‘’Moi, je suis foncièrement opposé aux coups d’Etat. J’appelle ça les braquages politiques. (…), c’est-à-dire qu’ils (les militaires) volent un Etat’’ avec ‘’le kalachnikov comme diplôme’’, a dit la star ivoirienne du reggæ dans un entretien accordé le même jour à la chaîne africaine Africable.
‘’Ce que je voudrais faire comprendre aux militaires africains, c’est qu’ils sont les garants de la République, qu’ils laissent les politiques faire de la politique’’, a-t-il déclaré, en avertissant sur le fait que ‘’l’instabilité politique entraîne l’instabilité économique’’.
Une grande partie des problèmes de la zone ouest africaine et du continent est liée au fait que ‘’des militaires sont manipulés par des Occidentaux’’ pour conquérir le pouvoir et de ce point de vue, ‘’nous sommes nous-mêmes complices de nos malheurs’’, a-t-il noté.
Revenant sur la controverse née de sa chanson ‘’Thomas Sankara’’, dans laquelle il soutient que vouloir venger le père de la révolution burkinabé revient à ‘’perpétuer la bêtise politique’’, Alpha Blondy a expliqué que ce titre de son dernier album ‘’Jah Victory’’ doit surtout être compris comme ‘’un vaccin anti-coup d’Etat’’.
‘’On ne peut pas reprocher à Blaise (Compaoré) d’avoir survécu, ça ne veut pas dire qu’on n’aime pas Sankara’’, a dit l’artiste, ajoutant qu’il est ‘’du côté de la démocratie’’, contre ‘’les duels à la Western’’.
‘’D’autres auraient voulu que ce soit Blaise’’ Compaoré, actuel président burkinabé accusé d’avoir déposé et tué son compagnon Thomas Sankara, qui y restât. Mais ‘’on ne peut pas reprocher à Blaise d’avoir survécu. C’était lui ou Sankara, comme c’était Dadis ou Toumba’’, a-t-il estimé.
‘’Cette Afrique-là, je n’en veux plus’’, a déclaré l’ambassadeur de la CEDEAO, appelant à faire de la zone ouest-africaine où les coups d’Etat seront abolis, afin que les citoyens se mettent ‘’une fois pour toutes sur la voie des urnes’’ et donc de la démocratie.
Il a dit qu’il y en a qui aiment les uns, alors d’autres sont pour le reste des protagonistes. ‘’On ne doit pas continuer à se livrer à un bain sanglant’’ se terminant, toujours selon lui, par ‘’le nouvel homme fort, c’est …’’.
Pour lui, les citoyens doivent d’autant plus rompre avec cela que le statut de ‘’nouvel homme fort’’ doit toujours être déterminé par le peuple, à la suite d’élections et non par la peur du Kalachnikov.
‘’Ce que je voudrais faire comprendre aux militaires africains, c’est qu’ils sont les garants de la République, qu’ils laissent les politiques faire de la politique’’, a-t-il déclaré, en avertissant sur le fait que ‘’l’instabilité politique entraîne l’instabilité économique’’.
Une grande partie des problèmes de la zone ouest africaine et du continent est liée au fait que ‘’des militaires sont manipulés par des Occidentaux’’ pour conquérir le pouvoir et de ce point de vue, ‘’nous sommes nous-mêmes complices de nos malheurs’’, a-t-il noté.
Revenant sur la controverse née de sa chanson ‘’Thomas Sankara’’, dans laquelle il soutient que vouloir venger le père de la révolution burkinabé revient à ‘’perpétuer la bêtise politique’’, Alpha Blondy a expliqué que ce titre de son dernier album ‘’Jah Victory’’ doit surtout être compris comme ‘’un vaccin anti-coup d’Etat’’.
‘’On ne peut pas reprocher à Blaise (Compaoré) d’avoir survécu, ça ne veut pas dire qu’on n’aime pas Sankara’’, a dit l’artiste, ajoutant qu’il est ‘’du côté de la démocratie’’, contre ‘’les duels à la Western’’.
‘’D’autres auraient voulu que ce soit Blaise’’ Compaoré, actuel président burkinabé accusé d’avoir déposé et tué son compagnon Thomas Sankara, qui y restât. Mais ‘’on ne peut pas reprocher à Blaise d’avoir survécu. C’était lui ou Sankara, comme c’était Dadis ou Toumba’’, a-t-il estimé.
‘’Cette Afrique-là, je n’en veux plus’’, a déclaré l’ambassadeur de la CEDEAO, appelant à faire de la zone ouest-africaine où les coups d’Etat seront abolis, afin que les citoyens se mettent ‘’une fois pour toutes sur la voie des urnes’’ et donc de la démocratie.
Il a dit qu’il y en a qui aiment les uns, alors d’autres sont pour le reste des protagonistes. ‘’On ne doit pas continuer à se livrer à un bain sanglant’’ se terminant, toujours selon lui, par ‘’le nouvel homme fort, c’est …’’.
Pour lui, les citoyens doivent d’autant plus rompre avec cela que le statut de ‘’nouvel homme fort’’ doit toujours être déterminé par le peuple, à la suite d’élections et non par la peur du Kalachnikov.