Ce brouhaha mélangé aux décibels que propulse la sono, emporte la foule. Elle saute. Elle crie, elle scande le nom de son leader, Amadou Ba, celui de Jamm ak Njarin.
Ici, nous sommes en pays peulh. Vélingara Ferlo est une commune du département de Ranérou, nichée à plusieurs kilomètres de la nationale. Elle est difficilement atteignable, eu égard à l’inexistante de route bitumée. Pourtant, le Premier ministre Amadou Ba, y avait lancé les travaux de construction d’un tronçon bitumé avant la perte du pouvoir. Malheureusement le nouveau gouvernement, à l’image de nombreux chantiers à travers le pays, a bloqué celui ci. Pour quelle raison?
Le Président de Jamm ak Njarin, pour sa part, a regretté que l’infrastructure pour laquelle lui même s’était déplacé pour la pose de la première pierre soit à un stade, pas du tout avancé, en terme de réalisation. «Je suis venu ici en tant que Premier ministre pour poser la première pierre. Je reviens, aujourd’hui, en tant que candidat aux élections législatives, pour voir si l’ouvrage est terminée. Malheureusement, au grand désarroi des populations, je constate que le chantier est à l’arrêt».
À Vélingara Ferlo, le listing des difficultés peut se révéler interminable. La commune manque de, presque, tout. L’eau, l’électricité… alors qu’avec l’élevage, la contrée regorge d’une réelle potentialité économique.
Ici, nous sommes en pays peulh. Vélingara Ferlo est une commune du département de Ranérou, nichée à plusieurs kilomètres de la nationale. Elle est difficilement atteignable, eu égard à l’inexistante de route bitumée. Pourtant, le Premier ministre Amadou Ba, y avait lancé les travaux de construction d’un tronçon bitumé avant la perte du pouvoir. Malheureusement le nouveau gouvernement, à l’image de nombreux chantiers à travers le pays, a bloqué celui ci. Pour quelle raison?
Le Président de Jamm ak Njarin, pour sa part, a regretté que l’infrastructure pour laquelle lui même s’était déplacé pour la pose de la première pierre soit à un stade, pas du tout avancé, en terme de réalisation. «Je suis venu ici en tant que Premier ministre pour poser la première pierre. Je reviens, aujourd’hui, en tant que candidat aux élections législatives, pour voir si l’ouvrage est terminée. Malheureusement, au grand désarroi des populations, je constate que le chantier est à l’arrêt».
À Vélingara Ferlo, le listing des difficultés peut se révéler interminable. La commune manque de, presque, tout. L’eau, l’électricité… alors qu’avec l’élevage, la contrée regorge d’une réelle potentialité économique.