leral.net | S'informer en temps réel

Après le renvoi des éléments de Atepa par Viviane : Karim Wade détruit les gradins de l’esplanade

- Plus d’1 demi milliard réduit en poussière

Le fils du Président a fait détruire des gradins, parce qu’il les trouvait inutiles, malgré ce qu’ils avaient coûté.

Par M. GUEYE le quotidien


Rédigé par leral.net le Mercredi 17 Février 2010 à 14:55 | | 3 commentaire(s)|

Après le renvoi des éléments de Atepa par Viviane : Karim Wade détruit les gradins de l’esplanade
Le Président Wade et sa famille voudraient convaincre l’opinion sénégalaise que le monument de la Renaissance africaine, érigé sur l’une des collines des Mamelles, est leur propriété privée, qu’ils ne s’y prendraient pas autrement. Il y a d’abord eu la déclaration du Père, qui a déclaré en un premier temps, qu’il condescendait à remettre une partie de ses royalties à l’Etat, avant de les reprendre en totalité. Puis il y a eu, juste après la tension avec la communauté catholique, le coup de sang de Madame Mère qui, accompagnée de Sa Fille, est allée déguerpir comme des malpropres, les représentants de l’architecte de l’œuvre, Pierre Goudiaby. Il ne manquait alors que l’entrée en scène du Fils, et ce fut le cas hier.
Ce mardi après-midi, le ministre d’Etat Karim Wade, qui doit parfois se perdre dans ses multiples casquettes, a dépêché, toutes affaires cessantes, son Directeur de cabinet, M. Abdoulaye Racine Kane, auprès des travailleurs coréens qui sont en train de mettre la dernière main à la statue qui, on l’a dit, devrait être livrée à la mi-mars.
M. Kane devait expliquer à ces gens qu’il leur était demandé de démolir les gradins des aménagements extérieurs, notamment ceux entourant le terre-plein destiné à des activités récréatives de plein air. Cet espace est en effet réservé pour des représentations théâtrales, des jeux ou autres activités ludiques, et les gradins devaient offrir un siège aux spectateurs. Or, le Fils Wade trouve que «cela n’en vaut pas la peine».
Les employés ont dû se plier à la décision du maître d’ouvrage supplémentaire. Sans manquer, toutefois, pour certains, de faire observer que ces ouvrages que l’on passait par pertes et profits, avaient nécessité le déblocage de plus de 500 millions de francs Cfa. Sans compter d’autres matériaux qui devaient servir à leur embellissement, et qui ont déjà été commandés, et dont la livraison était attendue incessamment.
Bien entendu, une fois que Karim Wade a fait connaître sa décision, personne d’autre n’ose contester. Cela n’empêche, que plusieurs personnes commencent à trouver que les interventions de la famille du Président dans ce dossier du monument, font désordre, et créent encore plus un sentiment de répulsion dans l’opinion publique. Et ces observateurs attendent, avec intérêt, ce que sera l’action de la seule personne qui, en dehors de son père, pourrait invoquer une certaine légitimé dans cette affaire : Mlle Sindiely Wade, qui a été nommée présidente de la fondation de ce monument.
mgueye@lequotidien.sn

leral .net


1.Posté par emodou le 17/02/2010 16:02 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

il se croit dans un royaume ou il é le prince ! mé les galsens dinagne deff ssi yaw

2.Posté par Boy Ndambé le 17/02/2010 17:40 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

LES PIEDS NICKELES


Les connaissez-vous ? Les voilà les dignes personnages qui devraient figurer dans l’émission culte de la RFM « dialgatti khibar » :

Bakari BASSENE « Boy Diola », chef de village ou plutôt chef de basse cour, coq en chef affublé du double titre d’architecte (il a fait tout son cursus en double)

Idrissa NDIAYE « Boy Idy », Chef du Gang des détrousseurs de vieilles femmes de sinistre mémoire, homme du terroir à la gorge profonde (il est membre de l’actuel conseil de l’Ordre)

El Hadj Amadou DIOUF « Boy ndangal », tire au flanc, plus vite que son ombre, tellement cup… (pardon) avide qu’il en perd la parole. Il emportera les 1800 milliards du PCRPE avec lui dans sa tombe, croyez-moi

El Hadj Amadou DIOUF « Toncs » pour dire « tonton macoute », membre assidu de « boppi Kogne » autre émission culte de la RFM, et chasseur de prime ) ses heures perdues

Ousseynou FAYE « Boy Fitnal », caïd des caïds, « Haile gang’s one » pour ses proches, « insulteur » de préfet à ses heures perdues (que Mamadou Niang a d’ailleurs sorti de taule), disciple de Merlin l’enchanteur intronisé « Grand Maître Chanteur » d’un syndicat de 4 pelés et 3 tondus

Voilà le profil de ce quatuor d’enfer et leur Mentor, caricatures vivantes de la célèbre bande dessinée « LES PIEDS NICKELES », qui aspirent à conseiller le « Chef du Gaal », une fois le disciple de Salomon écarté.

Leur force ? Manipuler l’opinion publique !

Leur drame ? Ils attendent la Terre promise !

Peut être que Monsieur Dialigué FAYE, « tueur à gage » de métier, nous édifiera plus, lui et son « Clergé »

Moi en attendant, c’est beaucoup plus « Dr House » qui m’inspire pour la prochaine session d’examens. Je te jure Père que je serai architecte conseil du « Prez » !

A preuve, ma thèse de doctorat ci-après ; corriges-moi je te prie :


Lettre ouverte à tous les confrères



A
Monsieur
Mamadou NIANG
Président du Conseil de l’Ordre des Architectes du Sénégal



Très cher confrère,

Nous venons t’informer que le mandat du conseil s’est achevé (2008-2010).

Malheureusement, nos attentes ont été déçues par rapport aux promesses que tu nous avais tenues lors de l’élection du conseil de l’ordre de Février 2008 :

- Nous sommes restés deux longues années sans aucune information sur la vie de la corporation, sans assemblée générale et sans aucune nouvelle sur les délibérations du conseil :

- C’est sans doute l’une des raison pour laquelle tu as raté toutes les opportunités qui se sont offertes à nous pour réhabiliter la corporation ; tu as brillé de par ton silence face à la crise qui a profondément secoué notre profession.

- Aussi, chaque fois que l’autorité supérieure a saisi le conseil pour des problèmes nationaux, (notamment lorsque Son excellence, Monsieur le Président de la République a sollicité le conseil pour le choix d’un architecte conseil), nous avons déçu son attente.

- Tes cafouillages ont entraîné des interprétations fort tendancieuses de l’image de la corporation au sein de l’opinion publique (cf. : article du quotidien du 16 Février 2010 : les architectes ne sont pas contre Wade, au contraire…).

Pour toutes ces raisons, très cher confrère, nous vous demandons d’expédier les affaires courantes comme le veut l’usage et surtout, d’organiser sans délai une assemblée générale en vue de renouveler le mandat du conseil de l’ordre.


Ont signé :
Mr Bakari BASSENE
Mr Idrissa NDIAYE
Mr El Hadj Amadou DIOUF
Mr Moussa NDOYE



Pas étonnant que la populace aie peur de toi « Père l’architecte », en tous les cas si je ne passe pas en Socio, je te parie de passer à Sciences-Po.

« Boy Ndambé »

3.Posté par ousmane sow le 18/02/2010 03:58 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Mr le President, un senegalais vous parle
Votre règne à la tête de l’Etat du Sénégal fastueux pour certains de vos proches hier financièrement paumés est véritablement un échec social de plus en plus insupportable pour les masses laborieuses du pays majoritairement tenaillées par la misère.
C’est pourquoi même si le dédain m’envahit à chaque fois que je pense à tous les rêves avortés de notre vaillant peuple depuis mars 2000, je ne peux manquer encore une fois de tremper ma plume dans les larmes dignement refoulées des gorgorlus pour vous inviter solennellement à décrypter derrière l’apparent silence des citoyens toute l’amertume d’une nation qui, il n’y a pas longtemps, te portait au pinacle de la gloire oubliant délibérément à l’occasion tous les cadavres et les « mortiferés » qui ont jalonné votre parcours politique.
Je ne fais pas exclusivement allusion à nos milliers de frères et sœurs engloutis par la négligence coupable de votre gouvernement dans les eaux bissau-guinéennes et dont notre respect pour leur mémoire nous dicte le rejet systématiques de vos statues de bronze à forte connotation maçonnique. Je ne pense pas aux malheureux policiers tués en 1996 sur vos ordres indirects d’un opposant téméraire, déjà à l’époque trop assoiffé de pouvoir.
Je ne pense d’ailleurs ni à Talla Sylla ni à Maitre Babacar Seye ni à tant d’autres citoyens connus et inconnus injustement morts dans votre sillage mais je pense à tous ces millions de sénégalais que vous avez tués socialement par votre gestion gabégique, clientéliste et népotiste du pouvoir. Vous arrive-t-il d’ailleurs d’avoir le sommeil profond avec tous nos jeunes frères et sœurs qui continuent, par comble de désespoir, à affronter la mort en pleine mer sur la route vers l’Espagne plutôt que d’endurer vos frasques, celles de vos enfants et de votre piteuse oligarchie qui vous gave de flatteries mesquines et hypocrites et auxquelles vous croyez malheureusement au grand dam du peuple?
Mr le Président,
Malgré votre supposé génie politique, vous avez perdu de vue qu’on ne peut pas diriger (à moins qu’on ne soit sénile) un peuple aussi averti que le Sénégal par le recours systématique au grenouillage. Malheureusement à force de dire aux citoyens ce qu’ils voudraient entendre en occultant la hideuse vérité, vous vous êtes finalement pris dans votre piège au point qu’il est aujourd’hui impossible de restaurer l’autorité et la crédibilité de l’Etat.
Il est aujourd’hui clair que toute votre stratégie de conquête et de conservation du pouvoir ne repose que sur la division, la manipulation, la surenchère et les coups bas. Cette tactique politicienne même si elle peut être efficace à court terme est très autodestructrice dans la durée.
En effet, elle diffère les frustrations, diffuse la résignation collective à cause d’une fausse impression qui laisse croire à un pouvoir hégémonique avant de permettre au peuple d’affûter ses techniques de riposte populaire ; ce qui maximise les risques potentiels d’un dérapage politique des gouvernés.
Les signes de ce processus sont de plus en plus apparents. C’est pourquoi beaucoup de guides religieux qui (par calcul ou de bonne foi) vous ont offert leurs services (à coups de centaines de nos millions) et qui vous servaient d’instruments de légitimisation tombent de leur piédestal au point que leurs sphères d’influence, jadis inviolable, sont désormais prises d’assaut par des lutteurs et chanteur/(se)s devenus cheikh ou sokhna.
Cette « profanation » du pouvoir religieux va de plus en plus porter le discrédit sur nos sources traditionnelles de régulation sociale balisant ainsi la voie a une irréversible implosion sociale qui se se traduira sous peu par une légitime « chasse aux sorcières »
Ce processus est d’autant plus irréversible que la solidarité mécanique des sénégalais est restée intacte malgré la misère ambiante et celle-ci commande tous les citoyens épris d’honneur et de dignité à s’inscrire résolument dans la perspective de votre départ imminent du pouvoir.
Ce choix n’a rien de personnel mais il est devenu une nécessité patriotique pour renouer notre pays avec sa tradition démocratique et l’immuniser du syndrome d’une monarchie dans lequel les liens de sang déterminent sa position de pouvoir.
A ce titre, l’immixtion de Carine (pardon de Karim Wade) dans la sphère politique de notre pays et l’immunité dont il jouit en dépit de son rôle actif dans d’innombrables scandales financiers, devrait vous amener à le démettre, ne serait-ce que pour ne pas paraitre comme une famille de Dalton à col blanc. A défaut de cela le nouveau PDSL en construction ne nous apparaitra qu’une farce politicienne de trop.
Ouz, USA
petitousmane@yahoo.fr



Nouveau commentaire :

Tout commentaire à caractère commercial, insultant, pornographique, raciste, homophobe, incitant à la violence ou contraire aux lois sénégalaises sera supprimé, Peut entraîner votre bannissement total du site