En arrêtant un «opposant radical» en pleine campagne électorale, le pouvoir en place n’est-il pas en train de vicier l’atmosphère politique et en faire, de facto, le numéro 1 véritable de la formation de «l’opposant historique» Abdoulaye Wade. Sans preuves suffisantes et irréfutables, a-t-on le droit d’arrêter un candidat à une élection, avocat de surcroît ? En voyant une de ses têtes de file «muselée» pour le reste d’une campagne dont il était le principal animateur, le Parti démocratique sénégalais (PDS) ne va-t-il pas geler toute activité et exiger la libération de son candidat ?
Ne va-t-on pas tout droit vers une période électorale trouble et des lendemains électoraux mouvements avec cette série d’interrogations, d’auditions et, maintenant, d’arrestations tous azimuts d’anciens dirigeants qui prend les allures d’une vendetta ? Autant de questions qui, à n’en pas douter, seront agiter dans le landerneau politique sénégalais, en cette deuxième semaine de campagne électorale.
Quelle sera l’attitude du président Macky Sall dans tout ça ? Les prochaines heures nous édifieront... Mais, comme le peuple sénégalais s’est toujours dressé contre l’arbitraire et rangé aux côtés des martyrs, le président de la République n’a pas du tout intérêt à faire passer Me Ousmane Ngom comme «le premier martyr du régime de "Sa majesté" Macky 1er».
Lesenegalais
Ne va-t-on pas tout droit vers une période électorale trouble et des lendemains électoraux mouvements avec cette série d’interrogations, d’auditions et, maintenant, d’arrestations tous azimuts d’anciens dirigeants qui prend les allures d’une vendetta ? Autant de questions qui, à n’en pas douter, seront agiter dans le landerneau politique sénégalais, en cette deuxième semaine de campagne électorale.
Quelle sera l’attitude du président Macky Sall dans tout ça ? Les prochaines heures nous édifieront... Mais, comme le peuple sénégalais s’est toujours dressé contre l’arbitraire et rangé aux côtés des martyrs, le président de la République n’a pas du tout intérêt à faire passer Me Ousmane Ngom comme «le premier martyr du régime de "Sa majesté" Macky 1er».
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