Nous croyons surtout que vous êtes très généreux Monsieur le Ministre mais votre générosité est très sélective. Vous avez aidé les membres de votre famille, vous avez aidé les membres de votre belle famille vous avez surtout aidé vos amis, les amis de vos amis, mais vous avez rien fait pour vos militants et les fils de vos militants qui ont mené plusieurs combats, même des combats physiques pour que vous soyez dans les plus hautes instances de décision de ce pays. Les Djoloff-djolof veilleront à ne plus être l’ascenseur d’une quelconque ambition personnelle.
Monsieur le ministre rassurez-vous, après les élections locales de 2014 vous verrez de vos propres yeux que vous avez épuisé votre crédit et votre crédibilité dans le Djoloff.
Beaucoup de vos militants ont regretté d’être derrière vous à cause de votre orgueil, votre manque de considération aux dignes fils du Djoloff et de votre cabinet rempli d’arrivistes et de profiteurs qui ne font que bloquer les demandes d’audience et de soutien de vos militants et de vos parents du Djoloff. Nous vous suggérons pour votre intérêt à tous de faire vôtre ce conseil : Un politicien doit avoir de la vision, il doit avoir la lucidité de choisir l’équipe compétente qui doit la réaliser, il doit être un rassembleur. Et vous devriez ensuite avoir le courage de résister aux critiques et soubresauts qui ne manqueront pas de surgir sur votre route, et qui seront vite oubliés quand vous aurez atteint votre but : l’amélioration des conditions d’existence de la jeunesse du Djoloff, une jeunesse diplômée, sans emploi mais très digne et fière d’être Djoloff-djoloff.
Un jour, vous partirez, le lendemain vous serez jugés. Où alors figurera votre nom ?
Est-ce que votre nom figurera sur cette liste des dignes fils du Djoloff comme : Maguette Lô, le bâtisseur, Daouda Sow, le papa patriote, Mbayang Leyti Ndiaye, la mère protectrice, Ali Saleh, l’homme intègre, Djibo Kâ, le brave et même Aliou Dia, le vaillant député du prolétariat ?
Quand se plaindre devient un droit, s'engager devient une nécessité…. [À suivre]
Monsieur le ministre rassurez-vous, après les élections locales de 2014 vous verrez de vos propres yeux que vous avez épuisé votre crédit et votre crédibilité dans le Djoloff.
Beaucoup de vos militants ont regretté d’être derrière vous à cause de votre orgueil, votre manque de considération aux dignes fils du Djoloff et de votre cabinet rempli d’arrivistes et de profiteurs qui ne font que bloquer les demandes d’audience et de soutien de vos militants et de vos parents du Djoloff. Nous vous suggérons pour votre intérêt à tous de faire vôtre ce conseil : Un politicien doit avoir de la vision, il doit avoir la lucidité de choisir l’équipe compétente qui doit la réaliser, il doit être un rassembleur. Et vous devriez ensuite avoir le courage de résister aux critiques et soubresauts qui ne manqueront pas de surgir sur votre route, et qui seront vite oubliés quand vous aurez atteint votre but : l’amélioration des conditions d’existence de la jeunesse du Djoloff, une jeunesse diplômée, sans emploi mais très digne et fière d’être Djoloff-djoloff.
Un jour, vous partirez, le lendemain vous serez jugés. Où alors figurera votre nom ?
Est-ce que votre nom figurera sur cette liste des dignes fils du Djoloff comme : Maguette Lô, le bâtisseur, Daouda Sow, le papa patriote, Mbayang Leyti Ndiaye, la mère protectrice, Ali Saleh, l’homme intègre, Djibo Kâ, le brave et même Aliou Dia, le vaillant député du prolétariat ?
Quand se plaindre devient un droit, s'engager devient une nécessité…. [À suivre]