Cette visite dans la région frontalière de Matam, a vu aussi la présence de Dr. Ndèye Marième Samb, Coordonnatrice du PUMA. L’enseignante-chercheuse, spécialiste en aménagement de l’espace, se félicite de la nouvelle démarche d’assistance de l’Etat du Sénégal envers les sinistrés.
Ce déplacement des autorités vers les populations de Matam affectées par la crue du fleuve, est un geste fort, qui illustre selon la coordonnatrice du PUMA, « une nouvelle démarche de l’Etat du Sénégal, qui va appuyer le citoyen partout où il se trouve, quel que soient l’enclavement, la distance ou l’ampleur du sinistre ».
Cette proximité avec les victimes de phénomènes naturels, traduit une approche nouvelle, qui prend en compte dans la réponse et l’accompagnement, plusieurs aspects. Il ne s'agit pas d'une simple action d'assistance aux sinistrés, même si cette dernière est très importante ( riz sucre lait tomate…), mais surtout, de jalons solides, car multi-sectoriels, pour sortir ces territoires de la vulnérabilité, en faisant de l’eau une opportunité et non une menace.
Située dans la zone sahélienne, la région de Matam à l’image de plusieurs localités africaines, subit les effets des changements climatiques. Mais fort heureusement, l’Etat du Sénégal est aujourd’hui conscient des impacts directs des phénomènes climatiques sur le développement économique et les conséquences sur les modèles et systèmes de développement.
C’est tout le sens qu’il faut donner, selon la Coordonnatrice du PUMA, Dr. Ndèye Marième Samb, à cette visite aux sinistrés de Matam. Avec cette démarche, une grande « «rupture » est opérée avec l’effacement des distances et une prise en charge globale de tous les sinistrés.
Ce déplacement des autorités vers les populations de Matam affectées par la crue du fleuve, est un geste fort, qui illustre selon la coordonnatrice du PUMA, « une nouvelle démarche de l’Etat du Sénégal, qui va appuyer le citoyen partout où il se trouve, quel que soient l’enclavement, la distance ou l’ampleur du sinistre ».
Cette proximité avec les victimes de phénomènes naturels, traduit une approche nouvelle, qui prend en compte dans la réponse et l’accompagnement, plusieurs aspects. Il ne s'agit pas d'une simple action d'assistance aux sinistrés, même si cette dernière est très importante ( riz sucre lait tomate…), mais surtout, de jalons solides, car multi-sectoriels, pour sortir ces territoires de la vulnérabilité, en faisant de l’eau une opportunité et non une menace.
Située dans la zone sahélienne, la région de Matam à l’image de plusieurs localités africaines, subit les effets des changements climatiques. Mais fort heureusement, l’Etat du Sénégal est aujourd’hui conscient des impacts directs des phénomènes climatiques sur le développement économique et les conséquences sur les modèles et systèmes de développement.
C’est tout le sens qu’il faut donner, selon la Coordonnatrice du PUMA, Dr. Ndèye Marième Samb, à cette visite aux sinistrés de Matam. Avec cette démarche, une grande « «rupture » est opérée avec l’effacement des distances et une prise en charge globale de tous les sinistrés.