Après « Gala », « Closer », « Paris Match », et le dernier numéro de « VSD », c’est au tour du « Journal de Montréal » de s’interroger sur cette relation et sur l’ombre de « Dominique Strauss-Kahn... qui agrémente le mieux les discussions autour d’un pastis ».
Si la directrice éditoriale du « Huffington Post » a toujours été le soutien numéro de DSK, empêtré dans ses déboires judiciaires depuis l’éclatement de l’affaire du « Sofitel », un traumatisme marquant le début de sa descente aux enfers, elle semble avoir changé de cap ces derniers temps, lassée des scandales à répétition.
«Plus question d’aller dîner ensemble à leur restaurant habituel, Place des Vosges, ni de fréquenter les mêmes cercles d’amis, pourtant fins protecteurs des secrets de cette famille politico jet-set. L’époque est révolue », indique le Journal de Montréal pour qui « Anne Sinclair se dissocie désormais de son « ex-présidentiel » mari ».
Tout comme « VSD » qui nous montre un ex patron du Fond Monétaire International préoccupé non pas par le sort du monde en pleine crise, mais par faire ses courses quotidiennes comme n’importe quel parisien, « le Journal de Montreal » le décrit comme un homme courbé « qui traîne dans un costume défraîchi son désarroi d’homme jeté, largué, encore abasourdi par le tsunami qui l’a éjecté de sa trajectoire».
La descente aux enfers est si dur qu’il est difficile de croire « qu’on lui prêtait les plus hautes fonctions »
Si la directrice éditoriale du « Huffington Post » a toujours été le soutien numéro de DSK, empêtré dans ses déboires judiciaires depuis l’éclatement de l’affaire du « Sofitel », un traumatisme marquant le début de sa descente aux enfers, elle semble avoir changé de cap ces derniers temps, lassée des scandales à répétition.
«Plus question d’aller dîner ensemble à leur restaurant habituel, Place des Vosges, ni de fréquenter les mêmes cercles d’amis, pourtant fins protecteurs des secrets de cette famille politico jet-set. L’époque est révolue », indique le Journal de Montréal pour qui « Anne Sinclair se dissocie désormais de son « ex-présidentiel » mari ».
Tout comme « VSD » qui nous montre un ex patron du Fond Monétaire International préoccupé non pas par le sort du monde en pleine crise, mais par faire ses courses quotidiennes comme n’importe quel parisien, « le Journal de Montreal » le décrit comme un homme courbé « qui traîne dans un costume défraîchi son désarroi d’homme jeté, largué, encore abasourdi par le tsunami qui l’a éjecté de sa trajectoire».
La descente aux enfers est si dur qu’il est difficile de croire « qu’on lui prêtait les plus hautes fonctions »