Pour l’ancien ministre et député à l’Assemblée nationale, « Amy » incarne parfaitement sa douce moitié. Ce n’est pas une notion tombée du ciel. Un homme ne peut être complet que lorsqu’il trouve sa douce moitié. Chaque homme est à la quête permanente de sa douce moitié. Moi, je l’ai trouvée au premier coup », assure Aliou Sow, qui ajoute : « je demeure un homme complet, peu perfectible parce que sur le plan humain je me sens épanoui ».
Il dresse le portrait de son épouse en trois mots : « belle, douce et disponible ». et d’ajouter « nous sommes un ticket constituant un seul être d’intérêt, de destinée et de vision indissociablement liés. »
Aliou Sow ne veut pas dissocier sa vie de couple de ses activités politiques. Surtout qu’Amy est née et a grandi dans une famille de politiques. « Le jour de son baptême, Me Wade était présent. C’est l’homme politique avec lequel elle a eu son premier contact. Leurs rapports sont sentimentaux et familiaux. »
Il y a trois ans, le Président Wade, tenant les mains des jeunes mariés, s’était exclamé : « voilà le vrai couple d’acteurs politiques. Je vous encourage et vous souhaite plein succès ». La photo de ces instants « magiques » trône fièrement dans le hall de leur maison.
Présidente de la commission féminine départementale et communale des jeunesses libérales de Louga, Amy défend bec et ongles son mari contre ses détracteurs. Et Dieu sait qu’il n’en manque pas dans un parti miné par des querelles intestines. « En politique comme dans la vie de tous les jours, je suis en couple. Quand vous avez affaire avec Aliou Sow, vous avez également affaire avec deux personnes qui, en vérité, ne font qu’une », explique l’ancien responsable des jeunesses libérales.
Cette complicité politique, le couple la doit beaucoup à la mère de Amy, Feue Rokhaya Sèye Samaké. « Les gens ont toujours voulu mettre en avant l’épouse de Aliou Sow, responsable des jeunes en lieu et place de la fille née wadiste et libérale, de la fille de celle qui a la carte n°8 du PDS, ma belle mère, feue Rokhaya Seye Saméké, paix à son âme ». Aujourd’hui, on raconte encore les chaudes larmes versées par l’ancien ministre lors du décès de sa belle mère.
Ensemble, ils sont perçus par leurs collègues et même au niveau de leur famille, comme un couple d’acteurs politiques. « Le chef de l’Etat me fait toujours la faveur qu’il ne fait à aucun homme politique de mon parti, c’est de parler avec mon épouse et moi de politique, de nous recevoir à deux et d’échanger avec nous sur la vie politique ».
La place de Amy est aussi ailleurs, notamment quand il s’agit de tempérer les ardeurs de son mari. « Parfois, je suis excessif et elle est très modérée. La commune mesure des deux génère la température normale. Elle compense le vide que parfois, mes coups de colère peuvent générer, y compris avec mes amis ou mes parents. Elle s’occupe de ce qui m’échappe. »
Les tâches sont ainsi bien définies dans cette famille : « pendant que je m’occupe de politique, bouquins, recherches, elle s’occupe de mes relations. Car, elle peut bien être avec les gens sans les choquer, sans les heurter », précise Aliou Sow.
Et même quand il faut régler des dossiers administratifs, la responsabilité revient à Madame Sow, « qui a plus que moi le sens des affaires et connaît mieux les procédures administratives et les voies les plus rapides en fonction du respect de la légalité ».
Amy adore les fruits de mer et s’occuper des amis de son mari et de sa belle famille. Elle satisfait les exigences d’un mari Saloum Saloum qui invite souvent ses amis à la maison. « Elle est serviable et, ce que j’adore le plus en elle, c’est qu’il y a à manger pour tout le monde et à toute heure. »
Toutefois, Amy déteste qu’on fasse les yeux doux à son mari. Jalousie ? « C’est plutôt de penser une seule seconde que le contrôle qu’elle a sur son mari lu échappe. Elle tient à posséder entièrement son mari. Elle n’a pas de secrets pour moi et voudrait pas son mari n’en ait pas pour elle. A part les secrets d’Etat. »
Aliou Sow comblé ? « Je ne suis jamais malheureux une seule seconde à moins que « mon Amy » ou mon bouquin me soit privé ».
La Polygamie ? « Pas question ! J’ai signé la monogamie et la communauté des biens. Elle s’est mariée pour la vie et me l’a dit. Moi aussi »
B. DIONE
Il dresse le portrait de son épouse en trois mots : « belle, douce et disponible ». et d’ajouter « nous sommes un ticket constituant un seul être d’intérêt, de destinée et de vision indissociablement liés. »
Aliou Sow ne veut pas dissocier sa vie de couple de ses activités politiques. Surtout qu’Amy est née et a grandi dans une famille de politiques. « Le jour de son baptême, Me Wade était présent. C’est l’homme politique avec lequel elle a eu son premier contact. Leurs rapports sont sentimentaux et familiaux. »
Il y a trois ans, le Président Wade, tenant les mains des jeunes mariés, s’était exclamé : « voilà le vrai couple d’acteurs politiques. Je vous encourage et vous souhaite plein succès ». La photo de ces instants « magiques » trône fièrement dans le hall de leur maison.
Présidente de la commission féminine départementale et communale des jeunesses libérales de Louga, Amy défend bec et ongles son mari contre ses détracteurs. Et Dieu sait qu’il n’en manque pas dans un parti miné par des querelles intestines. « En politique comme dans la vie de tous les jours, je suis en couple. Quand vous avez affaire avec Aliou Sow, vous avez également affaire avec deux personnes qui, en vérité, ne font qu’une », explique l’ancien responsable des jeunesses libérales.
Cette complicité politique, le couple la doit beaucoup à la mère de Amy, Feue Rokhaya Sèye Samaké. « Les gens ont toujours voulu mettre en avant l’épouse de Aliou Sow, responsable des jeunes en lieu et place de la fille née wadiste et libérale, de la fille de celle qui a la carte n°8 du PDS, ma belle mère, feue Rokhaya Seye Saméké, paix à son âme ». Aujourd’hui, on raconte encore les chaudes larmes versées par l’ancien ministre lors du décès de sa belle mère.
Ensemble, ils sont perçus par leurs collègues et même au niveau de leur famille, comme un couple d’acteurs politiques. « Le chef de l’Etat me fait toujours la faveur qu’il ne fait à aucun homme politique de mon parti, c’est de parler avec mon épouse et moi de politique, de nous recevoir à deux et d’échanger avec nous sur la vie politique ».
La place de Amy est aussi ailleurs, notamment quand il s’agit de tempérer les ardeurs de son mari. « Parfois, je suis excessif et elle est très modérée. La commune mesure des deux génère la température normale. Elle compense le vide que parfois, mes coups de colère peuvent générer, y compris avec mes amis ou mes parents. Elle s’occupe de ce qui m’échappe. »
Les tâches sont ainsi bien définies dans cette famille : « pendant que je m’occupe de politique, bouquins, recherches, elle s’occupe de mes relations. Car, elle peut bien être avec les gens sans les choquer, sans les heurter », précise Aliou Sow.
Et même quand il faut régler des dossiers administratifs, la responsabilité revient à Madame Sow, « qui a plus que moi le sens des affaires et connaît mieux les procédures administratives et les voies les plus rapides en fonction du respect de la légalité ».
Amy adore les fruits de mer et s’occuper des amis de son mari et de sa belle famille. Elle satisfait les exigences d’un mari Saloum Saloum qui invite souvent ses amis à la maison. « Elle est serviable et, ce que j’adore le plus en elle, c’est qu’il y a à manger pour tout le monde et à toute heure. »
Toutefois, Amy déteste qu’on fasse les yeux doux à son mari. Jalousie ? « C’est plutôt de penser une seule seconde que le contrôle qu’elle a sur son mari lu échappe. Elle tient à posséder entièrement son mari. Elle n’a pas de secrets pour moi et voudrait pas son mari n’en ait pas pour elle. A part les secrets d’Etat. »
Aliou Sow comblé ? « Je ne suis jamais malheureux une seule seconde à moins que « mon Amy » ou mon bouquin me soit privé ».
La Polygamie ? « Pas question ! J’ai signé la monogamie et la communauté des biens. Elle s’est mariée pour la vie et me l’a dit. Moi aussi »
B. DIONE
Accueil
Envoyer à un ami
Partager sur facebook
