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Aminata Touré met ses ministres sous pression

Nommée il y a quelques semaines Premier ministre, Aminata Touré, pousse déjà les membres du gouvernement à accélérer la cadence. Le 16 septembre 2013, elle a sorti une lettre circulaire, pour demander la contribution de chaque département ministériel à sa Déclaration de politique générale. Et ces différents départements ont jusqu’à la semaine prochaine pour lui faire parvenir leurs notes.


Rédigé par leral.net le Jeudi 19 Septembre 2013 à 22:16 | | 4 commentaire(s)|

Aminata Touré met ses ministres sous pression
Et la lecture de la lettre circulaire laisse transparaître une volonté certaine du successeur d’Abdoul Mbaye de préparer un bilan respectable pour le président de la République Macky Sall, avant les élections présidentielles de 2017.

Aminata Touré demande en fait, qu’on lui fasse le point sur tous les projets et programmes «faisables» sur la période 2013-2017. En sus, le Pm demande qu’on lui fasse ressortir «l’impact social rapide» de ces projets et programmes en termes d’amélioration des conditions de vie des populations et de création d’emplois. Elle a également demandé aux différents départements ministériels, les montants budgétaires permettant la mise en œuvre de ces projets et programmes. Enfin, Mimi Touré réclame un chronogramme de réalisation de ces projets et programmes ainsi que des indicateurs de réalisation de ces projets et programmes, et des indicateurs d’évaluations des objectifs.

Dès réception de ladite lettre circulaire, chaque ministre a fait des notes à ses différents services et directions pour une remontée de l’information.

Le Populaire



1.Posté par Papa Gueye le 20/09/2013 08:08 | Alerter
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Le Maire de Thiès candidat à la présidentielle devrait revoir son CV car les démentis se suivent et se ressemblent sur son supposé passage à Princeton University. C’est la première fois qu’une voix officielle de cet établissement se prononce sur cette affaire. Selon Mamadou Lamine Sagna « IdrissaSeck n’est pas sorti de Princeton University ».
« Les personnes de nationalité sénégalaise que je connais et qui sont sorties de Princeton University, sont trois. Il s’agit de Mouhamadou Diop sorti dans les années 1970, Fatou Binetou Sagna et un certain Fall. Il y a aussi deux sénégalais qui ont été invités là bas pour des recherches. Il s’agit d’Aboubacar Beye qui est un professeur et Mbacké Niang architecte » avait révélé le Sénégalais professeur à Princeton University Mamadou Lamine Sagna sur la Chaine 2STV. Ce dernier a d’ailleurs déclaré qu’il y a un réseau d’anciens élèves de Princeton et que si Idrissa Seck avait fréquenté cet établissement ils allaient le connaitre. D’autres sénégalais qui ont connu le Maire de Thiès ont démenti cette partie du Cv de l’ancien premier Ministre de Wade. Précisons que Mouhamadou Lamine Sagna est le Président de l’association qui regroupe les Sénégalais de la Diaspora réunis au sein de Re-source Sununet.
L’université de Princeton (Princeton University) est située dans la ville de Princeton dans l’État du New Jersey, aux États-Unis. Elle a été fondée en 1746 en tant que collège du New Jersey. Elle devient l’Université de Princeton en 1896.
Doudou SECK
Vos commentaires
Le 11 février 2012
En réponse à : ACTUALITE : Idrissa Seck n’est pas sorti de Princeton University selon Mamadou Lamine Sagna professeur à Princeton
CURSUS SCOLAIRE ET UNIVERSITAIRE DE IDRISSA SECK :
Toute la vérité, rien que la vérité sur les études peu reluisantes de Idy.
Au cours de sa sortie sur la radio Rfm, Idrissa Seck a beaucoup parlé de son cursus scolaire et universitaire en citant tour à tour le collège Saint Gabriel de Thiès, le lycée Vanvo de Dakar, Sciences Politiques de Paris et naturellement l’université de Princeton des Etats-Unis. Mais curieusement, Idy ne fait que répéter inlassablement son statut d’ « ancien » de ces établissements scolaires et universitaires. Il dit : « Je suis ancien de Sciences Politiques, je suis ancien de Princeton ». Remarquez l’escroquerie : Idy ne dit jamais « je suis diplômé de Sciences Politiques à Paris » ou bien « je suis diplômé de Princeton aux Etats-Unis », mais seulement « je suis ancien de ces établissements ». Pour la gouverne des lecteurs qui risquent de se laisser abuser par Idy, nous rappelons ceci :
L’EXAMEN D’ENTREE EN 6EME : PREMIER ECHEC
Idy avait échoué à l’examen d’entrée en 6ème à Thiès en 1972. Heureusement, c’est l’épouse chrétienne de son cousin Alioune Badara Niang, (cette femme est la sœur de Marie Thérèse Diédhiou) qui avait été prise de pitié par le sort et par la pauvreté de Idy. Cette femme-là est allée solliciter au collège Saint Gabriel une place en classe de 6ème en faveur de Idrissa Seck comme « cas social ». Dans ce collège, tout le monde payait sauf Idy, parce qu’il était issu d’une famille misérable (son père était vendeur de légumes au marché de Thiès et sa mère griotte dans les cérémonies mondaines). Voilà comment Idy s’est retrouvé au collège Saint Gabriel.
STATUT DE « RECASÉ » AU LYCÉE VANVO
Pour le lycée Lamine Guèye, c’est toujours son cousin Alioune Badara Niang (mais c’est encore plus complexe et plus grave dans leurs relations familiales) qui avait réussi à lui trouver une place de « recasé » dans le lycée où il n’y avait que des fils à papa. Ce n’était pas le lieu indiqué pour un misérable comme Idy, mais le coup de pouce de l’avocat Wade a été déterminant pour que Idy entre à Vanvo. Là aussi, il n’était pas un brillant élève comme il voudrait le laisser croire. C’est vrai qu’il se classait premier en arabe, mais c’est tout. Pour toutes les autres matières, il était médiocre. C’était entre 1978 et 1981, les archives sont là. Idy a eu son bac en 1981 à l’âge de 22 ans alors que ses camarades de classe en avaient 17 ou 18, ce qui n’est donc pas le propre d’un dénie.
A L’UNIVERSITÉ DE PARIS, IDY ÉTAIT HÉBERGÉ PAR OUSMANE NGOM
Venons-en maintenant à ses études de Sciences Politiques à Paris. Idy avait la manie de s’inscrire dans une université uniquement pour avoir la carte d’étudiant afin de garnir son CV. C’est tout. Idy ne peut pas brandir un diplôme qui lui aurait été décerné par cette université parisienne. D’ailleurs, il est arrivé à Paris en septembre 1981. Sur recommandation de Wade, il était hébergé dans la chambre d’étudiant de Ousmane Ngom. Mais c’est seulement pendant l’année 1986-1987 qu’il est allé s’inscrire à Sciences Politiques. Question : Qu’a fait Idy entre 1981 et 1987 à Paris ? Réponse : Rien du tout, sinon vadrouiller et vivre aux basques de Ousmane Ngom qui l’avait entièrement pris en charge alors que le fainéant Idy ne faisait que dormir. D’ailleurs, quel besoin un diplômé de Sciences Politiques peut-il trouver à revenir à Dakar en 1988 pour essayer de s’inscrire à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l’Université de Dakar ? Pour toute réponse, le Doyen de la Faculté à qui il avait fait parvenir une demande lui avait répondu que la seule faveur qu’on pouvait lui faire, c’était de l’autoriser à s’inscrire en Duel II. Aussitôt, Idy avait boudé pour aller chercher ailleurs. Si vraiment il était diplômé de Sciences Politiques, ce n’est pas une inscription en Duel II que le Doyen lui proposerait, mais plutôt un poste de professeur dans cette même Faculté. Ceci révèle encore une fois que Idy a toujours été un escroc du savoir, un escroc des diplômes.
IDY ÉTAIT INSCRIT EN COURS DU SOIR POUR 6 MOIS A PRINCETON
Enfin, pour ce qui concerne maintenant son passage à l’université américaine de Princeton, il faut préciser que c’est Jean Collin, l’ancien tout-puissant ministre d’Etat de Abdou Diouf qui, pour récompenser Idrissa Seck de sa tortuosité (il était taupe du régime Ps au seindu Pds), lui avait octroyé la bourse pour un séjour de 6 mois seulement aux Etats-Unis. Oui, vous avez bien lu. Nous avons bien dit « 6 mois ». Nous savons bien comment fonctionnent les universités américaines en matière d’études et de diplômes.
Si un étudiant arrive aux Etats-Unis avec le bac, il a d’abord deux formalités à remplir. La première, c’est passer un test de niveau à l’issue duquel l’université l’accepte comme étudiant. La deuxième, c’est de faire 6 mois d’adaptation à la langue : ces 6 mois destinés aux francophones servent à apprendre l’anglais pour pouvoir comprendre les explications des professeurs. Ces deux formalités, une fois remplies, l’étudiant attaque maintenant le premier cycle qui dure 4 ans à l’issue desquels il obtient le diplôme appelé Bachelor. Après ces 4 ans, l’étudiant entre en second cycle qui dure 2 ans à l’issue desquels il obtient encore un diplôme qui s’appelle MBA. Enfin, l’étudiant attaque le troisième et dernier cycle qui dure 2 ans et qui est sanctionné par le plus haut diplôme américain et qui s’appelle PH.D. qui donne le titre de Docteur. Voilà pourquoi on dit Docteur Cheikh Tidiane Gadio. Lui, il a bouclé les 8 ans sans redoubler pour avoir obtenu à la fois le Bachelor, le MBA et le PH.D. Parmi les ministres de l’actuel gouvernement, Mamadou Sidibé a suivi le même cursus aux Etats-Unis. Revenant à Idy, signalons qu’il est arrivé aux Etats-Unis en avril 1991, il a étudié 6 mois à Princeton et est rentré à Dakar en septembre 91. Alors, quel diplôme a-t-il pu ramener de Princeton après seulement 6 mois de cours du soir ? Nous disons bien « cours du soir ».

Voilà pourquoi Idrissa Seck n’a eu aucun diplôme d’études supérieures. Aucun ! Et nous le défions de nous prouver le contraire
Le 11 février 2012 à 03:57, par CON
En réponse à : ACTUALITE : Idrissa Seck n’est pas sorti de Princeton University selon Mamadou Lamine Sagna professeur à Princeton
Idrissa SECK ne dit jamais ses diplômes. Il cite toujours des écoles rek. C’est le seul sénégalais qui n’a pas de camarade de promotion dans le supérieur. On n’a jamais vu une personne dire qu’il était dans une University avec Idy


2.Posté par Maky le 20/09/2013 09:53 | Alerter
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Il faut pas pas te fatiguer madame .cest maky sall ton président qui fait défaut et il n'a pas de vision
.terminez votre mandat et partez

3.Posté par Doff bi le 20/09/2013 12:04 | Alerter
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Ce n'est pas en une semaine qu'on peut mettre en place tout un processus de qu'on veut faire surtout quand on a pas les moyens. Demandez LES URGENCES au peuple qui vous a élu, vous le savez déjà, il l'a toujours décrié, il le vit au jour le jour et jusque dans les plus grandes profondeurs. C'est en cherchant à les soulager qu'i vous réélira.
A mon avis, les urgences d'abord, c'est à dire les besoins de première nécessité (allègement des prix des denrées de première necessité, accessibilité sans interruption à l'eau, à l'énergie, à la santé, à l'éducation, au transport, à l'emploi et là ou dormir en sécurité). Ensuite parallèlement vous passez au diagnostic et à la politique à long et moyen terme au cas par cas.
Vous ne pouvez pas tout régler mais faites au moins faites vos choix et mettez le paquet dessus. L'Etat est une continuité, le peuple ne va pas vous damnder maintenants des autoroutes, mais autre chose (rendre certaines zones accessibles, la voie ferroviaire en développant intelligement l'agriculture, qui entraîne celui du commerce intérieur et de la consommation locale etc..).
Doff bi.

4.Posté par Mamadou Amadou Tamimou WANE le 20/09/2013 12:40 | Alerter
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SUR LE TERRAIN
L’Alpha et l’Omega de la politique en Démocratie c’est l’efficacité au service des populations. Dès lors la seule vérité qui compte est celle du terrain pour résoudre les problèmes auxquels sont confrontés les citoyens. L’urgence ces derniers jours concerne les dégâts causés par les inondations partout dans le pays et en particulier dans la banlieue dakaroise.
Une appréciation objective de la situation oblige à constater l’omniprésence des agents de l’Etat sur le terrain. C’est dire que le chef de l’Etat et son gouvernement ont pris la mesure des évènements et ont réagi avec célérité pour soulager les habitants des zones sinistrées.
En agissant de la sorte les autorités ne font que leur travail, leur devoir ; mais on peut s’en féliciter et les encourager à redoubler d’efforts.
En effet, si la gestion des inondations a souvent été critiquée à juste raison, il est compréhensible qu’on puisse décerner un satisfécit, pour une fois que la bonne décision a été prise, et à temps, d’investir le terrain massivement et avec des moyens conséquents y compris ceux de l’Armée Nationale.
A situation d’urgence, action d’urgence et, surtout mobilisation exceptionnelle de tous. C’est pourquoi le Premier Ministre Mimi Touré a mis l’accent sur la solidarité en introduisant sa conférence de presse d’hier. Et elle a bien précisé qu’il s’agissait d’une solidarité d’action, une mobilisation conséquente des citoyens sans distinction aucune.
Faut-il préciser que l’heure n’est guère aux vaines querelles politiciennes ? L’Etat est au service de tous et faire face aux calamités naturelles est notre affaire à tous. Du reste l’actualité internationale met en exergue aussi, entre autres, les terribles inondations dans le Colorado, aux Etats-Unis, et à côté de chez nous au Mali.
Evidemment apprécier positivement l’action du Gouvernement n’est pas un acte neutre ; mais il ne signifie pas abdiquer son esprit critique. Des travaux sont en cours et des options ont été prises pour trouver des solutions efficaces contre les inondations. Leur efficacité véritable pourrait être mise à l’épreuve l’année prochaine. Alors on jugera.
Pour l’heure l’action sur le terrain produit des résultats probants même si de la RESILIENCE et de la PATIENCE sont nécessaires comme l’a fait remarquer le Premier Ministre.
Pourtant il est réjouissant de constater la dynamique enclenchée qui témoigne d’une clairvoyance politique réelle. Macky est l’élu du peuple qui souffre et qui espère. Ce peuple là attend des résultats et accueille à bras ouverts toutes les initiatives dont le but est de prendre en charge ses besoins. Il a conscience que tout ne peut être fait en un an ou deux ; mais l’engagement et la bonne volonté doivent se traduire en actes concrets. Lui rendre visite en ce moment est un acte de solidarité perçu et apprécié comme tel. C’est pourquoi la visite de Mme Marième Faye Sall, la Première Dame dans les zones inondées de la banlieue de Dakar est une initiative heureuse d’une haute portée symbolique. Elle n’a pas daigné patauger dans l’eau pour tendre une main chaleureuse aux personnes sinistrées. Ce geste mérite d’être salué. Et devrait exhorter toutes les bonnes volontés à poser des actes de solidarité authentique en faveur des populations éprouvées : sous forme d’investissement humain, de mise à disposition de motopompes, d’encadrement de jeunes volontaires pour participer aux travaux de drainage des eaux etc.
L’évident est qu’aucun gouvernement ne s’en sortira s’il n’arrive pas à mobiliser les populations pour prendre en charge les questions d’assainissement, d’hygiène publique, de protection de l’environnement, de sécurisation du cadre de vie en général, d’éducation etc. Avec le soutien de l’Etat et la mise en place de moyens, notamment financiers.
Ce peuple qui a voulu le changement du 25 Mars 2012 et qui s’est mobilisé pour le réaliser est encore disponible pour transformer le pays positivement.
Au leadership de donner le la et d’agir en conséquence. Le Président Macky Sall et son Premier Ministre ont bien compris le message.

Mouhamadou M. Dia
Prof de Philo - journaliste

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