
«Il nous faut avoir le sens de l’ouverture, de la modestie et du partage». Tel est le message qu’un responsable politique libéral n’avait cessé d’adresser à ses frères de parti à l’approche de la Présidentielle de 2012. Le fait que cette recommandation, qui avait les allures d’une alerte n’ait pas été décrypté, a abouti à la chute du régime à travers lequel ils avaient acquis des postes de responsabilité et des privilèges que leur conféraient l’exercice du pouvoir dont Jacques Attali disait «qu’il grossit les caractères des êtres comme la loupe ceux de l’imprimerie. Il est aussi une drogue qui rend fou quiconque touche, détruit quiconque s’y installe corrompt quiconque s’y installe. Aveuglées par les phares de la renommée, les chenilles dévouées ont tôt de se métamorphoser en de vaniteux papillons».
L’enseignement majeur qu’on peut tirer de cet état de fait est que la politique qui se résumait à entasser des humains dans un car chancelant pour aller remplir un meeting, distribuer des tee-shirts ou des billets de banque ne va plus prospérer au Sénégal. Nul ne pourra plus tromper tout le temps. Responsable d’un parti qui préconise la rupture par rapport à une certaine manière de faire de la politique et de gouverner, Allassane Ngom ne pouvait que se conformer à la ligne de conduite tracée par le Président Macky Sall qu’il a soutenu en une période qui n’était pas évidente au point d’être persécuté par l’ancien régime à travers une pression fiscale terrible et des intimidations de toutes sortes.
Conformément à sa vision et à ses convictions politiques, l’opérateur économique a balisé la voie du «Yonou Yokouté» en déboursant, sur fonds propres, la somme de vingt millions pour la formation de 1384 femmes issues des zones défavorisées de la banlieue. Madame Ndiémé Kassé qui est une des bénéficiaires a témoigné : «grâce à Allassane Ngom, nous avons pu bénéficier de formations dans les domaines de la transformation des céréales, des fruits et légumes, de la fabrique de savon et d’eau de javel et de la Pâtisserie. Si tous les politiciens faisaient comme lui, il n’y aurait plus de pauvreté, d’agressions, de prostitution et d’émigration clandestine. Un mal qui est souvent sanctionné par des milliers morts».
Et d’ajouter à l’endroit d’Aliou Sall : «nous lançons un appel solennel au Président de la République pour qu’il l’accompagne dans son ambition de faire de la banlieue un bon lieu». Le frangin du locataire du Palais fera le serment d’œuvrer inlassablement pour l’épanouissement des populations. «Au delà des considérations politiques, j’aimerais prendre ici et maintenant l’engagement de m’allier avec Allassane Ngom pour contribuer à l’amélioration des conditions de vie des populations de la banlieue, à travers la conception et la mise en œuvre de projets porteurs pour les jeunes et les femmes», a-t-il soutenu.
Avant que son nouveau souteneur ne lui emboite le pas en ces termes : «tant qu’il me restera un souffle de vie, je ne cesserai jamais de jouer ma partition pour que le « Yonou Yokouté si cher au Président Macky Sall se concrétise, dans l’intérêt supérieur des populations qui constituent la finalité de mon engagement politique» dit M. Ngom. Visiblement gagné par l’émotion de constater que la salle du « Ravin » était pleine comme un œuf.
Actusen.com
L’enseignement majeur qu’on peut tirer de cet état de fait est que la politique qui se résumait à entasser des humains dans un car chancelant pour aller remplir un meeting, distribuer des tee-shirts ou des billets de banque ne va plus prospérer au Sénégal. Nul ne pourra plus tromper tout le temps. Responsable d’un parti qui préconise la rupture par rapport à une certaine manière de faire de la politique et de gouverner, Allassane Ngom ne pouvait que se conformer à la ligne de conduite tracée par le Président Macky Sall qu’il a soutenu en une période qui n’était pas évidente au point d’être persécuté par l’ancien régime à travers une pression fiscale terrible et des intimidations de toutes sortes.
Conformément à sa vision et à ses convictions politiques, l’opérateur économique a balisé la voie du «Yonou Yokouté» en déboursant, sur fonds propres, la somme de vingt millions pour la formation de 1384 femmes issues des zones défavorisées de la banlieue. Madame Ndiémé Kassé qui est une des bénéficiaires a témoigné : «grâce à Allassane Ngom, nous avons pu bénéficier de formations dans les domaines de la transformation des céréales, des fruits et légumes, de la fabrique de savon et d’eau de javel et de la Pâtisserie. Si tous les politiciens faisaient comme lui, il n’y aurait plus de pauvreté, d’agressions, de prostitution et d’émigration clandestine. Un mal qui est souvent sanctionné par des milliers morts».
Et d’ajouter à l’endroit d’Aliou Sall : «nous lançons un appel solennel au Président de la République pour qu’il l’accompagne dans son ambition de faire de la banlieue un bon lieu». Le frangin du locataire du Palais fera le serment d’œuvrer inlassablement pour l’épanouissement des populations. «Au delà des considérations politiques, j’aimerais prendre ici et maintenant l’engagement de m’allier avec Allassane Ngom pour contribuer à l’amélioration des conditions de vie des populations de la banlieue, à travers la conception et la mise en œuvre de projets porteurs pour les jeunes et les femmes», a-t-il soutenu.
Avant que son nouveau souteneur ne lui emboite le pas en ces termes : «tant qu’il me restera un souffle de vie, je ne cesserai jamais de jouer ma partition pour que le « Yonou Yokouté si cher au Président Macky Sall se concrétise, dans l’intérêt supérieur des populations qui constituent la finalité de mon engagement politique» dit M. Ngom. Visiblement gagné par l’émotion de constater que la salle du « Ravin » était pleine comme un œuf.
Actusen.com