Ces orgasmes sont incontrôlés et peuvent être déclenchés à tout moment, par le simple fait de conduire une voiture ou d’entendre des sons de basses.
«Ce n’est plus du plaisir, c’est devenu de la torture», a-t-elle déclaré sur le tribunal du net. Pendant des années, la femme a souffert de cette maladie en silence, trop gênée pour en parler à ses proches. «Je peux avoir jusqu’à 50 orgasmes par jours, et jusqu’à 5 ou 10 par heure, et cela peut arriver quand je suis avec des amis, ou même en public, c’est très gênant. Je dois juste faire bonne figure, comme si de rien n’était ».
Le temps de trouver un traitement, elle doit même éviter toute relation sexuelle avec son petit ami, rencontré depuis peu. «Il est tellement compréhensif, c’est mon pilier. Je ne savais pas comment lui avouer ma maladie au départ, je n’étais pas sure de sa réaction.» Après moult échecs et plusieurs traitements, la jeune femme pourrait cependant être amenée sur la voie de la guérison. Elle a récemment rencontré un spécialiste et le traitement semble porter ses fruits.
«Il m'a donné quelques trucs pour réduire l'intensité de mes orgasmes, même s'ils sont toujours nombreux chaque jour. Je prends des médicaments et je fais des exercices pour ne plus y penser. Je prends le contrôle de ma maladie plutôt que le contraire, c'est un rêve qui devient réalité pour moi».
Marianne Siva DIOP
«Ce n’est plus du plaisir, c’est devenu de la torture», a-t-elle déclaré sur le tribunal du net. Pendant des années, la femme a souffert de cette maladie en silence, trop gênée pour en parler à ses proches. «Je peux avoir jusqu’à 50 orgasmes par jours, et jusqu’à 5 ou 10 par heure, et cela peut arriver quand je suis avec des amis, ou même en public, c’est très gênant. Je dois juste faire bonne figure, comme si de rien n’était ».
Le temps de trouver un traitement, elle doit même éviter toute relation sexuelle avec son petit ami, rencontré depuis peu. «Il est tellement compréhensif, c’est mon pilier. Je ne savais pas comment lui avouer ma maladie au départ, je n’étais pas sure de sa réaction.» Après moult échecs et plusieurs traitements, la jeune femme pourrait cependant être amenée sur la voie de la guérison. Elle a récemment rencontré un spécialiste et le traitement semble porter ses fruits.
«Il m'a donné quelques trucs pour réduire l'intensité de mes orgasmes, même s'ils sont toujours nombreux chaque jour. Je prends des médicaments et je fais des exercices pour ne plus y penser. Je prends le contrôle de ma maladie plutôt que le contraire, c'est un rêve qui devient réalité pour moi».
Marianne Siva DIOP