« La jalousie me tuait à petits feux. Je ne pouvais plus supporter mon mari ; je le détestais de m’avoir trompée avec une autre sous la fenêtre de ma copine ».Récit d’une femme trahie. Mon mari fréquentait une autre femme. Je l’ai su par l’intermédiaire d’une copine. L’amante de mon mari habitait jusque à côté de la maison de mon amie. Elle y voyait souvent sa voiture et cela lui intriguait. Elle m’en a parlé après avoir bien vérifié ce qu’il faisait chez cette femme. Donc c’est avec certitude qu’elle est venue me mettre en garde.
Je n’avais rien changé à mes habitudes, pour qu’il n’en soupçonnât rien qui le préparât à agir avec calcul. D’après ma copine, c’est aux heures de pause qu’il passait chez son amante. C’était dur comme situation, mais il fallait que je me maitrise et que je fomente un plan pour le prendre la main dans le sac. C’est ainsi que j’en ai parlé à mère qui m’a conseillé de rester dans les liens sacrés du mariage. Et que ce n’était qu’une parenthèse dans la vie de mon mari. Mais je ne l’entendais pas de cette oreille.
Il fallait que je le corrige. Me tromper ? Je ne peux cautionner pareil acte. De pensée en pensée, j’ai décidé d’en avoir le cœur net et à l’heure de la pause, j’étais partie voir ma copine pour qu’elle me montre la maison de cette femme. Comme me l’avait dit mon amie, la voiture de mon marie était garée devant la maison. Une demi-heure plus tard le voilà qui apparait, accompagné de cette femme. Du haut du balcon je le prenais en photos pour preuves et pour qu’il ne nie pas une fois que je lui en parlerai. Je bouillonnais tout au fond de moi. Et je décidai de l’appeler pour lui demander ou est ce qu’il se trouvait. Il répondit qu’il était au bureau. Ah ? Le menteur. Je l’ai sous mon nez et il affirme le contraire. Je suis rentrée tranquillement à la maison attendant son retour sans tambour ni trompette.
La jalousie me tuait à petits feux, mais je ne voulais rien faire apparaitre car la vengeance est un plat qui se mange froid. Je ne pouvais plus supporter mon mari, je le détestais. Après avoir murement planifié ma stratégie d’attaque il était temps d’agir. C’est avec l’aide d’une autre copine que nous nous sommes rendues chez la maison de cette femme avec nos fils de fer barbelés, nos menottes. Puisque la femme habite seule, on a sonné, elle a ouvert la porte.
Et sans lui laisser de temps, on l’a menottée et bâillonnée avant de la rouer de coups. Avant notre acte, on avait pris le soin de nous masquer. Donc, elle ne pouvait pas savoir les auteurs de cet acte et l’on a nullement mentionné le nom de mon mari. Le soir, c’était autour de mon mari de subir mes foudres. Il était dans la salle de bain et avant qu’il ne sorte, j’avais étalé les photos prises avec sa maitresse sur le lit. Quand il les a vues il était tombé des nues. Il me regardait et n’osait rien dire. Il faisait pitié à voir. Je le méprisais, il voulait entrer dans des explications mais je ne lui en ai pas donné le temps. Avant qu’il ne bronche, je l’ai assommé avec le vase qui se trouvait sur la table.
Après l’avoir bien corrigé, il se mit à me supplier pour que je ne quitte pas la maison. Il a reconnu son erreur et m’a promis de ne plus jamais recommencer. Depuis ce jour, à l’heure de la pause, il vient manger à la maison. Il sait maintenant que je ne badine pas avec ce genre d’histoire. Et que je suis capable de le tuer. Concernant sa maitresse mon amie m’a dit qu’elle avait porté plainte contre x et que son agression avait fait le tour du quartier. »
by 123dakar
Je n’avais rien changé à mes habitudes, pour qu’il n’en soupçonnât rien qui le préparât à agir avec calcul. D’après ma copine, c’est aux heures de pause qu’il passait chez son amante. C’était dur comme situation, mais il fallait que je me maitrise et que je fomente un plan pour le prendre la main dans le sac. C’est ainsi que j’en ai parlé à mère qui m’a conseillé de rester dans les liens sacrés du mariage. Et que ce n’était qu’une parenthèse dans la vie de mon mari. Mais je ne l’entendais pas de cette oreille.
Il fallait que je le corrige. Me tromper ? Je ne peux cautionner pareil acte. De pensée en pensée, j’ai décidé d’en avoir le cœur net et à l’heure de la pause, j’étais partie voir ma copine pour qu’elle me montre la maison de cette femme. Comme me l’avait dit mon amie, la voiture de mon marie était garée devant la maison. Une demi-heure plus tard le voilà qui apparait, accompagné de cette femme. Du haut du balcon je le prenais en photos pour preuves et pour qu’il ne nie pas une fois que je lui en parlerai. Je bouillonnais tout au fond de moi. Et je décidai de l’appeler pour lui demander ou est ce qu’il se trouvait. Il répondit qu’il était au bureau. Ah ? Le menteur. Je l’ai sous mon nez et il affirme le contraire. Je suis rentrée tranquillement à la maison attendant son retour sans tambour ni trompette.
La jalousie me tuait à petits feux, mais je ne voulais rien faire apparaitre car la vengeance est un plat qui se mange froid. Je ne pouvais plus supporter mon mari, je le détestais. Après avoir murement planifié ma stratégie d’attaque il était temps d’agir. C’est avec l’aide d’une autre copine que nous nous sommes rendues chez la maison de cette femme avec nos fils de fer barbelés, nos menottes. Puisque la femme habite seule, on a sonné, elle a ouvert la porte.
Et sans lui laisser de temps, on l’a menottée et bâillonnée avant de la rouer de coups. Avant notre acte, on avait pris le soin de nous masquer. Donc, elle ne pouvait pas savoir les auteurs de cet acte et l’on a nullement mentionné le nom de mon mari. Le soir, c’était autour de mon mari de subir mes foudres. Il était dans la salle de bain et avant qu’il ne sorte, j’avais étalé les photos prises avec sa maitresse sur le lit. Quand il les a vues il était tombé des nues. Il me regardait et n’osait rien dire. Il faisait pitié à voir. Je le méprisais, il voulait entrer dans des explications mais je ne lui en ai pas donné le temps. Avant qu’il ne bronche, je l’ai assommé avec le vase qui se trouvait sur la table.
Après l’avoir bien corrigé, il se mit à me supplier pour que je ne quitte pas la maison. Il a reconnu son erreur et m’a promis de ne plus jamais recommencer. Depuis ce jour, à l’heure de la pause, il vient manger à la maison. Il sait maintenant que je ne badine pas avec ce genre d’histoire. Et que je suis capable de le tuer. Concernant sa maitresse mon amie m’a dit qu’elle avait porté plainte contre x et que son agression avait fait le tour du quartier. »
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