Qui parle ainsi ? Le journal nous apprend que ces ordres irresponsables viennent de celui qui est chargé de notre sécurité et de notre protection : Monsieur Bécaye Diop.
Le premier de nos policiers gardera t il constamment cet ordre au bout des lèvres et sera-t-il prompt à le donner en tous lieux où il ne possèdera pas de parents ? En tous les cas nous voici prévenus.
Le BRDS, et les partis non alignés se désolent de la farce nationale, simulacre de mauvais goût démocratie décadente que le gouvernement, toute honte bue, offre à la Nation et à la communauté internationale.
En effet, un ministre- militant zélé du parti au pouvoir qui dégaine et tire plus vite que son ombre, dirige des discussions faites sous haute surveillance policière dans l’enceinte même de l’école de police. Les conclusions de ces discussions vont être soumises pour jugement, et correction, à un président de la république candidat à sa propre succession. Un code électoral « consensuel » sera proposé à une assemblée nationale mécanique aux ordres.
Après cinquante ans de démocratie, voilà ce que l’on offre à notre peuple. Le Togo, la RCA, la Guinée, la Côte d’Ivoire sont tous dans des systèmes d’organisation et de contrôle de leurs élections qui prouvent leur lente mais sûre évolution vers une démocratie apaisée.
Avec un ministre armé jusqu’aux dents, prêts à tirer sur tout ce qui bouge, il n’est pas prudent de se rendre dans son antre à l’école de police.
Puisque nul ne sait où accoste la pirogue d’un fou, je propose humblement à toute la classe politique, opposition comme mouvance, de prévenir les actes « imprévisibles » de ce Monsieur en demandant au Président de la République de libérer ce grand défenseur du PDSL de toutes ses charges républicaines et de le renvoyer à sa base à Kolda et mieux, à Sédhiou où loin de la patrie, il pourra mieux servir son parti.
El Hadj Hamidou DIALLO
Secrétaire Général du BRDS
Coordonnateur du Collectif des partis NON ALIGNES
Le premier de nos policiers gardera t il constamment cet ordre au bout des lèvres et sera-t-il prompt à le donner en tous lieux où il ne possèdera pas de parents ? En tous les cas nous voici prévenus.
Le BRDS, et les partis non alignés se désolent de la farce nationale, simulacre de mauvais goût démocratie décadente que le gouvernement, toute honte bue, offre à la Nation et à la communauté internationale.
En effet, un ministre- militant zélé du parti au pouvoir qui dégaine et tire plus vite que son ombre, dirige des discussions faites sous haute surveillance policière dans l’enceinte même de l’école de police. Les conclusions de ces discussions vont être soumises pour jugement, et correction, à un président de la république candidat à sa propre succession. Un code électoral « consensuel » sera proposé à une assemblée nationale mécanique aux ordres.
Après cinquante ans de démocratie, voilà ce que l’on offre à notre peuple. Le Togo, la RCA, la Guinée, la Côte d’Ivoire sont tous dans des systèmes d’organisation et de contrôle de leurs élections qui prouvent leur lente mais sûre évolution vers une démocratie apaisée.
Avec un ministre armé jusqu’aux dents, prêts à tirer sur tout ce qui bouge, il n’est pas prudent de se rendre dans son antre à l’école de police.
Puisque nul ne sait où accoste la pirogue d’un fou, je propose humblement à toute la classe politique, opposition comme mouvance, de prévenir les actes « imprévisibles » de ce Monsieur en demandant au Président de la République de libérer ce grand défenseur du PDSL de toutes ses charges républicaines et de le renvoyer à sa base à Kolda et mieux, à Sédhiou où loin de la patrie, il pourra mieux servir son parti.
El Hadj Hamidou DIALLO
Secrétaire Général du BRDS
Coordonnateur du Collectif des partis NON ALIGNES