20 millions de francs Cfa, c’est le montant que réclame Aliou Dia qui est enregistré au Bureau sénégalais du droit d’auteur à Alioune Mbaye. A qui, le parolier aurait remis 16 textes qui sont pour la plupart chantés par l’artiste qui en contrepartie n’a remis un sous à leur auteur.
Pourtant Aliou Dia s’était fait remettre une décharge après avoir remis à Boy Nder 16 textes. Mais, il n’y a que Mbaye Nder qui bénéficie des retombées du succès des tubes dont le contenu est l’œuvre d’Aliou Dia. On peut en citer « Takk ma takk ma » et « My sister » qui ont un grand succès auprès du public. « j’ai alerté le Bsda car depuis lors, Alioune Mbaye Nder a fait paraitre l’essentiel des 16 titres que j’avais remis à son manager (…) Nous avons tenté un arrangement à l’amiable. En vain ! », s’indigne Aliou Dia qui semble dos au mur.
C’est d’ailleurs pourquoi il a décidé d’ester en justice le chanteur et une plainte a été déposée aupres du Procureur qui a délivré un soit transmis à la Gendarmerie de Hann pour qu’une enquête soir effectuée pour élucider les tenants et les aboutissants de cette affaire. L’artiste qui sera entendu par les pandores aujourd'hui est, selon le quotidien l’Observateur, injoignable.
Pourtant Aliou Dia s’était fait remettre une décharge après avoir remis à Boy Nder 16 textes. Mais, il n’y a que Mbaye Nder qui bénéficie des retombées du succès des tubes dont le contenu est l’œuvre d’Aliou Dia. On peut en citer « Takk ma takk ma » et « My sister » qui ont un grand succès auprès du public. « j’ai alerté le Bsda car depuis lors, Alioune Mbaye Nder a fait paraitre l’essentiel des 16 titres que j’avais remis à son manager (…) Nous avons tenté un arrangement à l’amiable. En vain ! », s’indigne Aliou Dia qui semble dos au mur.
C’est d’ailleurs pourquoi il a décidé d’ester en justice le chanteur et une plainte a été déposée aupres du Procureur qui a délivré un soit transmis à la Gendarmerie de Hann pour qu’une enquête soir effectuée pour élucider les tenants et les aboutissants de cette affaire. L’artiste qui sera entendu par les pandores aujourd'hui est, selon le quotidien l’Observateur, injoignable.