Nous n’avons que faire de ce que les autres auraient fait durant leur mandat. C’est parce que la population a été mécontente de leur gestion qu’elle vous a choisie afin de remédier à cela. S’ils n’ont pas fait grand-chose de bon, ce n’est pas le moment pour le dire, la population le sait et les ont sanctionnés. Alors, prendre une telle situation pour masquer vos carences n’est pas une bonne stratégie. Si vous n’avez pas de solutions ou si votre seule solution se résume à quémander alors sachez que la pilule est cette fois ci trop grosse pour passer.
Vous avez été élue pour faire de votre créativité et de vos prises d’initiatives les maîtres mots qui sortiront la ville de sa léthargie grandissante. Vous n’êtes pas la grande Royale pour prodiguer des menaces et croire que vous avez le droit d’insulter à tout va. A la place de cette arrogance vous devriez apprendre à maitriser les outils modernes de gestion pour une planification rigoureuse et objective. Une projection vers un avenir prometteur avec des indicateurs précis au lieu de continuer dans cette politique de haut-parleurs sans aucune utilité. La grande gueule n’a jamais payé et la grande gueule ne payera jamais, surtout dans ce monde du 21e siècle fait de maitrises, d’assurances, de promptitudes et de perspicacités. Vous avez grandi, politiquement, dans ce milieu de caisse à résonnance, plus prompt à répéter qu’à créer, mais vous devez apprendre à vous en départir pour accepter épouser les impératifs de notre temps.
Un maire se doit d’être un manager. Il doit savoir être un artiste pour pouvoir impulser un souffle nouveau pour et vers des destinations nouvelles. La dictature, Madame, elle est révolue et quand elle est imposée mène inéluctablement à la révolution et n’engendre aucune issue heureuse et ne fait naître que des regrets tardifs. Descendez, s’il vous plait, de votre piédestal, vous n’êtes pas autre chose que poussière comme chacun d’entre nous. Soyez alors modeste.
Votre jeunesse en décidant de marcher vous aide à mieux appréhender les besoins de la population et vous donne les moyens de pouvoir mettre en œuvre les mécanismes pour y remédier et , peut être, vous pourriez regagner le cœur de ces jeunes qui ressentent, actuellement, tout à votre égard sauf de la sympathie. Il faudra vous donner des priorités. Il ne s’agit pas que de mettre du gravât sur quelques routes mal goudronnées pour donner l’impression d’une bonne travailleuse. La situation alarmante leur donne le droit de réclamer plus et mieux que de la facétie.
Sachez créer des lieux de rencontres, d’échanges et de divertissements qui satisferaient beaucoup à une jeunesse en recherche perpétuelle de délassement. Et, vous réussirez par un geste aussi simple à les occuper, les canaliser donc à mieux les parler afin qu’elle vous écoute et vous entende. Mais aussi vous parviendrait à lutter contre l’usage de la drogue et de la délinquance sexuelle juvénile qui gagne, d’année en année, du terrain.
Arrêtez les gesticulations et réfléchissez plutôt, en vous appuyant sur l’aspect entrepreneurial baol baol et non informel, sur comment créer des pôles économiques de développement afin de pouvoir répondre et remédier aux problèmes de la pauvreté qui gangrènent cette ville ? Une situation désobligeante qui n’honore personne. Vous ne sauriez, cependant, apporter cette nouvelle touche et répondre efficacement aux problèmes posés que si vous apprenez à être humble, à reconnaitre vos carences intellectuelles et à être disposée à vous entourer d’hommes compétents et mettre définitivement sur la touche les affabulateurs et les suiveurs.
Nous vous précisons, avant de terminer afin de lever toute équivoque, quatre choses :
-Ne sommes pas en cagoule mais sommes en mission.
-Nous ne sommes pas vos adversaires mais sommes des serviteurs de notre ville.
-Nous ne sommes pas téléguidés, mais sommes engagés.
-Nous ne sommes pas des nihilistes et sommes prêts à apporter notre pierre à la construction de notre ville.
Nous vous demandons simplement mais crument de cesser cette impertinence qui ne vous mènera à rien et de vous battre pour atteindre les objectifs qui vous sont fixés.
Jeunes de Bambey
jeunesbambey@gmail.com
Vous avez été élue pour faire de votre créativité et de vos prises d’initiatives les maîtres mots qui sortiront la ville de sa léthargie grandissante. Vous n’êtes pas la grande Royale pour prodiguer des menaces et croire que vous avez le droit d’insulter à tout va. A la place de cette arrogance vous devriez apprendre à maitriser les outils modernes de gestion pour une planification rigoureuse et objective. Une projection vers un avenir prometteur avec des indicateurs précis au lieu de continuer dans cette politique de haut-parleurs sans aucune utilité. La grande gueule n’a jamais payé et la grande gueule ne payera jamais, surtout dans ce monde du 21e siècle fait de maitrises, d’assurances, de promptitudes et de perspicacités. Vous avez grandi, politiquement, dans ce milieu de caisse à résonnance, plus prompt à répéter qu’à créer, mais vous devez apprendre à vous en départir pour accepter épouser les impératifs de notre temps.
Un maire se doit d’être un manager. Il doit savoir être un artiste pour pouvoir impulser un souffle nouveau pour et vers des destinations nouvelles. La dictature, Madame, elle est révolue et quand elle est imposée mène inéluctablement à la révolution et n’engendre aucune issue heureuse et ne fait naître que des regrets tardifs. Descendez, s’il vous plait, de votre piédestal, vous n’êtes pas autre chose que poussière comme chacun d’entre nous. Soyez alors modeste.
Votre jeunesse en décidant de marcher vous aide à mieux appréhender les besoins de la population et vous donne les moyens de pouvoir mettre en œuvre les mécanismes pour y remédier et , peut être, vous pourriez regagner le cœur de ces jeunes qui ressentent, actuellement, tout à votre égard sauf de la sympathie. Il faudra vous donner des priorités. Il ne s’agit pas que de mettre du gravât sur quelques routes mal goudronnées pour donner l’impression d’une bonne travailleuse. La situation alarmante leur donne le droit de réclamer plus et mieux que de la facétie.
Sachez créer des lieux de rencontres, d’échanges et de divertissements qui satisferaient beaucoup à une jeunesse en recherche perpétuelle de délassement. Et, vous réussirez par un geste aussi simple à les occuper, les canaliser donc à mieux les parler afin qu’elle vous écoute et vous entende. Mais aussi vous parviendrait à lutter contre l’usage de la drogue et de la délinquance sexuelle juvénile qui gagne, d’année en année, du terrain.
Arrêtez les gesticulations et réfléchissez plutôt, en vous appuyant sur l’aspect entrepreneurial baol baol et non informel, sur comment créer des pôles économiques de développement afin de pouvoir répondre et remédier aux problèmes de la pauvreté qui gangrènent cette ville ? Une situation désobligeante qui n’honore personne. Vous ne sauriez, cependant, apporter cette nouvelle touche et répondre efficacement aux problèmes posés que si vous apprenez à être humble, à reconnaitre vos carences intellectuelles et à être disposée à vous entourer d’hommes compétents et mettre définitivement sur la touche les affabulateurs et les suiveurs.
Nous vous précisons, avant de terminer afin de lever toute équivoque, quatre choses :
-Ne sommes pas en cagoule mais sommes en mission.
-Nous ne sommes pas vos adversaires mais sommes des serviteurs de notre ville.
-Nous ne sommes pas téléguidés, mais sommes engagés.
-Nous ne sommes pas des nihilistes et sommes prêts à apporter notre pierre à la construction de notre ville.
Nous vous demandons simplement mais crument de cesser cette impertinence qui ne vous mènera à rien et de vous battre pour atteindre les objectifs qui vous sont fixés.
Jeunes de Bambey
jeunesbambey@gmail.com