Depuis plus de trois mois, Anta Babacar Ngom est en tournée de précampagne électorale. Sans répit, la leader du mouvement Alternative pour la Relève Citoyenne (Arc) sillonne le Sénégal des profondeurs, à la rencontre de ses militants et sympathisants pour collecter des parrainages et aussi, exposer son programme.
A croire que dans certaines zones du pays, comme dans les départements de Matam, Podor, Dagana et Kolda, ce sont des lois autres que celles du pays qui s’y appliquent. Les préfets et sous-préfets qui s’y trouvent, se comportent en effet comme des roitelets de province ! Le bureau politique de l’Arc dénonce et condamne.
A ce rythme, Anta Babacar Ngom est en train de gagner la confiance et la sympathie de milliers de Sénégalais, qui jurent qu’elle pourra créer la surprise au soir du 25 février 2024. Ce que le régime sortant du président Macky Sall aurait bien compris. Pour preuve, le convoi de l’Arc a encore fait l’objet d’un sabotage, hier, à Podor. Il a été dispersé et chargé à coups de grenades lacrymogènes par les forces de l’ordre. D’où le communiqué du bureau de politique de l’Arc, qui dénonce cette énième provocation.
« Nous sommes profondément préoccupés par cette violence exercée contre nous et contre nos partisans, depuis quelques temps. L’utilisation disproportionnée de gaz lacrymogènes, contre des citoyens en plein exercice de leurs droits constitutionnels de libre circulation, est inacceptable dans un pays démocratique tel que le Sénégal » déplorent les responsables de l’Arc d’Anta Babacar Ngom.
« Notre mouvement condamne fermement ces actes répressifs et témoigne sa solidarité envers tous ses militants victimes de cette répression. Notre foi en la démocratie, la liberté d’expression et en un processus pré-électoral équitable et transparent, demeure inébranlable. Nous rappelons que la paix et le respect des droits humains sont les piliers de notre société, particulièrement pendant cette période cruciale», lit-on dans le communiqué fait depuis Podor, où Anta Babacar Ngom et ses membres appellent les autorités à faire respecter rigoureusement l’obligation impérieuse de la protection de leurs droits fondamentaux, de libre exercice des activités politiques.
Selon les responsables du bureau politique de l’Arc, il est crucial de reconnaître que l’opposition, tout comme le parti au pouvoir, possède des droits égaux dans un système démocratique.
« Chaque voix, opinion et mouvement politique doit être respecté et entendu », préconisent-ils dans leur communiqué. Au terme de cette journée mouvementée, Anta Babacar Ngom a fait savoir aux militants et sympathisants de Podor, qu’elle est plus que jamais engagée et déterminée à poursuivre sa lutte politique, économique et sociale pour un Sénégal de paix, de justice et de la liberté. « Le temps de la relève est arrivé », a clamé et juré Anta Babacar Ngom.
Le Témoin
A croire que dans certaines zones du pays, comme dans les départements de Matam, Podor, Dagana et Kolda, ce sont des lois autres que celles du pays qui s’y appliquent. Les préfets et sous-préfets qui s’y trouvent, se comportent en effet comme des roitelets de province ! Le bureau politique de l’Arc dénonce et condamne.
A ce rythme, Anta Babacar Ngom est en train de gagner la confiance et la sympathie de milliers de Sénégalais, qui jurent qu’elle pourra créer la surprise au soir du 25 février 2024. Ce que le régime sortant du président Macky Sall aurait bien compris. Pour preuve, le convoi de l’Arc a encore fait l’objet d’un sabotage, hier, à Podor. Il a été dispersé et chargé à coups de grenades lacrymogènes par les forces de l’ordre. D’où le communiqué du bureau de politique de l’Arc, qui dénonce cette énième provocation.
« Nous sommes profondément préoccupés par cette violence exercée contre nous et contre nos partisans, depuis quelques temps. L’utilisation disproportionnée de gaz lacrymogènes, contre des citoyens en plein exercice de leurs droits constitutionnels de libre circulation, est inacceptable dans un pays démocratique tel que le Sénégal » déplorent les responsables de l’Arc d’Anta Babacar Ngom.
« Notre mouvement condamne fermement ces actes répressifs et témoigne sa solidarité envers tous ses militants victimes de cette répression. Notre foi en la démocratie, la liberté d’expression et en un processus pré-électoral équitable et transparent, demeure inébranlable. Nous rappelons que la paix et le respect des droits humains sont les piliers de notre société, particulièrement pendant cette période cruciale», lit-on dans le communiqué fait depuis Podor, où Anta Babacar Ngom et ses membres appellent les autorités à faire respecter rigoureusement l’obligation impérieuse de la protection de leurs droits fondamentaux, de libre exercice des activités politiques.
Selon les responsables du bureau politique de l’Arc, il est crucial de reconnaître que l’opposition, tout comme le parti au pouvoir, possède des droits égaux dans un système démocratique.
« Chaque voix, opinion et mouvement politique doit être respecté et entendu », préconisent-ils dans leur communiqué. Au terme de cette journée mouvementée, Anta Babacar Ngom a fait savoir aux militants et sympathisants de Podor, qu’elle est plus que jamais engagée et déterminée à poursuivre sa lutte politique, économique et sociale pour un Sénégal de paix, de justice et de la liberté. « Le temps de la relève est arrivé », a clamé et juré Anta Babacar Ngom.
Le Témoin