Ainsi , cette nouvelle tragédie porte le bilan à au moins 302 morts ayant péri en tentant de traverser la Méditerranée à bord d’embarcations de fortune. A cela s’ajoute de nombreux migrants portés disparus dans le désert libyen et celui d’Agadez qui a toujours été un lieu de transit, sans oublier ceux qui sont vendus comme esclaves par des bandes organisées.
" Cette situation doit nous pousser à nous interroger sur l'efficacité de la politique migratoire en Afrique.
Nous rappelons que le Sénégal n’a jamais été maître de son destin migratoire depuis 2005, puisque les financements proviennent de l’UE et de ses États membres", dit le communiqué qui ajoute:
Malgré les accords européens destinés à dissuader de telles traversées, dont plus de 200 milliards investis dans le domaine de la migration par l’UE de 2005 à 2019 dans le vent, la crise sanitaire, et du récent projet de partenariat opérationnel conjoint UE - Senegal doté de 9 Millions d’Euros du 11 Mars 2020, le rythme des départs des migrants s'est accéléré.
Face à cette situation alarmante de désespoir, l'ADHA dénonce jusqu'à la dernière énergie l'absence de politique efficace pour faire face aux phénomènes migratoires,
Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA) rappelle que ce sont les pays africains qui assument l’essentiel du fardeau de la migration et par conséquent, payent le plus lourd tribut.
Ainsi, il est impératif et urgent de poursuivre la réflexion ( des jeunes) et de mettre en place de nouveaux mécanismes de sortie de crise, plus soucieux de la prise en charge des fléaux de la jeunesse africaine, parmi lesquels le chômage et le sous-emploi.
Par la voix de Adama Mbengue, son président, l'ONG Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA recommande vivement de :
Réduire les inégalités à l’intérieur des pays et entre les pays.
Faciliter les migrations ordonnées, sûres, régulières et responsables et la mobilité des personnes, y compris par la mise en œuvre de politiques migratoires planifiées et bien gérées.
Revoir la politique d’insertion des jeunes en valorisant les métiers du secteur informel.
Mettre en cohérence des politiques migratoires dans les pays de l’espace CEDEAO
Renforcer de la coopération Nord-Sud et Sud-Sud.
Promouvoir la bonne gouvernance pour garantir l’égalité des chances à l’emploi.
D’impliquer les jeunes dans les prises de décision car ils sont les seuls à pouvoir défendre leur droit et parler des réalités et difficultés qu’ils vivent.
Au ministère de la Jeunesse du Sénégal, il est demandé de s’impliquer et de poser des actes concrets sur les causes des jeunes.
De dépêcher des émissaires pour le rapatriement des compatriotes bloqués en Libye
" Cette situation doit nous pousser à nous interroger sur l'efficacité de la politique migratoire en Afrique.
Nous rappelons que le Sénégal n’a jamais été maître de son destin migratoire depuis 2005, puisque les financements proviennent de l’UE et de ses États membres", dit le communiqué qui ajoute:
Malgré les accords européens destinés à dissuader de telles traversées, dont plus de 200 milliards investis dans le domaine de la migration par l’UE de 2005 à 2019 dans le vent, la crise sanitaire, et du récent projet de partenariat opérationnel conjoint UE - Senegal doté de 9 Millions d’Euros du 11 Mars 2020, le rythme des départs des migrants s'est accéléré.
Face à cette situation alarmante de désespoir, l'ADHA dénonce jusqu'à la dernière énergie l'absence de politique efficace pour faire face aux phénomènes migratoires,
Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA) rappelle que ce sont les pays africains qui assument l’essentiel du fardeau de la migration et par conséquent, payent le plus lourd tribut.
Ainsi, il est impératif et urgent de poursuivre la réflexion ( des jeunes) et de mettre en place de nouveaux mécanismes de sortie de crise, plus soucieux de la prise en charge des fléaux de la jeunesse africaine, parmi lesquels le chômage et le sous-emploi.
Par la voix de Adama Mbengue, son président, l'ONG Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA recommande vivement de :
Réduire les inégalités à l’intérieur des pays et entre les pays.
Faciliter les migrations ordonnées, sûres, régulières et responsables et la mobilité des personnes, y compris par la mise en œuvre de politiques migratoires planifiées et bien gérées.
Revoir la politique d’insertion des jeunes en valorisant les métiers du secteur informel.
Mettre en cohérence des politiques migratoires dans les pays de l’espace CEDEAO
Renforcer de la coopération Nord-Sud et Sud-Sud.
Promouvoir la bonne gouvernance pour garantir l’égalité des chances à l’emploi.
D’impliquer les jeunes dans les prises de décision car ils sont les seuls à pouvoir défendre leur droit et parler des réalités et difficultés qu’ils vivent.
Au ministère de la Jeunesse du Sénégal, il est demandé de s’impliquer et de poser des actes concrets sur les causes des jeunes.
De dépêcher des émissaires pour le rapatriement des compatriotes bloqués en Libye