Appelé tout au début de l’alternance, comme conseiller personnel de son père, Karim Wade commencera pas lutter contre sa timidité, qu’il cache derrière des lunettes de soleil noires. Il surprendra le ministre d’État, directeur de cabinet du président de l’époque, Idrissa Seck, en train de lorgner dans le dossier médical de son père. Probablement que c’est ce jour que naquit son amour pour la vengeance. Car, il manoeuvra, actionnera ses hommes et ceux de sa mère, jusqu’à ce que M. Seck soit limogé de son poste de Premier ministre. Qui l’aurait cru, tant l’ancien numéro 2 du Pds, était le complice du président Wade. Mais on ne peut préféré un fils d’emprunt au fils biologique. Cette première victoire le dopera et l’installera au cœur de République, d’autant que les courtisans y font lésion.
Renforcé par son père qui le portera à la tête de l’Agence nationale de la conférence islamique, forte de 476 milliards de francs Cfa, il en profitera pour se faire un carnet d’adresses dans les pays du Golfe, en Europe et en Amérique. Initié dans le domaine des bâtiments et travaux publics par l’entrepreneur Bara Tall, il se retournera contre lui, en l’écartant de tous les marchés publics. Car son formateur ne voulait pas se plier aux conditions qu’il lui imposait. Depuis, Bara Tall a été obligé de licencié bon nombre de ses employés et de délocaliser son entreprise dans la sous-région.
C’est presque dans la même période que Karim va se « frotter » contre le chanteur Youssou Ndour, avec lequel il entretenait des relations «très fraternelles ». Karim intentera un procès contre L'Observateur qu’il gagnera. À l’occasion du procès, il laissera entendre que le musicien
avait essayé de le faire chanter, et le défiera de jurer sur un exemplaire du saint Coran, qu’il avait amené, s’ il osait soutenir qu’il ne lui avait pas demandé 300 millions de francs Cfa, pour pacifier ses relations avec sa presse.
Par la suite, il s’en ira guerroyer devant le barreau canadien contre un autre journaliste Souleymane Jules Diop, qui s’est réfugié dans ce pays. Il s’accordera un petit répit, avant de réclamer à son père la tête du président de l’Assemblée nationale, Macky Sall, qui avait osé penser le faire auditionner à propos des 476 milliards de francs Cfa de l’Anoci. Macky sera « renversé » du perchoir de l’Hémicycle, comme du poste de numéro 2 du Pds. Qui restait-il d’autre à combattre, à part le Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye, qui ministre déclarait que « jamais » il ne sera derrière « ce gosse » de Karim. Depuis, c’est le « gosse » qui le commande et snobe, à volonté.
Dernièrement il a dégainé son « épée » contre le journal américain Business insider, qui avait écrit qu’il voulait soutirer 100 milliards de francs Cfa à la société de téléphonie mobile américaine, Millenium cellular, pour que sa filiale, Tigo, puisse continuer d’exploiter sa licence au Sénégal. Il a rengainé son arme, parce que la plainte qu’il menaçait de déposer peut l’emporter, et avec lui son père et leur régime.
Maintenant, c’est la tête du Tchadien Gilbert Noel Ouédrago , qu’il veut. Il n’entend pas laisser le maintenir à la tête de l’Asecna. À défaut, le Sénégal va se retirer de cette agence. Il l’a fait savoir avec des mots crus au président des ministres de tutelle de l’Asecna, Youssouph Mamat. Les préliminaires du combat auront lieu les 27 et 28 avril courant à Libreville, à l’occasion de la 51éme session extraordinaire du comité des ministres de tutelle de l’Asecna.
Qui sera la prochaine victime de Karim ou son adversaire ? Couvé par son père, il sait que celui-ci prendra parti pour lui, parce que se « réincarnant » dans sa jeunesse. Mais, attention au retour de manivelle ! Car, tous ceux-là, qu’il a combattus travaillent aujourd’hui pour le départ de son père.
La Redaction xibar.net
Renforcé par son père qui le portera à la tête de l’Agence nationale de la conférence islamique, forte de 476 milliards de francs Cfa, il en profitera pour se faire un carnet d’adresses dans les pays du Golfe, en Europe et en Amérique. Initié dans le domaine des bâtiments et travaux publics par l’entrepreneur Bara Tall, il se retournera contre lui, en l’écartant de tous les marchés publics. Car son formateur ne voulait pas se plier aux conditions qu’il lui imposait. Depuis, Bara Tall a été obligé de licencié bon nombre de ses employés et de délocaliser son entreprise dans la sous-région.
C’est presque dans la même période que Karim va se « frotter » contre le chanteur Youssou Ndour, avec lequel il entretenait des relations «très fraternelles ». Karim intentera un procès contre L'Observateur qu’il gagnera. À l’occasion du procès, il laissera entendre que le musicien
avait essayé de le faire chanter, et le défiera de jurer sur un exemplaire du saint Coran, qu’il avait amené, s’ il osait soutenir qu’il ne lui avait pas demandé 300 millions de francs Cfa, pour pacifier ses relations avec sa presse.
Par la suite, il s’en ira guerroyer devant le barreau canadien contre un autre journaliste Souleymane Jules Diop, qui s’est réfugié dans ce pays. Il s’accordera un petit répit, avant de réclamer à son père la tête du président de l’Assemblée nationale, Macky Sall, qui avait osé penser le faire auditionner à propos des 476 milliards de francs Cfa de l’Anoci. Macky sera « renversé » du perchoir de l’Hémicycle, comme du poste de numéro 2 du Pds. Qui restait-il d’autre à combattre, à part le Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye, qui ministre déclarait que « jamais » il ne sera derrière « ce gosse » de Karim. Depuis, c’est le « gosse » qui le commande et snobe, à volonté.
Dernièrement il a dégainé son « épée » contre le journal américain Business insider, qui avait écrit qu’il voulait soutirer 100 milliards de francs Cfa à la société de téléphonie mobile américaine, Millenium cellular, pour que sa filiale, Tigo, puisse continuer d’exploiter sa licence au Sénégal. Il a rengainé son arme, parce que la plainte qu’il menaçait de déposer peut l’emporter, et avec lui son père et leur régime.
Maintenant, c’est la tête du Tchadien Gilbert Noel Ouédrago , qu’il veut. Il n’entend pas laisser le maintenir à la tête de l’Asecna. À défaut, le Sénégal va se retirer de cette agence. Il l’a fait savoir avec des mots crus au président des ministres de tutelle de l’Asecna, Youssouph Mamat. Les préliminaires du combat auront lieu les 27 et 28 avril courant à Libreville, à l’occasion de la 51éme session extraordinaire du comité des ministres de tutelle de l’Asecna.
Qui sera la prochaine victime de Karim ou son adversaire ? Couvé par son père, il sait que celui-ci prendra parti pour lui, parce que se « réincarnant » dans sa jeunesse. Mais, attention au retour de manivelle ! Car, tous ceux-là, qu’il a combattus travaillent aujourd’hui pour le départ de son père.
La Redaction xibar.net