A l’en croire, il va lui servir deux plaintes pour licenciement abusif et diffamation. Secrétaire général du collectif des ex-travailleurs d’excaf, Boubane dénonce les « magouilles » de M. Diagne. Selon lui tout serait partie d’un vol de camera qui s’est produit à excaf il y a quelques mois. « Pour retrouver l’appareil, le PDG a fait appel à un voyant pour une séance de maraboutage appelé Guendal. Aidé en cela par le chef du desk religion, Oustaz Biteye, il a regroupé les centaines de travailleurs, ses enfants, les responsables de l’entreprise… Lorsque je suis entré dans la salle et qu’on m’a expliqué ce que c’était, je suis reparti à mon bureau », confirme Yara Boubane.
Et D’ajouter : « Quelques instants après, un de ses fils avec qui je m’entends bien m’a appelé pour me faire savoir que c’était mon tour. J’ai dit niet. Le directeur technique m’a convaincu par pudeur, je l’ai fait. J’ai mis ma main entre deux mains entre deux bâtons, le marabout m’a demandé de partir sous prétexte que je n’étais pas le voleur ». Et en sortant du bureau le journaliste souligne avoir croisé son patron et lui a fait remarquer que cette pratique était contraire à leur slogan. La Rdv passe tout son temps à dire Alkhamdoulilah. Une remarque qui n’a pas plu au patron d’excaf. « Il a convoqué son staff pour leur dire que je venais de le vexer et qu’il allait me licencier. Il m’en veut aussi car il pense que c’est moi qui l’ai balancé à la douane avec l’affaire Mbir Mi et Ngora Keng alors que tel n’est pas le cas ».
Par ailleurs selon l’ex-employé d’excaf, le patron du groupe ne respecte pas les contrats qu’il signe avec ses employés. Ici rien ne se passe comme dans les autres rédactions puisqu’ « il licencie quand il en a envie. L’unique propriétaire et fondateur s’occupe de tout. Même pour acheter une cassette de reportage, il faut aller voir le PDG qui décaisse directement. Personne n’ose le faire. Depuis 10 ans, il ne fait que licencier injustement. Il te croise et te vire sous prétexte qu’il ne te connaît pas. »
Pire encore le journaliste licencié confie que son ex patron a même viré une fille pour une bise. « Elle avait reçu la visite d’un ami. Ils sont chrétiens et au moment de se séparer le monsieur lui a fait une bise d’adieu et dès qu’il les a aperçus, il a viré la dame », affirme le journaliste.
Abert Yara Boubane se dit toutefois optimiste pour les deux procès qu’il compte coller à Ben Bass Diagne. « Il perd toujours et demande un moratoire évoquant les difficultés financières de la boite. On a des preuves qu’il est un grand corrupteur ».
Et D’ajouter : « Quelques instants après, un de ses fils avec qui je m’entends bien m’a appelé pour me faire savoir que c’était mon tour. J’ai dit niet. Le directeur technique m’a convaincu par pudeur, je l’ai fait. J’ai mis ma main entre deux mains entre deux bâtons, le marabout m’a demandé de partir sous prétexte que je n’étais pas le voleur ». Et en sortant du bureau le journaliste souligne avoir croisé son patron et lui a fait remarquer que cette pratique était contraire à leur slogan. La Rdv passe tout son temps à dire Alkhamdoulilah. Une remarque qui n’a pas plu au patron d’excaf. « Il a convoqué son staff pour leur dire que je venais de le vexer et qu’il allait me licencier. Il m’en veut aussi car il pense que c’est moi qui l’ai balancé à la douane avec l’affaire Mbir Mi et Ngora Keng alors que tel n’est pas le cas ».
Par ailleurs selon l’ex-employé d’excaf, le patron du groupe ne respecte pas les contrats qu’il signe avec ses employés. Ici rien ne se passe comme dans les autres rédactions puisqu’ « il licencie quand il en a envie. L’unique propriétaire et fondateur s’occupe de tout. Même pour acheter une cassette de reportage, il faut aller voir le PDG qui décaisse directement. Personne n’ose le faire. Depuis 10 ans, il ne fait que licencier injustement. Il te croise et te vire sous prétexte qu’il ne te connaît pas. »
Pire encore le journaliste licencié confie que son ex patron a même viré une fille pour une bise. « Elle avait reçu la visite d’un ami. Ils sont chrétiens et au moment de se séparer le monsieur lui a fait une bise d’adieu et dès qu’il les a aperçus, il a viré la dame », affirme le journaliste.
Abert Yara Boubane se dit toutefois optimiste pour les deux procès qu’il compte coller à Ben Bass Diagne. « Il perd toujours et demande un moratoire évoquant les difficultés financières de la boite. On a des preuves qu’il est un grand corrupteur ».