisi un lieu qui pourrait bien nous accueillir. Ils sont dans un bon cadre, en dehors de Casablanca. C’est un centre haut de gamme avec des installations qui ne sont faites que pour le football. Après cela, il y a des possibilités plus compliquées à Casablanca. Maintenant, nous sommes là, on se préparera dans ces conditions jusqu’à jeudi. Cela nous permet d’éviter de faire 90 kilomètres le jour du match.
Est-ce qu’on peut dire que quelqu’un n’a pas fait son boulot ?
Effectivement, je peux dire qu’on aurait pu être plus réactif. Ce n’est pas aujourd’hui qu’il faut poser le débat, mais c’est un débat qui mérite d’être posé. Il s’élargit sur l’organisation de l’équipe nationale. Ce n’est pas moi qui vais le dire, mais il y a des choses à dire et à redire.
Avez-vous suivi les différentes prestations de vos joueurs ?
Oui. Ils ont eu des fortunes diverses. Ce qui est plus étonnant, c’est qu’il y avait des confrontations directes sénégalo-ivoiriennes, mais aussi sénégalo-sénégalaises. Aujourd’hui, il va falloir éliminer tout ce qu’ils ont connu d’heureux et de malheureux en clubs. Ils se trouveront dans l’équipe nationale et leur concentration se basera sur ça.
Un défenseur, Djilobodji, a fait parler de lui. Est-ce un signal fort ?
La première performance, c’est que quand les joueurs marquent des buts, c’est important. Il y a un défenseur qui a marqué, mais il y a un autre aussi qui s’est signalé. Ça fera plaisir à certains de vos collègues. Mais il faut être très prudent sur la répercussion que ça peut avoir.
La Côte d’Ivoire semble être dans une meilleure position…
On n’a pas eu le temps de débattre d’une façon profonde. Je peux vous dire qu’au match aller, c’est tout sauf un match catastrophe. Vous pouvez le reprendre dans tous les sens, on revient toujours sur les mêmes points. La Côte d’Ivoire est dans une situation qui est meilleure pour elle. Elle n’a pas à faire le jeu. C’est à nous d’aller chercher le résultat. Et une équipe comme la Côte d’Ivoire est plus agréable à jouer dans ces conditions de jeu, parce qu’elle va attendre l’adversaire.
Stades