« Lors de sa mise en œuvre,, nous avions applaudi des deux mains. Mais il set trouve que ce projet de l’autoroute à péage tronçons Sips-Forêt de Mbao est vu et vécu comme un projet d’appauvrissement ». C’est en effet, la déclaration faite par le coordonnateur des 7 collectifs de l’autoroute à péage, lors d’un point de presse organisée à Diamagueune Sicap Mbao. A en croire le coordonnateur, Daouda Mamadou Gueye, les communes de Guinaw rail (nord et sud), Tivaouane Diacksao, Thiaroye gare, les places des hommes d’affaires et celles des maraîchers sont menacées. Mais pour D. M. Gueye, au début l’Apix, par la voix d’Aminata Niane, leur avait dit que « nul ne sera lésés. Mais il se trouve que c’est le cas car pour les personnes détentrices d’un TF (titre foncier) aura la somme de 40.000 F le mètre carré. Les autres, avec un acte de vente 17.000 F le mètre carré. Ce que nous dénonçons avec la dernière énergie ».
Des prémices de conflits plane sur le projet
Très remonté contre l’Apix, le coordonnateur laissera entendre que les populations refusent d’accepter l’inacceptable. Et du coût, il ajoute qu’ « il est temps pour les autorités interviennent pour trouver un juste milieux et que nul ne soit lésés. Et avec cette tension sociale, les populations sont prêts à tout pour que leur maisons ne soient pas démolis pour des miettes ». Au courant de la conférence de presse, Daouda Gueye e pourtant expliqué que l’Etat veut d’une certaine manière confisquer leur terrain, en leur donnant des indemnités qui ne sont pas conformes avec la décision des bailleurs. « Nous lançons un appel à l’endroit des bailleurs et au Président Wade afin que des solutions soient trouvées au plus vite » dit-il.
Le gouvernement bloque les négociations
Toujours pour le porte-parole du collectif des 7, l’Etat cherche à bloquer les négociations entre eux et les personnes affectées par le projet. De ce fait, ils réclament 85.000 Fcfa le mètre carré et pour ceux qui ont des actes de vente 40.000 Fcfa le mètre carré. Mais dit-il , « l’Etat veut nous faire accepter l’inacceptable. Et nous refusons ».
Des erreurs à rectifier
Il faut rectifier les erreurs qui sont dans les documents remis aux autorités. C’est ce à quoi pense fortement le coordonnateur. Pour lui, il faut réactualisant les prix des terrains. « Un terrain acheté en 1960 ne perd pas son prix, au contraire, il augmente. Et nous n’allons pas accepter de la misère pour brader nos terrains » clame-t-il. Et pourtant,, les maraîchers, affectés par l’autoroute à péage, ont eux aussi reçu « un vile prix ». Selon Mamadou Diouf président de leur collectif, « c’est la somme de 1500 Fcfa le mètre carré qui nous a été proposé par les autorités ».
Plainte contre l’Etat et l’Apix
Dans tous les cas, les collectifs compte adresser une plainte « aux responsables dont l’Etat et l’Apix ». Pour le président Daouda M. Gueye, il userons des moyens légaux et juridiques, que leur confère la loi pour ne pas être lésés. « Nous allons prendre des avocats s’il le faut. Nous sommes formels car nous n’allons pas l’accepter » poursuit ce dernier. De même, à la question de savoir si une marche est programmé, il indique que « non. Nous sommes pour ce projet mais nous préférons dialoguer que d’utiliser la violence » conclut-il.
Des prémices de conflits plane sur le projet
Très remonté contre l’Apix, le coordonnateur laissera entendre que les populations refusent d’accepter l’inacceptable. Et du coût, il ajoute qu’ « il est temps pour les autorités interviennent pour trouver un juste milieux et que nul ne soit lésés. Et avec cette tension sociale, les populations sont prêts à tout pour que leur maisons ne soient pas démolis pour des miettes ». Au courant de la conférence de presse, Daouda Gueye e pourtant expliqué que l’Etat veut d’une certaine manière confisquer leur terrain, en leur donnant des indemnités qui ne sont pas conformes avec la décision des bailleurs. « Nous lançons un appel à l’endroit des bailleurs et au Président Wade afin que des solutions soient trouvées au plus vite » dit-il.
Le gouvernement bloque les négociations
Toujours pour le porte-parole du collectif des 7, l’Etat cherche à bloquer les négociations entre eux et les personnes affectées par le projet. De ce fait, ils réclament 85.000 Fcfa le mètre carré et pour ceux qui ont des actes de vente 40.000 Fcfa le mètre carré. Mais dit-il , « l’Etat veut nous faire accepter l’inacceptable. Et nous refusons ».
Des erreurs à rectifier
Il faut rectifier les erreurs qui sont dans les documents remis aux autorités. C’est ce à quoi pense fortement le coordonnateur. Pour lui, il faut réactualisant les prix des terrains. « Un terrain acheté en 1960 ne perd pas son prix, au contraire, il augmente. Et nous n’allons pas accepter de la misère pour brader nos terrains » clame-t-il. Et pourtant,, les maraîchers, affectés par l’autoroute à péage, ont eux aussi reçu « un vile prix ». Selon Mamadou Diouf président de leur collectif, « c’est la somme de 1500 Fcfa le mètre carré qui nous a été proposé par les autorités ».
Plainte contre l’Etat et l’Apix
Dans tous les cas, les collectifs compte adresser une plainte « aux responsables dont l’Etat et l’Apix ». Pour le président Daouda M. Gueye, il userons des moyens légaux et juridiques, que leur confère la loi pour ne pas être lésés. « Nous allons prendre des avocats s’il le faut. Nous sommes formels car nous n’allons pas l’accepter » poursuit ce dernier. De même, à la question de savoir si une marche est programmé, il indique que « non. Nous sommes pour ce projet mais nous préférons dialoguer que d’utiliser la violence » conclut-il.
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