À partir du 1er janvier 2024 et jusqu'au 31 décembre 2024, le niveau de production sera fixé à 40,46 millions de barils par jour (mb/j) pour l'alliance Opep+ formée de 23 pays producteurs.
«Le consensus auquel sont parvenus les participants reflète une étape positive vers la stabilité du marché et l'engagement de toutes les parties concernées à équilibrer l'offre et la demande. Il est essentiel de maintenir un marché stable, car la volatilité peut avoir des effets néfastes sur les consommateurs et les producteurs. En outre, nous reconnaissons et soutenons les déclarations de l'Arabie saoudite, qui soulignent l'importance de la stabilité et de la coopération sur le marché pétrolier», a déclaré le président de l'Opep.
Soulignant que le respect total des niveaux de production convenus a été réaffirmé comme étant crucial pour assurer la stabilité du marché et l'équilibre entre l'offre et la demande, la Chambre africaine de l’énergie fait remarquer que la réunion susnommée a également mis en relief l'importance d'un accord avec la DoC, la production de pétrole brut étant surveillée sur la base d'informations provenant de sources secondaires, selon la méthodologie établie pour les pays membres de l'Opep.
Dans le même ordre d’idées, la Chambre africaine de l’Énergie laisse entendre que la volatilité actuelle du marché est un sujet de préoccupation pour toutes les parties prenantes, car elle affecte négativement à la fois les consommateurs et les producteurs. La Chambre africaine de l’énergie salue le rôle «important» que l'Arabie saoudite a joué dans les discussions et les décisions prises au cours de la réunion.
«Le ministre saoudien du pétrole, le prince Abdulaziz bin Salman, s'est engagé auprès des délégués africains et s'est entretenu avec les Émirats arabes unis (Eau) sur la question des quotas de production, suggérant une réduction des quotas de production de certains pays africains. Si certaines tensions sont apparues, il est important de noter que l'objectif ultime de l'Arabie saoudite, et même de l'ensemble de l'organisation, est de trouver un équilibre qui profite à la fois aux consommateurs et aux producteurs.»
tribune
«Le consensus auquel sont parvenus les participants reflète une étape positive vers la stabilité du marché et l'engagement de toutes les parties concernées à équilibrer l'offre et la demande. Il est essentiel de maintenir un marché stable, car la volatilité peut avoir des effets néfastes sur les consommateurs et les producteurs. En outre, nous reconnaissons et soutenons les déclarations de l'Arabie saoudite, qui soulignent l'importance de la stabilité et de la coopération sur le marché pétrolier», a déclaré le président de l'Opep.
Soulignant que le respect total des niveaux de production convenus a été réaffirmé comme étant crucial pour assurer la stabilité du marché et l'équilibre entre l'offre et la demande, la Chambre africaine de l’énergie fait remarquer que la réunion susnommée a également mis en relief l'importance d'un accord avec la DoC, la production de pétrole brut étant surveillée sur la base d'informations provenant de sources secondaires, selon la méthodologie établie pour les pays membres de l'Opep.
Dans le même ordre d’idées, la Chambre africaine de l’Énergie laisse entendre que la volatilité actuelle du marché est un sujet de préoccupation pour toutes les parties prenantes, car elle affecte négativement à la fois les consommateurs et les producteurs. La Chambre africaine de l’énergie salue le rôle «important» que l'Arabie saoudite a joué dans les discussions et les décisions prises au cours de la réunion.
«Le ministre saoudien du pétrole, le prince Abdulaziz bin Salman, s'est engagé auprès des délégués africains et s'est entretenu avec les Émirats arabes unis (Eau) sur la question des quotas de production, suggérant une réduction des quotas de production de certains pays africains. Si certaines tensions sont apparues, il est important de noter que l'objectif ultime de l'Arabie saoudite, et même de l'ensemble de l'organisation, est de trouver un équilibre qui profite à la fois aux consommateurs et aux producteurs.»
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