M. Annan a estimé que techniquement, Damas n'avait pas respecté son plan de paix mais que le fragile cessez-le-feu était "une chance à saisir".
Il a également demandé au Conseil d'autoriser le déploiement rapide d'une mission légère d'observateurs pour surveiller le cessez-le-feu, selon ces diplomates.
Le dispositif de surveillance du cessez-le-feu serait ensuite renforcé et des garanties seraient exigées des autorités syriennes pour que les observateurs puissent circuler librement et en sécurité et communiquer entre eux sans interférence.
Dans une déclaration publiée jeudi, M. Annan avait affirmé que Damas devait respecter toutes les "clauses militaires" de son plan, c'est-à-dire aussi sa promesse de retirer ses troupes, ses chars et ses canons des villes syriennes rebelles.
Après avoir entendu M. Annan, les ambassadeurs des pays membres du Conseil ont indiqué qu'ils considéraient le cessez-le-feu comme une "lueur d'espoir, une occasion à saisir et à consolider", a indiqué un diplomate.
Il est "probable" que le Conseil "agisse rapidement", a estimé ce diplomate, pour soutenir la mission de M. Annan, notamment en autorisant le déploiement des observateurs dans une résolution.
SOURCE:7sur7.be
Il a également demandé au Conseil d'autoriser le déploiement rapide d'une mission légère d'observateurs pour surveiller le cessez-le-feu, selon ces diplomates.
Le dispositif de surveillance du cessez-le-feu serait ensuite renforcé et des garanties seraient exigées des autorités syriennes pour que les observateurs puissent circuler librement et en sécurité et communiquer entre eux sans interférence.
Dans une déclaration publiée jeudi, M. Annan avait affirmé que Damas devait respecter toutes les "clauses militaires" de son plan, c'est-à-dire aussi sa promesse de retirer ses troupes, ses chars et ses canons des villes syriennes rebelles.
Après avoir entendu M. Annan, les ambassadeurs des pays membres du Conseil ont indiqué qu'ils considéraient le cessez-le-feu comme une "lueur d'espoir, une occasion à saisir et à consolider", a indiqué un diplomate.
Il est "probable" que le Conseil "agisse rapidement", a estimé ce diplomate, pour soutenir la mission de M. Annan, notamment en autorisant le déploiement des observateurs dans une résolution.
SOURCE:7sur7.be