Imputant la responsabilité de cette situation à l’ancien Tigre de Fass, le promoteur, qui dit avoir pris toutes les dispositions pour monter cette affiche tant attendue par les supporters et amateurs de lutte, soutient être peiné par le geste de Tapha Guèye et Cie. C'est derniers seraient les auteurs du malentendu lors du premier gala de lutte organisé à Bercy. Ce combat tant attendu par les supporters et amateurs de lutte devant opposer Juan à Boy Nar, ficelé depuis longtemps, n’a pas pu avoir lieu à Bercy, après deux reports. Tapha Guèye et Cie ont réclamé trois (3) millions de nos francs en guise de dédommagements de ce combat. Pour lui, il est hors de questions qu’il leur paie cette somme. « Juan et Boy ne sont pas les seuls lutteurs et leur combat n’est pas le seul organisé à Bercy. Ce que je peux vous dire c’est que moi j’ai fait ce que je dois faire et passer où je dois passer pour que Juan et Boy Nar se défient sur scène à Bercy mais c’est Tapha Guèye et Cie qui ont mis les pieds dans le plat. C’est regrettable de la part d’une ancienne gloire comme Tapha Guèye qui pouvait se passer de cet acte », a-t-il confié.
Il est revenu, dans une interview accordée à Leral, sur les démarches entreprises pour monter ce combat, qui a été programmé pendant plusieurs mois sans succès. « Le bailleur principal de ce combat-là, en l’occurrence Ndiaga Ndour, nous a envoyé une lettre pour nous signifier qu’il cède le combat Juan/Boy Nar. C’est à cet effet que nous avions déposé cette lettre au Cng qui a, à son tour, livré une licence à Boy Nar qui lui a permis d’avoir son visa pour la France. Puisque nous avions l’assurance, à l’issue de ces démarches faites, j’ai payé le billet d’avion de Juan pour qu’il puisse venir à Bercy. Si nous savions que ce combat n’allait pas avoir lieu, on l’aurait purement et simplement déprogrammé. Ce qui est regrettable c’est que Juan, l’Espagnol, a laissé son travail pour ce combat. Dans cette affaire, c’est la lutte sénégalaise qui en perd. En ce qui concerne les cachets déjà payés aux deux lutteurs, ce n’est pas l’argent qui intéresse Amadou Badiane. Aussi, invite-t-il le Cng à prendre toutes ses responsabilités pour qu’une pareille situation ne se répète plus. « On ne doit pas bloquer des gens pour des raisons pécuniaires. Je trouve que ce n’est pas bien », a-t-il regretté.
Il est revenu, dans une interview accordée à Leral, sur les démarches entreprises pour monter ce combat, qui a été programmé pendant plusieurs mois sans succès. « Le bailleur principal de ce combat-là, en l’occurrence Ndiaga Ndour, nous a envoyé une lettre pour nous signifier qu’il cède le combat Juan/Boy Nar. C’est à cet effet que nous avions déposé cette lettre au Cng qui a, à son tour, livré une licence à Boy Nar qui lui a permis d’avoir son visa pour la France. Puisque nous avions l’assurance, à l’issue de ces démarches faites, j’ai payé le billet d’avion de Juan pour qu’il puisse venir à Bercy. Si nous savions que ce combat n’allait pas avoir lieu, on l’aurait purement et simplement déprogrammé. Ce qui est regrettable c’est que Juan, l’Espagnol, a laissé son travail pour ce combat. Dans cette affaire, c’est la lutte sénégalaise qui en perd. En ce qui concerne les cachets déjà payés aux deux lutteurs, ce n’est pas l’argent qui intéresse Amadou Badiane. Aussi, invite-t-il le Cng à prendre toutes ses responsabilités pour qu’une pareille situation ne se répète plus. « On ne doit pas bloquer des gens pour des raisons pécuniaires. Je trouve que ce n’est pas bien », a-t-il regretté.