Les commentaires peuvent donc aller bon train aussi bien au Parti démocratique sénégalais (Pds) qu’au niveau de la ville de Diourbel dont elle le maire depuis les élections locales de 2002. Madame Aminata Tall, ci-devant secrétaire générale du Mouvement national des femmes du Pds, n’est pas candidate à sa propre succession. L’édile de Diourbel l’a annoncé ce mercredi en marge d’une cérémonie de signature avec l’Agence de développement municipal (Adm).
Cependant, la décision d’Aminata Tall n’a pas été bien accueillie par ses militants qui lui ont demandé de se représenter. Mais, pour elle, il est temps de céder la place à la relève. Toutefois, certains adversaires du maire de Diourbel soutiennent qu’Aminata Tall veut se retirer simplement parce qu’elle n’est pas sûre de rempiler.
Toutefois, cette décision d’Aminata Tall va encore susciter des réactions. Car, elle intervient à un moment où, selon plusieurs livraisons de la presse de ces derniers jours, Aminata Tall a eu tour à tour à cracher sur le poste de président de l’Assemblée et de secrétaire générale du Mouvement nationales des femmes du Pds. Un mouvement où elle semble être poussée à la sortie par Awa Ndiaye et Innocence Ntap Ndiaye, réputées proches de la « Génération du concret » de Karim Wade.
Cependant, la décision d’Aminata Tall n’a pas été bien accueillie par ses militants qui lui ont demandé de se représenter. Mais, pour elle, il est temps de céder la place à la relève. Toutefois, certains adversaires du maire de Diourbel soutiennent qu’Aminata Tall veut se retirer simplement parce qu’elle n’est pas sûre de rempiler.
Toutefois, cette décision d’Aminata Tall va encore susciter des réactions. Car, elle intervient à un moment où, selon plusieurs livraisons de la presse de ces derniers jours, Aminata Tall a eu tour à tour à cracher sur le poste de président de l’Assemblée et de secrétaire générale du Mouvement nationales des femmes du Pds. Un mouvement où elle semble être poussée à la sortie par Awa Ndiaye et Innocence Ntap Ndiaye, réputées proches de la « Génération du concret » de Karim Wade.