Arrivé au Paris Saint-Germain l’hiver dernier en provenance de Chelsea, Alex a immédiatement été promu titulaire au sein de l’arrière-garde rouge-et-bleu. Remplaçant de luxe chez les Blues, le Brésilien espère retrouver en France le statut de roc défensif qu’il possédait, notamment lorsqu’il évoluait au PSV. Interrogé par le magazine officiel de la Ligue des Champions, l’international auriverde explique donc qu’un départ de Londres était inéluctable.
« Je ne vais pas dire que ça a été facile de quitter un club comme Chelsea, mais le temps était venu pour relever un nouveau challenge. Je n’avais plus l’opportunité d’avoir ma chance en équipe première et quand ça arrive, le club ou le joueur doit une décision. » Passé sous les ordres d’un Carlo Ancelotti qu’il a côtoyé à Stamford Bridge, Alex ne regrette pas vraiment son choix. Mieux, il se réjouit de la présence de l’Italien qui ne l’avait pourtant pas installé comme un titulaire à Chelsea.
« Carlo est le genre de manager qui rend les choses plus simples pour les joueurs. Il a une grande carrière de joueur et d’entraîneur. Il sait comment gérer les situations et traiter les joueurs justement sans penser à la pression à laquelle il est soumis. » Si tout se passe donc pour le mieux entre lui et son coach, Alex annonce toutefois qu’il ne faut pas s’attendre à voir le PSG tout rafler sur son passage dans l’immédiat.
« Une équipe a besoin d’au moins deux saisons pour se constituer et se trouver en position de remporter régulièrement des trophées. Quand j’ai rejoint le PSG, c’était clair pour moi qu’on n’allait pas tout gagner tout de suite. Il est compréhensible que l’arrivée de nouveaux propriétaires et que la surmédiatisation du club rend les gens plus excités, mais les joueurs savent que nous sommes en phase de construction. Ils (QSI) ne sont sûrement pas venus au PSG pour investir autant d’argent et ne rien gagner. Mais je pense que nous avons la chance de construire quelque chose de spécial. »
Matthieu Margueritte
« Je ne vais pas dire que ça a été facile de quitter un club comme Chelsea, mais le temps était venu pour relever un nouveau challenge. Je n’avais plus l’opportunité d’avoir ma chance en équipe première et quand ça arrive, le club ou le joueur doit une décision. » Passé sous les ordres d’un Carlo Ancelotti qu’il a côtoyé à Stamford Bridge, Alex ne regrette pas vraiment son choix. Mieux, il se réjouit de la présence de l’Italien qui ne l’avait pourtant pas installé comme un titulaire à Chelsea.
« Carlo est le genre de manager qui rend les choses plus simples pour les joueurs. Il a une grande carrière de joueur et d’entraîneur. Il sait comment gérer les situations et traiter les joueurs justement sans penser à la pression à laquelle il est soumis. » Si tout se passe donc pour le mieux entre lui et son coach, Alex annonce toutefois qu’il ne faut pas s’attendre à voir le PSG tout rafler sur son passage dans l’immédiat.
« Une équipe a besoin d’au moins deux saisons pour se constituer et se trouver en position de remporter régulièrement des trophées. Quand j’ai rejoint le PSG, c’était clair pour moi qu’on n’allait pas tout gagner tout de suite. Il est compréhensible que l’arrivée de nouveaux propriétaires et que la surmédiatisation du club rend les gens plus excités, mais les joueurs savent que nous sommes en phase de construction. Ils (QSI) ne sont sûrement pas venus au PSG pour investir autant d’argent et ne rien gagner. Mais je pense que nous avons la chance de construire quelque chose de spécial. »
Matthieu Margueritte