A Saly, feu Omar Diop vivait seul dans une maison dont il était le gardien et qui appartenait à un Français qui était rentré chez lui. Il n’y avait que son ami, Demba, qui lui tenait compagnie. En 2021, Omar tombe malade, loin de sa famille, puis décède. C’est son ami qui organise ses funérailles et choisit même le lieu de son enterrement.
L’ambition que nourrit Demba, était de prendre cette maison. Il y amène sa famille qui y loge depuis lors. Il est insensible au sort de la plaignante Ndèye Diop, condamnée à vivre chez des voisins avec ses enfants.
«Cette maison appartenait à Jean Ruffin. C’est Omar qui en était le gardien. Il vivait seul loin de ses parents. Quand j’ai quitté Tambacounda, je me suis installé là-bas et c’est moi qui m’occupais de lui, en lui assurant les repas. Avant de mourir, il m’a confié la maison.
C’est pourquoi j’y ai emménagé. Cette femme (la partie civile) a même été expulsée par son père. Quand il est tombé malade, j’étais le seul à l’assister», déclare le prévenu.
«Monsieur le Président, cette affaire n’est pas nouvelle. Ma cliente avait porté plainte contre le prévenu pour occupation illégale et il a été sommé de quitter la maison. Il lui avait été donné un délai d’un mois.
Mais depuis lors, il n’a pas quitté, alors qu’il a sa propre maison qu’il loue. Il vivait avec le père de ma cliente, qui est mort dans des conditions non élucidées», a déclaré Me Abdoulaye Tall, avocat de la partie civile.
Il soutient que le seul ayant-droit de cette maison, est sa cliente, l’héritière de feu Omar Diop. «C’est le frère de Ruffin, décédé, qui lui avait cédé la maison parce qu’il n’était pas intéressé. Et Ruffin lui devait un an de salaire», lance-t-il.
Le prévenu sera fixé sur son sort, le 12 décembre prochain.
L’ambition que nourrit Demba, était de prendre cette maison. Il y amène sa famille qui y loge depuis lors. Il est insensible au sort de la plaignante Ndèye Diop, condamnée à vivre chez des voisins avec ses enfants.
«Cette maison appartenait à Jean Ruffin. C’est Omar qui en était le gardien. Il vivait seul loin de ses parents. Quand j’ai quitté Tambacounda, je me suis installé là-bas et c’est moi qui m’occupais de lui, en lui assurant les repas. Avant de mourir, il m’a confié la maison.
C’est pourquoi j’y ai emménagé. Cette femme (la partie civile) a même été expulsée par son père. Quand il est tombé malade, j’étais le seul à l’assister», déclare le prévenu.
«Monsieur le Président, cette affaire n’est pas nouvelle. Ma cliente avait porté plainte contre le prévenu pour occupation illégale et il a été sommé de quitter la maison. Il lui avait été donné un délai d’un mois.
Mais depuis lors, il n’a pas quitté, alors qu’il a sa propre maison qu’il loue. Il vivait avec le père de ma cliente, qui est mort dans des conditions non élucidées», a déclaré Me Abdoulaye Tall, avocat de la partie civile.
Il soutient que le seul ayant-droit de cette maison, est sa cliente, l’héritière de feu Omar Diop. «C’est le frère de Ruffin, décédé, qui lui avait cédé la maison parce qu’il n’était pas intéressé. Et Ruffin lui devait un an de salaire», lance-t-il.
Le prévenu sera fixé sur son sort, le 12 décembre prochain.