Elle est aujourd'hui une méga star au Sénégal, disons tout simplement ce que Lady Gaga est aux Etats-Unis et le reste du monde. Poté comme Lady Gaga par son excentrisme mais surtout par sa liberté de mouvement et d'expression, a fini de mettre tous les téléspectateurs à ses pieds ou à ses paroles. Ses phrases deviennent mode, ses habits courus par les jeunes filles. Mais avant tout ça, que de vécus pour notre Poté nationale.
Amina Poté, on l'aime bien. Ses sorties, ses flashes, ses "Rich mon djizz", ses "talboo" et autres "mots-croisés" sonnent toujours à nos oreilles. Mais on a toujours noté un tout autre fait dans ses sorties. Amina a toujours sa main collée sur le Mont de Venus. On ne sait pas trop le pourquoi de ce geste. C'est un tic quoi, que de mettre sa main tout le temps, disons-le, té déé sur son bas-ventre. Peut-être que c'est un traumatisme qui lui vient de sa jeunesse qui a été pratiquement volée dans un mariage précoce consommé à l'age de...14 ans.
Elle avait encore le lait à la bouche. Et à cet age, ce sont encore à de petits jeux de cache-cache qu'on se livre avec ses copines et non jouer avec faire sortir le méchant et le gros loup de sa cache. C'est traumatisant quelque fois, à quatorze berges. Alors une peur bleue l'assaille, sans qu'elle n'y prenne garde, même en plein reportage dans "Dakar ne dort pas". Ah oui, on adore quand elle gesticule, mais loxo-bi na, dafa sob.
Satelit
Amina Poté, on l'aime bien. Ses sorties, ses flashes, ses "Rich mon djizz", ses "talboo" et autres "mots-croisés" sonnent toujours à nos oreilles. Mais on a toujours noté un tout autre fait dans ses sorties. Amina a toujours sa main collée sur le Mont de Venus. On ne sait pas trop le pourquoi de ce geste. C'est un tic quoi, que de mettre sa main tout le temps, disons-le, té déé sur son bas-ventre. Peut-être que c'est un traumatisme qui lui vient de sa jeunesse qui a été pratiquement volée dans un mariage précoce consommé à l'age de...14 ans.
Elle avait encore le lait à la bouche. Et à cet age, ce sont encore à de petits jeux de cache-cache qu'on se livre avec ses copines et non jouer avec faire sortir le méchant et le gros loup de sa cache. C'est traumatisant quelque fois, à quatorze berges. Alors une peur bleue l'assaille, sans qu'elle n'y prenne garde, même en plein reportage dans "Dakar ne dort pas". Ah oui, on adore quand elle gesticule, mais loxo-bi na, dafa sob.
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