« Sur le programme de préparation, il manque ce match qui pourrait renforcer les liens avec le public, qui doit s’approprier son équipe », a expliqué l’ancien attaquant des "Lions" et sélectionneur national dans un entretien avec l’APS.
Selon le technicien, les joueurs « ont besoin de sentir cet amour de leurs supporteurs et ce serait bien que ça se passe (…) devant un grand public pour faire une communion », au stade Léopold Sédar Senghor, par exemple.
S’il dit comprendre les réticences de la Fédération sénégalaise de football, compte tenu des « charges énormes » que peut coûter la tenue d’un match, l’ancien entraîneur de la Linguère de Saint-Louis en appelle au soutien de l’Etat.
« Je suis d’avis que les joueurs ont besoin de cela », a-t-il dit, allant jusqu’à demander la remise du drapeau national au stade Léopold Sédar Senghor à cette occasion.
« On peut organiser un match de lever de rideau avec la génération 2002 avant la rencontre amicale, ensuite une remise du drapeau national par le chef de l’Etat », a suggéré le technicien sénégalais.
L’équipe du Sénégal va démarrer son stage à Saly Portudal du 21 au 24 mars, période au cours de laquelle se tiendra une cérémonie de remise du drapeau national aux "Lions", qui vont ensuite s’envoler pour la France et leur camp de base à Vittel.
« C’est véritablement ce match amical qui manque dans le programme des "Lions" », a insisté Amara Traoré, selon qui « pour le reste, ça peut bien tenir ».
« Il est clair qu’on peut avoir mieux mais rappelons qu’en 2002, on a joué contre la Bolivie, l’Arabie Saoudite, un club japonais et l’Equateur », a signalé le technicien sénégalais, estimant que l’essentiel, « c’est d’obtenir ce qu’on recherche à travers ces matchs amicaux ».
Il a relevé que le Sénégal avait abandonné son 4-4-2 après ses premiers matchs de préparation pour aborder, lors de son dernier match amical, une nouvelle stratégie qui lui a selon lui permis d’atteindre les quarts de finale du Mondial.
« C’était contre l’Equateur et on avait gagné par 1-0, c’était le match le plus abouti et qui a permis de corriger les imperfections », s’est-il souvenu.
APS
Selon le technicien, les joueurs « ont besoin de sentir cet amour de leurs supporteurs et ce serait bien que ça se passe (…) devant un grand public pour faire une communion », au stade Léopold Sédar Senghor, par exemple.
S’il dit comprendre les réticences de la Fédération sénégalaise de football, compte tenu des « charges énormes » que peut coûter la tenue d’un match, l’ancien entraîneur de la Linguère de Saint-Louis en appelle au soutien de l’Etat.
« Je suis d’avis que les joueurs ont besoin de cela », a-t-il dit, allant jusqu’à demander la remise du drapeau national au stade Léopold Sédar Senghor à cette occasion.
« On peut organiser un match de lever de rideau avec la génération 2002 avant la rencontre amicale, ensuite une remise du drapeau national par le chef de l’Etat », a suggéré le technicien sénégalais.
L’équipe du Sénégal va démarrer son stage à Saly Portudal du 21 au 24 mars, période au cours de laquelle se tiendra une cérémonie de remise du drapeau national aux "Lions", qui vont ensuite s’envoler pour la France et leur camp de base à Vittel.
« C’est véritablement ce match amical qui manque dans le programme des "Lions" », a insisté Amara Traoré, selon qui « pour le reste, ça peut bien tenir ».
« Il est clair qu’on peut avoir mieux mais rappelons qu’en 2002, on a joué contre la Bolivie, l’Arabie Saoudite, un club japonais et l’Equateur », a signalé le technicien sénégalais, estimant que l’essentiel, « c’est d’obtenir ce qu’on recherche à travers ces matchs amicaux ».
Il a relevé que le Sénégal avait abandonné son 4-4-2 après ses premiers matchs de préparation pour aborder, lors de son dernier match amical, une nouvelle stratégie qui lui a selon lui permis d’atteindre les quarts de finale du Mondial.
« C’était contre l’Equateur et on avait gagné par 1-0, c’était le match le plus abouti et qui a permis de corriger les imperfections », s’est-il souvenu.
APS