En effet, selon nos sources, « Samuel Sarr qui est conscient du coût élevé de l’électricité au Sénégal n’arrive pas à comprendre que ceux qui devaient dire cette vérité aux bailleurs de fonds font comme si de rien n’était et taisent la dette de 46 milliards de francs Cfa que l’Etat doit à la Sénélec depuis 2008 en criant sous les toits que cette société doit 16 milliards aux Impôts ».
Toujours selon nos sources : « Dès son retour à Dakar, Samuel Sarr adressera une correspondance au Fmi pour rétablir la vérité. Et toute la vérité ». A en croire nos sources : « Comment vouloir demander actuellement aux Sénégalais touchés de plein fouet par la crise de rallonger le blé de leurs factures d’électricité. Ceux qui travaillent à ça veulent créer des tensions sociales. Et nous n’allons pas entrer dans ce jeu mesquin. D’ailleurs, la solution la meilleure est que l’Etat paie à Senelec sa dette de 46 milliards, ce qui lui permettra même de diminuer les tarifs actuels et réaliser de bons résultats pour l’année 2009 ». Nous avons tenté de joindre M. Sarr qui serait actuellement hors du pays, mais en vain.
Pour rappel : "En conférence de presse hier (jeudi 25 mars 2010), sur les conclusions de la récente mission du Fonds à Dakar, le chef de division Wester 1 du Département africain au Fmi, Norbert Funke, a indiqué que l’économie du Sénégal devrait amorcer cette année un redressement progressif après deux années de croissance plus lente qu’à l’accoutumée, du fait de chocs à la fois exogènes et internes.
« La mission reste préoccupée par la lenteur des progrès de la réforme du secteur de l’énergie », répète M. Funke. Pour rehausser le potentiel de croissance au Sénégal, recommande le Fmi, il faudra que les autorités accélèrent la mise en œuvre de leur stratégie de croissance, en donnant la priorité à l’amélioration de la compétitivité. Cela, en créant un climat plus propice aux affaires et à des améliorations supplémentaires de la gouvernance. « Une vaste réforme du secteur énergétique doit être mise en œuvre sans plus de délais, en étroite coopération avec les partenaires au développement, afin de limiter la charge budgétaire significative et les risques économiques et financiers liés à ce secteur », persiste Norbert Funke. Il importe de remédier aux goulots d’étranglement au niveau des approvisionnements énergétiques, d’accroître l’efficacité opérationnelle de Senelec et de faire en sorte que les tarifs et la grille tarifaire correspondent au coût véritable de la production d’électricité, tout en protégeant les couches les plus vulnérables, insistent M. Funke.
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Toujours selon nos sources : « Dès son retour à Dakar, Samuel Sarr adressera une correspondance au Fmi pour rétablir la vérité. Et toute la vérité ». A en croire nos sources : « Comment vouloir demander actuellement aux Sénégalais touchés de plein fouet par la crise de rallonger le blé de leurs factures d’électricité. Ceux qui travaillent à ça veulent créer des tensions sociales. Et nous n’allons pas entrer dans ce jeu mesquin. D’ailleurs, la solution la meilleure est que l’Etat paie à Senelec sa dette de 46 milliards, ce qui lui permettra même de diminuer les tarifs actuels et réaliser de bons résultats pour l’année 2009 ». Nous avons tenté de joindre M. Sarr qui serait actuellement hors du pays, mais en vain.
Pour rappel : "En conférence de presse hier (jeudi 25 mars 2010), sur les conclusions de la récente mission du Fonds à Dakar, le chef de division Wester 1 du Département africain au Fmi, Norbert Funke, a indiqué que l’économie du Sénégal devrait amorcer cette année un redressement progressif après deux années de croissance plus lente qu’à l’accoutumée, du fait de chocs à la fois exogènes et internes.
« La mission reste préoccupée par la lenteur des progrès de la réforme du secteur de l’énergie », répète M. Funke. Pour rehausser le potentiel de croissance au Sénégal, recommande le Fmi, il faudra que les autorités accélèrent la mise en œuvre de leur stratégie de croissance, en donnant la priorité à l’amélioration de la compétitivité. Cela, en créant un climat plus propice aux affaires et à des améliorations supplémentaires de la gouvernance. « Une vaste réforme du secteur énergétique doit être mise en œuvre sans plus de délais, en étroite coopération avec les partenaires au développement, afin de limiter la charge budgétaire significative et les risques économiques et financiers liés à ce secteur », persiste Norbert Funke. Il importe de remédier aux goulots d’étranglement au niveau des approvisionnements énergétiques, d’accroître l’efficacité opérationnelle de Senelec et de faire en sorte que les tarifs et la grille tarifaire correspondent au coût véritable de la production d’électricité, tout en protégeant les couches les plus vulnérables, insistent M. Funke.
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