L’accueil du Njambour est mémorable. Il est la preuve que le chef de file de Jamm ak Njarin incarne le présent, mais aussi le futur. Des milliers de jeunes, survoltés, le portent. Ils sont décidés à enjamber le pont de l’émergence en sa compagnie. Une affection, un engagement et une détermination à nul autre pareils et qui donnent la chair de poule.
Le peuple lougatois en veut. À qui ? En tout cas, manifestement pas à Amadou Bâ. Il lui témoigne un amour immodéré, qui frise même le fanatisme. Ici, tout est plaisir. On jouit de bonheur. Chaque geste, chaque mouvement d’Amadou Bâ, appellent les vivats du public. Il est conquis et ne tient plus en place. Il saute, il danse, il trépigne et jubile, en attendant le 17 novembre 2024.
Le show est à son paroxysme. Il est assuré par Papa Serigne, la star locale. Plus qu’un simple meeting, ici, on a droit à un concert. La rythmique, les mélodies, les fumigènes…tout y passe. La soirée culturelle, plutôt le meeting de Jamm ak Njarin, est enivrant. Il est riche en couleurs. Un véritable mélange des genres, faisant allier l’utile à l’agréable. Au grand bonheur d’Amadou Bâ et sa délégation.
Louga terre de migrants, mérite une attention particulière, d’après Amadou Bâ. «Les émigrés participent fortement à l’économie nationale. Ils contribuent à hauteur de 10 pour-cent au PIB. Par conséquent, ils doivent être soutenus et accompagnés dans la préparation de leur retour au pays. Une banque pour la diaspora, est une nécessité. Car, leur permettant d’investir dans des créneaux porteurs, au lieu de toujours injecter leurs revenus dans des dépenses de consommation.»
Le leader Jamm ak Njarin étale toute sa panoplie, dans le sens d’une prise en charge correcte des intérêts du Njambour, afin d’assurer son essor. Il rappelle ainsi que Louga est la capitale de l’élevage. De ce fait, son combat, une fois à l’Assemblée nationale, consistera à offrir un mieux-être aux éleveurs. Pour ce faire, l’ancien Premier ministre et ses futurs collègues députés, entendent peser de tout leur poids pour permettre la baisse du prix des aliments de bétail, en plus de corser la loi sur le vol de bétail. D’ailleurs, l’érection d’une brigade pour endiguer le phénomène, sera proposée aux tenants de l’Exécutif.
Aussi, les daaras et les Serigne daaras sont-ils en bonne place dans les préoccupations de Jamm ak Njarin. «On réfléchit à comment amener le gouvernement à mettre en œuvre un programme pour la prise en charge médicale des talibés et des maîtres coraniques, si nous devenons majoritaires au Parlement», renseigne Amadou Bâ.
Fervent défenseur du «Jamm» (la paix et le vivre ensemble), l’ancien Premier ministre, en regardant dans le rétroviseur, confie : «J’ai adopté la méthode douce (pacifique) durant la dernière Présidentielle, pour éviter le chaos à notre pays. J’aurais pu avoir une autre posture, mais cela pouvait être dommageable pour la nation. J’ai refusé cela, car rien de solide et de durable ne peut se bâtit sans la paix. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle «notre coalition est appelée Jamm ak Njarin».
Amadou Bâ, dans la capitale du Njambour, a rendu un vibrant hommage au Président Abdou Diouf, à Feu Djily Mbaye et à Aminata Mbengue Ndiaye, trois dignes fils que Louga a donnés au Sénégal, à qui ils ont dédié leur vie.
Il défend cependant à l’assistance, en guise de conclusion, de « donner la majorité au régime en place ». Sinon, « les difficultés vont croître davantage ».
Le peuple lougatois en veut. À qui ? En tout cas, manifestement pas à Amadou Bâ. Il lui témoigne un amour immodéré, qui frise même le fanatisme. Ici, tout est plaisir. On jouit de bonheur. Chaque geste, chaque mouvement d’Amadou Bâ, appellent les vivats du public. Il est conquis et ne tient plus en place. Il saute, il danse, il trépigne et jubile, en attendant le 17 novembre 2024.
Le show est à son paroxysme. Il est assuré par Papa Serigne, la star locale. Plus qu’un simple meeting, ici, on a droit à un concert. La rythmique, les mélodies, les fumigènes…tout y passe. La soirée culturelle, plutôt le meeting de Jamm ak Njarin, est enivrant. Il est riche en couleurs. Un véritable mélange des genres, faisant allier l’utile à l’agréable. Au grand bonheur d’Amadou Bâ et sa délégation.
Louga terre de migrants, mérite une attention particulière, d’après Amadou Bâ. «Les émigrés participent fortement à l’économie nationale. Ils contribuent à hauteur de 10 pour-cent au PIB. Par conséquent, ils doivent être soutenus et accompagnés dans la préparation de leur retour au pays. Une banque pour la diaspora, est une nécessité. Car, leur permettant d’investir dans des créneaux porteurs, au lieu de toujours injecter leurs revenus dans des dépenses de consommation.»
Le leader Jamm ak Njarin étale toute sa panoplie, dans le sens d’une prise en charge correcte des intérêts du Njambour, afin d’assurer son essor. Il rappelle ainsi que Louga est la capitale de l’élevage. De ce fait, son combat, une fois à l’Assemblée nationale, consistera à offrir un mieux-être aux éleveurs. Pour ce faire, l’ancien Premier ministre et ses futurs collègues députés, entendent peser de tout leur poids pour permettre la baisse du prix des aliments de bétail, en plus de corser la loi sur le vol de bétail. D’ailleurs, l’érection d’une brigade pour endiguer le phénomène, sera proposée aux tenants de l’Exécutif.
Aussi, les daaras et les Serigne daaras sont-ils en bonne place dans les préoccupations de Jamm ak Njarin. «On réfléchit à comment amener le gouvernement à mettre en œuvre un programme pour la prise en charge médicale des talibés et des maîtres coraniques, si nous devenons majoritaires au Parlement», renseigne Amadou Bâ.
Fervent défenseur du «Jamm» (la paix et le vivre ensemble), l’ancien Premier ministre, en regardant dans le rétroviseur, confie : «J’ai adopté la méthode douce (pacifique) durant la dernière Présidentielle, pour éviter le chaos à notre pays. J’aurais pu avoir une autre posture, mais cela pouvait être dommageable pour la nation. J’ai refusé cela, car rien de solide et de durable ne peut se bâtit sans la paix. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle «notre coalition est appelée Jamm ak Njarin».
Amadou Bâ, dans la capitale du Njambour, a rendu un vibrant hommage au Président Abdou Diouf, à Feu Djily Mbaye et à Aminata Mbengue Ndiaye, trois dignes fils que Louga a donnés au Sénégal, à qui ils ont dédié leur vie.
Il défend cependant à l’assistance, en guise de conclusion, de « donner la majorité au régime en place ». Sinon, « les difficultés vont croître davantage ».