Pour rassurer les populations qui commençaient à s'inquiéter sur l'existence éventuelle de riz en "plastique" au Sénégal, le chef du service régional du Commerce de Diourbel est monté au créneau. Il a tenu à rassurer qu'il n'y a pas de riz en "plastique", de plus, importé de Chine, surtout que ce pays ne fait pas partie de ceux qui fournissent du riz au Sénégal, car il a même perdu son autosuffisance en riz aujourd'hui.
Il explique en outre que "la Chine est en train de jeter son dévolu sur sur la Thaïlande, les catastrophes naturelles sont passées par là-bas avec l'assèchement des nappes phréatiques et les éléments chimiques qui ont fini par contaminer les eaux au point que la même psychose vécue par les Sénégalais sur l'existence d'un riz "en plastique", est vécue par certains Chinois qui préfèrent aller s'approvisionner ailleurs.
Donc la Chine qui était premier producteur de riz, se retrouve au rang des premiers pays importateurs de riz", a-t-il assuré. Puis il ajoute, "le riz "en plastique", je ne sais pas si je dois en rire ou en pleurer. C'est une question qui me tire sur le méninges parce qu'on n'en a jamais vu. On n'en verra jamais. Le riz en plastique n'existe nulle part".
Ce qui existe par contre, explique-t-il, "c'est des granulés en plastique qui ont le calibre du riz, le format du riz, le même calibre, fabriqué, mis en sac exactement comme le riz, avec un emballage qui renvoie à ce qui est dedans pour la désignation du produit comme matière plastique, utilisé par les industries pour faire des bouchons et autres éléments. Et comme ça ressemble à du riz dans le calibrage, certains l'ont vu à travers le net pour le confondre à du riz. Ce n'est pas du riz", a-t-il assuré.
Poursuivant, il soutient, "la matière plastique, si vous la consommez, vous trépassez. Si l'animal la consomme, il meurt sur la champ. Il faudra qu'on fasse comprendre que pour le contrôle du riz, l'Etat du Sénégal a mis un dispositif très efficace en amont.
Le riz emprunte par deux fois le chemin du laboratoire, d'abord avec la DPV (Direction de la Protection des Végétaux) qui, pour toute importation de céréales, fait des prélèvements, les achemine au laboratoire, s'assure de la qualité de résultats avant de donner un certificat phytosanitaire.
Si les analyses sont concluantes, on regarde l'étiquetage qui doit comporter des mentions obligatoires comme le nom de l'importateur, la date de péremption, la désignation du produit, des ingrédients, s'il en existe, et toutes ces mentions doivent être en français", a-t-il précisé.
"Toutes les marques, a-t-il soutenu, sont connues et renvoient à des quotataires. Les quotataires de riz ne sont pas nombreux et sont connus au Sénégal. Si on connaît exactement le nombre de quotataires, on connaît toutes les marques. donc, rien n'échappe au contrôle. Il est temps que l'on fasse confiance au dispositif mis en place par l'Etat pour contrôler le riz", a-t-il plaidé.
Amadou Tidiane Niane soutient encore que "ceux qui parlent, doivent savoir que les corps de contrôle qu'ils ont , sont d'abord des patriotes. Combien de fois ont-ils procédé à des saisies de denrées impropres à la consommation comme la dernière fois à Touba?", s'interroge-t-il encore.
Le chef de service régional du Commerce a saisi cette opportunité même si le riz "en plastique" n'existe pas, pour demander à ses compatriotes de consommer le riz local car a-t-il précisé, " c'est un riz neuf, de qualité, presque sans sucre, plein de vitamines. Il suffit pour la cuisson et pour l'aimer, de suivre le mode d'emploi", a-t-il renseigné.
source: La Tribune
Il explique en outre que "la Chine est en train de jeter son dévolu sur sur la Thaïlande, les catastrophes naturelles sont passées par là-bas avec l'assèchement des nappes phréatiques et les éléments chimiques qui ont fini par contaminer les eaux au point que la même psychose vécue par les Sénégalais sur l'existence d'un riz "en plastique", est vécue par certains Chinois qui préfèrent aller s'approvisionner ailleurs.
Donc la Chine qui était premier producteur de riz, se retrouve au rang des premiers pays importateurs de riz", a-t-il assuré. Puis il ajoute, "le riz "en plastique", je ne sais pas si je dois en rire ou en pleurer. C'est une question qui me tire sur le méninges parce qu'on n'en a jamais vu. On n'en verra jamais. Le riz en plastique n'existe nulle part".
Ce qui existe par contre, explique-t-il, "c'est des granulés en plastique qui ont le calibre du riz, le format du riz, le même calibre, fabriqué, mis en sac exactement comme le riz, avec un emballage qui renvoie à ce qui est dedans pour la désignation du produit comme matière plastique, utilisé par les industries pour faire des bouchons et autres éléments. Et comme ça ressemble à du riz dans le calibrage, certains l'ont vu à travers le net pour le confondre à du riz. Ce n'est pas du riz", a-t-il assuré.
Poursuivant, il soutient, "la matière plastique, si vous la consommez, vous trépassez. Si l'animal la consomme, il meurt sur la champ. Il faudra qu'on fasse comprendre que pour le contrôle du riz, l'Etat du Sénégal a mis un dispositif très efficace en amont.
Le riz emprunte par deux fois le chemin du laboratoire, d'abord avec la DPV (Direction de la Protection des Végétaux) qui, pour toute importation de céréales, fait des prélèvements, les achemine au laboratoire, s'assure de la qualité de résultats avant de donner un certificat phytosanitaire.
Si les analyses sont concluantes, on regarde l'étiquetage qui doit comporter des mentions obligatoires comme le nom de l'importateur, la date de péremption, la désignation du produit, des ingrédients, s'il en existe, et toutes ces mentions doivent être en français", a-t-il précisé.
"Toutes les marques, a-t-il soutenu, sont connues et renvoient à des quotataires. Les quotataires de riz ne sont pas nombreux et sont connus au Sénégal. Si on connaît exactement le nombre de quotataires, on connaît toutes les marques. donc, rien n'échappe au contrôle. Il est temps que l'on fasse confiance au dispositif mis en place par l'Etat pour contrôler le riz", a-t-il plaidé.
Amadou Tidiane Niane soutient encore que "ceux qui parlent, doivent savoir que les corps de contrôle qu'ils ont , sont d'abord des patriotes. Combien de fois ont-ils procédé à des saisies de denrées impropres à la consommation comme la dernière fois à Touba?", s'interroge-t-il encore.
Le chef de service régional du Commerce a saisi cette opportunité même si le riz "en plastique" n'existe pas, pour demander à ses compatriotes de consommer le riz local car a-t-il précisé, " c'est un riz neuf, de qualité, presque sans sucre, plein de vitamines. Il suffit pour la cuisson et pour l'aimer, de suivre le mode d'emploi", a-t-il renseigné.
source: La Tribune