Le jeune terroriste tunisien Senoun Bechir, qui avait commis un attentat contre l’ambassade de France à Bamako en janvier dernier, a été arrêté ce mercredi dans le Nord du Mali, selon plusieurs sources sécuritaires maliennes.
Celles-ci ont simplement précisé que l’arrestation avait eu lieu à l’aube, dans la ville de Gao.
Senoun Bechir avait été arrêté une première fois le 5 janvier peu après son attentat. Détenu à Bamako, il avait réussi à s’échapper lundi, ce qui avait valu au directeur de la sécurité d’État (renseignements maliens) Mami Coulibaly d’être limogé.
Le 5 janvier, ce jeune tunisien de 24 ans, armé d’un pistolet automatique, avait déclenché un engin explosif (une grenade selon certains témoignages) devant l’ambassade de France à Bamako, située en plein cœur de la ville.
L’homme avait affirmé appartenir à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) après son arrestation. L’organisation terroriste opère fréquemment dans la bande sahélienne, où Senoun Bechir tentait vraisemblablement de se rendre. Il lui a fallu moins de quarante-huit heures pour parcourir les quelque 1200 km qui séparent Gao de la capitale malienne.
Les enquêteurs maliens qui l’ont interrogé après sa première arrestation avaient toutefois jugé ses récits « incohérents ».
PiccMi.Com
Celles-ci ont simplement précisé que l’arrestation avait eu lieu à l’aube, dans la ville de Gao.
Senoun Bechir avait été arrêté une première fois le 5 janvier peu après son attentat. Détenu à Bamako, il avait réussi à s’échapper lundi, ce qui avait valu au directeur de la sécurité d’État (renseignements maliens) Mami Coulibaly d’être limogé.
Le 5 janvier, ce jeune tunisien de 24 ans, armé d’un pistolet automatique, avait déclenché un engin explosif (une grenade selon certains témoignages) devant l’ambassade de France à Bamako, située en plein cœur de la ville.
L’homme avait affirmé appartenir à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) après son arrestation. L’organisation terroriste opère fréquemment dans la bande sahélienne, où Senoun Bechir tentait vraisemblablement de se rendre. Il lui a fallu moins de quarante-huit heures pour parcourir les quelque 1200 km qui séparent Gao de la capitale malienne.
Les enquêteurs maliens qui l’ont interrogé après sa première arrestation avaient toutefois jugé ses récits « incohérents ».
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