Devant les Cadres de l’Afp et la presse, l’ancien Inspecteur de l’enseignement et écrivain, Mody Niang a fait des révélations qui risquent de lui coûter la prison s’il les confirme au huissier envoyé par Cheikh Amar, Directeur général du Tse. Selon, Mody Niang, le patron de Tse, «Cheikh Amar a bénéficié 26 milliards pour les maisons présidentielles qui sont toujours virtuelles». Ces accusations sont suffisamment graves pour pousser M. Amar à saisir les juridictions pour que Mody Niang apporte les preuves matérielles de ses accusations.
Selon une source proche de l’homme d’affaires, depuis plusieurs années, l’écrivain n’a cessé de s’attaquer à Cheikh Amar, cette fois-ci, «nous comptons aller jusqu’au bout parce qu’il faut qu’il arrête de dire n’importe quoi sur d’honnêtes gens dans ce pays» dit la source.
Concernant les 26 milliards qui auraient été décaissés pour financer la construction des villas
présidentielles, la source proche de Cheikh Amar soutient que «jamais ce dernier n’a bénéficié d’un quelconque financement sur les projets de l’Anoci». «Cheikh Amar n’a pas eu de marchés sur les projets de l’Anoci. Ces 26 milliards dont on parle, Amar n’en connaît absolument rien» nous dit-il.
Joint au téléphone, le Directeur général du Tse se dit décider à aller jusqu’au bout avec son accusateur. «Je ne peux accepter qu’on salisse ma réputation d’homme d’affaire sérieux. Je suis un fils de ce pays qui gagne sa vie honnêtement. Je ne saurai accepter que des gens malintentionnés citent mon nom dans ces genres d’histoires. J’ai des parents, des sœurs, des frères, des enfants et des amis. Donc je ne laisserai pas cette affaire. Je vais le régler» a dit le Directeur général de Tse. Selon lui, Mody Niang devra apporter les preuves de ses allégations. L’inspecteur devrait dire qui a donné ce marché de 26 milliards à Cheikh Amar ? Quand est-ce que marché a-t-il été donné ? Quelles sont les preuves qu’il détient pour tenir de tels propos ?
D’ailleurs, hier, un huissier a été saisi. Ce dernier jusqu’aux environs de 13heures, cherchait le domicile de Mody Niang pour lui demander de confirmer ses accusations.
Disons que dans le dernier livre du journaliste Abdou Latif Coulibaly, «Contes et mécomptes de l’Anoci», ces villas présidentielles avaient été évoquées par l’auteur du livre. Mais nulle part, Abou Latif n’a accusé une personne ou cité une entreprise comme étant le bénéficiaire de ce marché de 26 milliards. Et depuis la publication de ce livre, les sénégalais cherchent à identifier l’entreprise qui a gagné de juteux marché. C’est en ce moment que Mody Niang a accusé Cheikh Amar. Ce dernier dit ne pas être surpris par les accusations de l’écrivain mais l’invite à fournir des preuves devant les juridictions.
Toujours lors de cette même rencontre, Mody Niang a parlé de tracteurs venus d’Inde. «310 tracteurs et 800 motopompes qui ont été achetés pour un coût de 8 milliards et distribués dans la vallée du fleuve Sénégal le 12 avril 2006. Mais ce matériel était jugé inadapté par les cultivateurs de la vallée» avait aussi dit Mody Niang. Concernant cette question, un proche de patron du Tse déclare que «les paysans sont mieux placés pour apporter un jugement sur le matériel fourni par Tse et jusqu’à présent aucun paysan ne se plaint de nos matériel».
Le conseiller spécial du Président de la République, l’architecte Pierre Goudiaby Atépa serait aussi très remonté contre Mody Niang qui l’a cité dans le dossier de l’Université du Futur. Mody Niang, a dit, «selon ce qui a été annoncé que l’Université du Futur a coûté 15 milliards». Sur toutes ces accusations, Mody Niang devra apporter les preuves si la procédure enclenchée aboutit.
Selon une source proche de l’homme d’affaires, depuis plusieurs années, l’écrivain n’a cessé de s’attaquer à Cheikh Amar, cette fois-ci, «nous comptons aller jusqu’au bout parce qu’il faut qu’il arrête de dire n’importe quoi sur d’honnêtes gens dans ce pays» dit la source.
Concernant les 26 milliards qui auraient été décaissés pour financer la construction des villas
présidentielles, la source proche de Cheikh Amar soutient que «jamais ce dernier n’a bénéficié d’un quelconque financement sur les projets de l’Anoci». «Cheikh Amar n’a pas eu de marchés sur les projets de l’Anoci. Ces 26 milliards dont on parle, Amar n’en connaît absolument rien» nous dit-il.
Joint au téléphone, le Directeur général du Tse se dit décider à aller jusqu’au bout avec son accusateur. «Je ne peux accepter qu’on salisse ma réputation d’homme d’affaire sérieux. Je suis un fils de ce pays qui gagne sa vie honnêtement. Je ne saurai accepter que des gens malintentionnés citent mon nom dans ces genres d’histoires. J’ai des parents, des sœurs, des frères, des enfants et des amis. Donc je ne laisserai pas cette affaire. Je vais le régler» a dit le Directeur général de Tse. Selon lui, Mody Niang devra apporter les preuves de ses allégations. L’inspecteur devrait dire qui a donné ce marché de 26 milliards à Cheikh Amar ? Quand est-ce que marché a-t-il été donné ? Quelles sont les preuves qu’il détient pour tenir de tels propos ?
D’ailleurs, hier, un huissier a été saisi. Ce dernier jusqu’aux environs de 13heures, cherchait le domicile de Mody Niang pour lui demander de confirmer ses accusations.
Disons que dans le dernier livre du journaliste Abdou Latif Coulibaly, «Contes et mécomptes de l’Anoci», ces villas présidentielles avaient été évoquées par l’auteur du livre. Mais nulle part, Abou Latif n’a accusé une personne ou cité une entreprise comme étant le bénéficiaire de ce marché de 26 milliards. Et depuis la publication de ce livre, les sénégalais cherchent à identifier l’entreprise qui a gagné de juteux marché. C’est en ce moment que Mody Niang a accusé Cheikh Amar. Ce dernier dit ne pas être surpris par les accusations de l’écrivain mais l’invite à fournir des preuves devant les juridictions.
Toujours lors de cette même rencontre, Mody Niang a parlé de tracteurs venus d’Inde. «310 tracteurs et 800 motopompes qui ont été achetés pour un coût de 8 milliards et distribués dans la vallée du fleuve Sénégal le 12 avril 2006. Mais ce matériel était jugé inadapté par les cultivateurs de la vallée» avait aussi dit Mody Niang. Concernant cette question, un proche de patron du Tse déclare que «les paysans sont mieux placés pour apporter un jugement sur le matériel fourni par Tse et jusqu’à présent aucun paysan ne se plaint de nos matériel».
Le conseiller spécial du Président de la République, l’architecte Pierre Goudiaby Atépa serait aussi très remonté contre Mody Niang qui l’a cité dans le dossier de l’Université du Futur. Mody Niang, a dit, «selon ce qui a été annoncé que l’Université du Futur a coûté 15 milliards». Sur toutes ces accusations, Mody Niang devra apporter les preuves si la procédure enclenchée aboutit.