• «Oui, je le ferais de nouveau»
Anders Behring Breivik a témoigné mardi, au deuxième jour de son procès pour le massacre de 77 personnes le 22 juillet dernier en Norvège. En tout, cinq journées consacrées à son témoignage sont prévues. Il a été autorisé à lire une déclaration qu'il avait préparée et a commencé par dire qu'il avait «allégé la rhétorique de son intervention» par égard pour les victimes.
«Une petite barbarie est totalement nécessaire pour empêcher une barbarie beaucoup plus grande», a-t-il ensuite affirmé, en référence à la menace que le multiculturalisme fait, selon lui, peser sur la Norvège. «Oui, je le ferais de nouveau», a-t-il lancé, ajoutant que les adolescents tués sur Utoeya n'étaient pas des «enfants innocents» et que, pour lui, finir sa vie en prison ou mourir pour son peuple constituaient «le plus grand honneur».
«Les attaques du 22 juillet étaient des attaques préventives pour défendre les Norvégiens de souche», a-t-il dit après un discours de plus d'une heure, qu'il a conclu ainsi: «J'ai agi en situation d'urgence au nom de mon peuple, de ma culture, de mon pays. Et je demande donc ma relaxe.»
Anders Behring Breivik a témoigné mardi, au deuxième jour de son procès pour le massacre de 77 personnes le 22 juillet dernier en Norvège. En tout, cinq journées consacrées à son témoignage sont prévues. Il a été autorisé à lire une déclaration qu'il avait préparée et a commencé par dire qu'il avait «allégé la rhétorique de son intervention» par égard pour les victimes.
«Une petite barbarie est totalement nécessaire pour empêcher une barbarie beaucoup plus grande», a-t-il ensuite affirmé, en référence à la menace que le multiculturalisme fait, selon lui, peser sur la Norvège. «Oui, je le ferais de nouveau», a-t-il lancé, ajoutant que les adolescents tués sur Utoeya n'étaient pas des «enfants innocents» et que, pour lui, finir sa vie en prison ou mourir pour son peuple constituaient «le plus grand honneur».
«Les attaques du 22 juillet étaient des attaques préventives pour défendre les Norvégiens de souche», a-t-il dit après un discours de plus d'une heure, qu'il a conclu ainsi: «J'ai agi en situation d'urgence au nom de mon peuple, de ma culture, de mon pays. Et je demande donc ma relaxe.»